Un policier a vu, mercredi à Belp, un homme jeter sa clope par la fenêtre de son auto. Le lendemain, l'agent est passé chez le conducteur pour l'avertir qu'il serait sanctionné.
Fumer coûte cher. Max* l'a appris à ses dépens, la semaine dernière: une seule cigarette risque de lui revenir à 40 francs. Mercredi passé, ce Bernois s'est allumé une clope alors qu'il roulait en ville de Belp. Au lieu de l'écraser dans son cendrier, il l'a jetée par la fenêtre de sa voiture. Ce qu'il ne savait pas, c'est qu'un agent de la police l'observait.
Le lendemain soir, Max a trouvé devant la porte de son appartement une carte de visite de l'agent en question. «Au dos, il avait écrit que je devais le contacter lundi. Mais comme je voulais savoir ce qui se passait, je l'ai appelé vendredi matin», raconte le Bernois de 42 ans. Le policier lui aurait alors dit qu'il allait bientôt recevoir chez lui une amende de 40 francs pour littering. «Je n'arrive pas à comprendre pourquoi il s'est rendu exprès à mon domicile. Je ne sais pas comment il a fait pour entrer dans mon immeuble», s'interroge le quadragénaire. Max pense que l'agent a sonné chez ses voisins pour qu'ils lui ouvrent.
Contactée, la police n'a pas souhaité commenter l'affaire. Elle a néanmoins souligné qu'un agent pouvait coller une amende à quelqu'un même lorsqu'il n'est pas en service.
Plusieurs villes bernoises ont introduit depuis plusieurs années des amendes pour littering. Ainsi, jeter son mégot de cigarette, un bout de papier, des emballages quelconques ou encore son chewing-gum par terre coûte 40 francs. A Genève, les amendes varient entre 20 et 150 francs selon le type de déchets. Dans le canton de Fribourg et de Vaud, il n'existe pas d'amende d'ordre pour ce genre d'incivilités. Chaque commune a sa propre réglementation et les personnes salissant la voie publique sont punies à condition d'être dénoncées aux autorités compétentes. A Lausanne, des discussions à ce sujet son actuellement en cours.
Source: 20 minutes.fr
Fumer coûte cher. Max* l'a appris à ses dépens, la semaine dernière: une seule cigarette risque de lui revenir à 40 francs. Mercredi passé, ce Bernois s'est allumé une clope alors qu'il roulait en ville de Belp. Au lieu de l'écraser dans son cendrier, il l'a jetée par la fenêtre de sa voiture. Ce qu'il ne savait pas, c'est qu'un agent de la police l'observait.
Le lendemain soir, Max a trouvé devant la porte de son appartement une carte de visite de l'agent en question. «Au dos, il avait écrit que je devais le contacter lundi. Mais comme je voulais savoir ce qui se passait, je l'ai appelé vendredi matin», raconte le Bernois de 42 ans. Le policier lui aurait alors dit qu'il allait bientôt recevoir chez lui une amende de 40 francs pour littering. «Je n'arrive pas à comprendre pourquoi il s'est rendu exprès à mon domicile. Je ne sais pas comment il a fait pour entrer dans mon immeuble», s'interroge le quadragénaire. Max pense que l'agent a sonné chez ses voisins pour qu'ils lui ouvrent.
Contactée, la police n'a pas souhaité commenter l'affaire. Elle a néanmoins souligné qu'un agent pouvait coller une amende à quelqu'un même lorsqu'il n'est pas en service.
Plusieurs villes bernoises ont introduit depuis plusieurs années des amendes pour littering. Ainsi, jeter son mégot de cigarette, un bout de papier, des emballages quelconques ou encore son chewing-gum par terre coûte 40 francs. A Genève, les amendes varient entre 20 et 150 francs selon le type de déchets. Dans le canton de Fribourg et de Vaud, il n'existe pas d'amende d'ordre pour ce genre d'incivilités. Chaque commune a sa propre réglementation et les personnes salissant la voie publique sont punies à condition d'être dénoncées aux autorités compétentes. A Lausanne, des discussions à ce sujet son actuellement en cours.
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