Ville fantôme, vie fantôme
Paris, le vide au bout de mes doigts
Un soleil qui brûle des arbres millénaires fatigués
Des noms de bébés avec des cadavres inanimés
Une journée sans lumière arrivée avec des larmes sortis tout droit de ses entrailles
Pourquoi pleures-tu El Bahar ?
Sans raison ! J’ai le cœur à droite et la raison à gauche
Je m’interroge pourquoi ne pas avoir supporté les errements de l’autre
Je me tourmente encore les méninges
Je me demande qu’ai-je fait de travers
Que reste-t-il du sourire sur le visage du sourire ?
Des souvenirs et une existence sans avenir
Des éclats de rires furent encore des échos
Vie fantôme tu es la pour me rappeler l'étendue des dégâts
Paris, le vide au bout de mes doigts
Un soleil qui brûle des arbres millénaires fatigués
Des noms de bébés avec des cadavres inanimés
Une journée sans lumière arrivée avec des larmes sortis tout droit de ses entrailles
Pourquoi pleures-tu El Bahar ?
Sans raison ! J’ai le cœur à droite et la raison à gauche
Je m’interroge pourquoi ne pas avoir supporté les errements de l’autre
Je me tourmente encore les méninges
Je me demande qu’ai-je fait de travers
Que reste-t-il du sourire sur le visage du sourire ?
Des souvenirs et une existence sans avenir
Des éclats de rires furent encore des échos
Vie fantôme tu es la pour me rappeler l'étendue des dégâts
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