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L’icône de la chanson kabyle, Ahmed Hamou, décédé mercredi dernier des suites d’un AVC ischémique, a été inhumé, avant-hier, au cimetière de son village natal, L’mechta, sis à proximité du village Colonel Amirouche, dans la commune d’Akbou.
Le village natal de l’artiste s’est avéré, d’ailleurs, trop exigu pour contenir cette marée humaine qui a déferlé dans les rues de cette bourgade. Une foule nombreuse venue des quatre coins de la Kabylie a fait le déplacement jusqu’au village Colonel Amirouche (ex-Riquet) pour un ultime adieu à l’un des artiste les plus populaires de la région. On pouvait, d’ailleurs, apercevoir Amour Abdennour, Farid Ferragui, Loualia Boussaad, Abdenour Abdeslam et d’autres artistes, fans et anonymes, qui ont tous manifesté une immense tristesse à la perte d’un artiste de cette ampleur.Connu par ses chansons comiques, Ahmed Hamou a entamé sa carrière dans les années 60.
Mal médiatisé, l’auteur de la chanson Taksit n’Amara, disparaît sans être connu de la nouvelle génération. « L’artiste a su allier la chanson à la dérision, pour décrire l’absurdité de certains phénomènes de notre société », témoignent les nombreux artistes qui ont assisté aux obsèques.
En dehors de la chanson humoristique, à laquelle il avait consacré presque toute sa carrière, l’artiste, disparu à l’âge de 77 ans, avait fait aussi du sketch son violon d’Ingres. Il en avait d’ailleurs produit une dizaine, notamment avec son ami Salah Saâdaoui, une autre icône de la musique algérienne, décédé en 2005 à Paris. Parmi ses chansons, on peut citer Aqlwach, Taksit n’Amara, Dda Ahmed, Dada Moh, le Dinar, Anaâm a Ccix et d’autres titres reflétant la vertu de visionnaire d’Ahmou.
Repose en paix, l’artiste!
Menad Chalal- La Dépêche de Kabylie
Le village natal de l’artiste s’est avéré, d’ailleurs, trop exigu pour contenir cette marée humaine qui a déferlé dans les rues de cette bourgade. Une foule nombreuse venue des quatre coins de la Kabylie a fait le déplacement jusqu’au village Colonel Amirouche (ex-Riquet) pour un ultime adieu à l’un des artiste les plus populaires de la région. On pouvait, d’ailleurs, apercevoir Amour Abdennour, Farid Ferragui, Loualia Boussaad, Abdenour Abdeslam et d’autres artistes, fans et anonymes, qui ont tous manifesté une immense tristesse à la perte d’un artiste de cette ampleur.Connu par ses chansons comiques, Ahmed Hamou a entamé sa carrière dans les années 60.
Mal médiatisé, l’auteur de la chanson Taksit n’Amara, disparaît sans être connu de la nouvelle génération. « L’artiste a su allier la chanson à la dérision, pour décrire l’absurdité de certains phénomènes de notre société », témoignent les nombreux artistes qui ont assisté aux obsèques.
En dehors de la chanson humoristique, à laquelle il avait consacré presque toute sa carrière, l’artiste, disparu à l’âge de 77 ans, avait fait aussi du sketch son violon d’Ingres. Il en avait d’ailleurs produit une dizaine, notamment avec son ami Salah Saâdaoui, une autre icône de la musique algérienne, décédé en 2005 à Paris. Parmi ses chansons, on peut citer Aqlwach, Taksit n’Amara, Dda Ahmed, Dada Moh, le Dinar, Anaâm a Ccix et d’autres titres reflétant la vertu de visionnaire d’Ahmou.
Repose en paix, l’artiste!
Menad Chalal- La Dépêche de Kabylie
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