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La Chine confirme une fois de plus, qu’elle fait parti désormais du cercle très fermé des grands de l’innovation technologique. En effet, une entreprise chinoise vient de faire un pas en avant dans le domaine de l’impression en 3D, par la fabrication d’une série de 10 maisons dans l’espace de 24 heures seulement.
L’exploit de la société Shanghai WinSun Decoration Design Engineering a été rendu possible par la conception d’une imprimante 3D géante, mesurant 32 mètres de long, 10 mètres de large et 6,6 mètres de haut, permettant d’imprimer chacune des pièces qui constituent les maisons. « Nous avons acheté des pièces de l’imprimante à l’étranger et réunis la machine dans une usine à Suzhou », explique M. Ma Yihe, PDG de la société chinoise.
Les maisons, chacune d’une superficie de 200 m², dans le quartier de Qingpu de Shanghai, ont aussi la particularité d’être imprimées avec une encre composée d’un mélange de déchets industriels, de déchets de construction et de résidus. Fabriquées à partir de béton recyclé, ces constructions d’un nouveau genre sont par conséquent respectueuses de l’environnement.
Ce procédé n’est pourtant pas une première dans le domaine de l’impression 3D. En effet, une société hollandaise propose également le même service à quelques différences près. Une maison imprimée en 3D en Hollande demande près de trois ans pour sa fabrication, celle-ci étant entièrement imprimée en 3D. La maison chinoise est quant à elle, un assemblage de pièces fabriquées chacune séparément. De plus, seuls les éléments de maçonnerie sont imprimés en 3D ; la maison chinoise nécessite donc des travaux supplémentaires tels que les installations de bases électriques et de plomberie.
Par contre, comme l’indique Ma Yihe, PDG de la société Shanghai WinSun Decoration Design Engineering : « Ce nouveau type de structure 3D – imprimé est respectueux de l’environnement et rentable », le procédé de fabrication chinois allie en effet, à la fois efficacité, rentabilité et respect de l’environnement.
Cerise sur le gâteau, la maison imprimée en 3D de la société chinoise, coûte environ 5000 dollars américains, une somme dérisoire comparée aux maisons construites selon les procédés traditionnels de même superficie. La société espère d’ailleurs un jour, mettre à profit cette nouvelle technologie dans le bâtiment, dans l’objectif est de fournir des logements abordables pour les petits budgets.
Même si certains puristes émettent des réserves au sujet de cette technologie, sous le prétexte que le design des maisons semble étrange et qu’il ne s’agit pas d’une impression en bloc, selon le principe de l’impression 3D traditionnel, il semble que cette innovation soit déjà un succès. La société prévoit d’ores et déjà de construire 100 usines de recyclage dans le pays et de poursuivre la collecte et la transformation des déchets en encre, pour des imprimantes 3D géantes qui vont très certainement fonctionner à plein régime
-l'économiste Maghrébin
L’exploit de la société Shanghai WinSun Decoration Design Engineering a été rendu possible par la conception d’une imprimante 3D géante, mesurant 32 mètres de long, 10 mètres de large et 6,6 mètres de haut, permettant d’imprimer chacune des pièces qui constituent les maisons. « Nous avons acheté des pièces de l’imprimante à l’étranger et réunis la machine dans une usine à Suzhou », explique M. Ma Yihe, PDG de la société chinoise.
Les maisons, chacune d’une superficie de 200 m², dans le quartier de Qingpu de Shanghai, ont aussi la particularité d’être imprimées avec une encre composée d’un mélange de déchets industriels, de déchets de construction et de résidus. Fabriquées à partir de béton recyclé, ces constructions d’un nouveau genre sont par conséquent respectueuses de l’environnement.
Ce procédé n’est pourtant pas une première dans le domaine de l’impression 3D. En effet, une société hollandaise propose également le même service à quelques différences près. Une maison imprimée en 3D en Hollande demande près de trois ans pour sa fabrication, celle-ci étant entièrement imprimée en 3D. La maison chinoise est quant à elle, un assemblage de pièces fabriquées chacune séparément. De plus, seuls les éléments de maçonnerie sont imprimés en 3D ; la maison chinoise nécessite donc des travaux supplémentaires tels que les installations de bases électriques et de plomberie.
Par contre, comme l’indique Ma Yihe, PDG de la société Shanghai WinSun Decoration Design Engineering : « Ce nouveau type de structure 3D – imprimé est respectueux de l’environnement et rentable », le procédé de fabrication chinois allie en effet, à la fois efficacité, rentabilité et respect de l’environnement.
Cerise sur le gâteau, la maison imprimée en 3D de la société chinoise, coûte environ 5000 dollars américains, une somme dérisoire comparée aux maisons construites selon les procédés traditionnels de même superficie. La société espère d’ailleurs un jour, mettre à profit cette nouvelle technologie dans le bâtiment, dans l’objectif est de fournir des logements abordables pour les petits budgets.
Même si certains puristes émettent des réserves au sujet de cette technologie, sous le prétexte que le design des maisons semble étrange et qu’il ne s’agit pas d’une impression en bloc, selon le principe de l’impression 3D traditionnel, il semble que cette innovation soit déjà un succès. La société prévoit d’ores et déjà de construire 100 usines de recyclage dans le pays et de poursuivre la collecte et la transformation des déchets en encre, pour des imprimantes 3D géantes qui vont très certainement fonctionner à plein régime
-l'économiste Maghrébin
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