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C’est désormais officiel ! Le ministère de l’Education nationale vient enfin de prendre la décision tant attendue d’inclure tamazight dans l’examen du Brevet de l’enseignement moyen (BEM).
Placée sur le même pied d’égalité que la langue anglaise, les sciences naturelles et l’éducation islamique, le cœfficient a été hissé à 2 au lieu de 1 comme ce fût le cas depuis son introduction dans le système éducatif en 1995 suite, rappelons-le, à la pression exercée par la Kabylie sur le pouvoir en observant près d’une année de boycott scolaire.
Il faut dire que cet acte n’est qu’une réparation d’une injustice dont a été victime la langue de Mammeri. C’est aussi l’aboutissement d’un combat mené par les différents acteurs de cette revendication en particulier le Haut commissariat à l’amazighité qui a fait de cette question son cheval de bataille depuis son installation en juin 1995.
D’ailleurs, rappelons-le, lors des négociations engagées entre cette institution rattachée à la présidence et le ministère de l’Education, il a été décidé d’un commun accord que tamazight touchera d’abord les classes d’examen à savoir la 9e AF et la terminale. Néanmoins, les différents bâtons mis dans les roues par certaines parties ont retardé pour longtemps, plus d’une dizaine d’années, la satisfaction de cette demande.
Enfin, selon le document qui a atterri dans les établissement scolaires où tamazight est enseignée, les responsables du département de Benbouzid ont d’abord signifié le cœfficient ainsi que la durée de l’épreuve de cette matière puis ont pris le soin d’aviser les enseignants sur le modèle d’examen qui sera présenté aux candidats le jour “J”.
Par la dépêche de Kabylie
Placée sur le même pied d’égalité que la langue anglaise, les sciences naturelles et l’éducation islamique, le cœfficient a été hissé à 2 au lieu de 1 comme ce fût le cas depuis son introduction dans le système éducatif en 1995 suite, rappelons-le, à la pression exercée par la Kabylie sur le pouvoir en observant près d’une année de boycott scolaire.
Il faut dire que cet acte n’est qu’une réparation d’une injustice dont a été victime la langue de Mammeri. C’est aussi l’aboutissement d’un combat mené par les différents acteurs de cette revendication en particulier le Haut commissariat à l’amazighité qui a fait de cette question son cheval de bataille depuis son installation en juin 1995.
D’ailleurs, rappelons-le, lors des négociations engagées entre cette institution rattachée à la présidence et le ministère de l’Education, il a été décidé d’un commun accord que tamazight touchera d’abord les classes d’examen à savoir la 9e AF et la terminale. Néanmoins, les différents bâtons mis dans les roues par certaines parties ont retardé pour longtemps, plus d’une dizaine d’années, la satisfaction de cette demande.
Enfin, selon le document qui a atterri dans les établissement scolaires où tamazight est enseignée, les responsables du département de Benbouzid ont d’abord signifié le cœfficient ainsi que la durée de l’épreuve de cette matière puis ont pris le soin d’aviser les enseignants sur le modèle d’examen qui sera présenté aux candidats le jour “J”.
Par la dépêche de Kabylie