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Par : Badreddine KHRIS Henry S. Ensher avoue que son pays compte renforcer davantage sa coopération avec l’Algérie dans le domaine de la sécurité.
“Nous sommes confiants quant à la capacité de l’Algérie à se sécuriser et à assumer le rôle de leadership en aidant d’autres pays de la région à se sécuriser eux-mêmes.” L’ambassadeur des États-Unis à Alger, Henry S. Ensher, avoue que son pays compte renforcer davantage sa coopération avec l’Algérie dans le domaine de la sécurité.
La meilleure preuve pour arguer ses dires est la participation de plus de 80 entreprises américaines à la 47e Foire internationale d’Alger (FIA) qui aura lieu du 28 mai au 2 juin prochain au Palais des expositions des Pins-Maritimes. Une centaine d’opérateurs économiques viendra des USA à la recherche d’opportunités de partenariat durant la FIA.
L’idée est d’essayer de faire sortir les échanges commerciaux qui lient les deux pays du sentier pétrolier pour les élargir à d’autres domaines. Une chose est certaine, les deux parties ont exprimé leur bonne volonté de trouver d’autres potentialités de partenariat en dehors des hydrocarbures. L’industrie pharmaceutique, le transport et la technologie, mais aussi l’éducation et l’agriculture… sont, entre autres, les secteurs ciblés. C’est ce qui a été avancé hier au cours d’une conférence de présentation de la 47e FIA, qui aura comme invité d’honneur les États-Unis d’Amérique. Cette édition a attiré 37 pays dont 27 sous-pavillons officiels et le reste est représenté par des firmes étrangères. Huit pays européens, huit autres arabes, cinq asiatiques… prendront part à cette traditionnelle exposition.
L’on dénombre 1 045 exposants qui étaleront leurs produits sur une superficie globale de près de 48 347 m2. Le choix des USA n’est pas fortuit, d’autant plus que ce pays demeure le premier partenaire commercial de l’Algérie.
Pour leur part, les USA voient en l’Algérie un marché aux multiples opportunités d’investissements. La participation algérienne est composée de 453 exposants représentant les secteurs de la chimie-pétrochimie, l’équipement agricole, l’industrie… Celle des étrangers est estimée à 592 opérateurs, dominée par les entreprises activant dans les secteurs des équipements industriels et les services.
47e FIA : les USA, invités d’honneur
La Turquie occupe, du point de vue de la superficie louée, la première place avec ses 2 000 m2 suivie des USA avec 1 522 m2. “Ce qui démontre l’intérêt de ces deux pays pour le marché algérien et leur intention d’étendre leurs investissements avec leurs partenaires dans divers domaines”, explique-t-on dans un communiqué. Cette édition enregistre, en outre, le retour des entreprises japonaises après une absence de 6 années.
Ce come-back dénote de la volonté du Japon de réaliser des investissements dans notre pays, en dehors de l’énergie et des mines, à savoir la pêche, l’industrie électronique. L’ambassadeur des États-Unis a, par ailleurs, annoncé que plusieurs chaînes hôtelières s’installeront prochainement en Algérie.
À la question de savoir si les États-Unis comptaient vendre des drones à l’Algérie, M. Ensher a jugé “assez étrange” cette préoccupation constante à l’égard d’un équipement spécifique. Pour le diplomate, la coopération sécuritaire impliquait un large éventail d’équipements et de systèmes. “Nous travaillons avec le gouvernement algérien afin de renforcer notre coopération dans le domaine sécuritaire”, insiste-t-il. Sur un autre registre, un mémorandum portant sur l’industrie pharmaceutique sera paraphé entre le gouvernement algérien et les USA, le 31 mai.
Liberté
“Nous sommes confiants quant à la capacité de l’Algérie à se sécuriser et à assumer le rôle de leadership en aidant d’autres pays de la région à se sécuriser eux-mêmes.” L’ambassadeur des États-Unis à Alger, Henry S. Ensher, avoue que son pays compte renforcer davantage sa coopération avec l’Algérie dans le domaine de la sécurité.
La meilleure preuve pour arguer ses dires est la participation de plus de 80 entreprises américaines à la 47e Foire internationale d’Alger (FIA) qui aura lieu du 28 mai au 2 juin prochain au Palais des expositions des Pins-Maritimes. Une centaine d’opérateurs économiques viendra des USA à la recherche d’opportunités de partenariat durant la FIA.
L’idée est d’essayer de faire sortir les échanges commerciaux qui lient les deux pays du sentier pétrolier pour les élargir à d’autres domaines. Une chose est certaine, les deux parties ont exprimé leur bonne volonté de trouver d’autres potentialités de partenariat en dehors des hydrocarbures. L’industrie pharmaceutique, le transport et la technologie, mais aussi l’éducation et l’agriculture… sont, entre autres, les secteurs ciblés. C’est ce qui a été avancé hier au cours d’une conférence de présentation de la 47e FIA, qui aura comme invité d’honneur les États-Unis d’Amérique. Cette édition a attiré 37 pays dont 27 sous-pavillons officiels et le reste est représenté par des firmes étrangères. Huit pays européens, huit autres arabes, cinq asiatiques… prendront part à cette traditionnelle exposition.
L’on dénombre 1 045 exposants qui étaleront leurs produits sur une superficie globale de près de 48 347 m2. Le choix des USA n’est pas fortuit, d’autant plus que ce pays demeure le premier partenaire commercial de l’Algérie.
Pour leur part, les USA voient en l’Algérie un marché aux multiples opportunités d’investissements. La participation algérienne est composée de 453 exposants représentant les secteurs de la chimie-pétrochimie, l’équipement agricole, l’industrie… Celle des étrangers est estimée à 592 opérateurs, dominée par les entreprises activant dans les secteurs des équipements industriels et les services.
47e FIA : les USA, invités d’honneur
La Turquie occupe, du point de vue de la superficie louée, la première place avec ses 2 000 m2 suivie des USA avec 1 522 m2. “Ce qui démontre l’intérêt de ces deux pays pour le marché algérien et leur intention d’étendre leurs investissements avec leurs partenaires dans divers domaines”, explique-t-on dans un communiqué. Cette édition enregistre, en outre, le retour des entreprises japonaises après une absence de 6 années.
Ce come-back dénote de la volonté du Japon de réaliser des investissements dans notre pays, en dehors de l’énergie et des mines, à savoir la pêche, l’industrie électronique. L’ambassadeur des États-Unis a, par ailleurs, annoncé que plusieurs chaînes hôtelières s’installeront prochainement en Algérie.
À la question de savoir si les États-Unis comptaient vendre des drones à l’Algérie, M. Ensher a jugé “assez étrange” cette préoccupation constante à l’égard d’un équipement spécifique. Pour le diplomate, la coopération sécuritaire impliquait un large éventail d’équipements et de systèmes. “Nous travaillons avec le gouvernement algérien afin de renforcer notre coopération dans le domaine sécuritaire”, insiste-t-il. Sur un autre registre, un mémorandum portant sur l’industrie pharmaceutique sera paraphé entre le gouvernement algérien et les USA, le 31 mai.
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