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Le responsable de l’ANDI a indiqué que 16 grands projets d’investissement d’un montant de près de 8 milliards de dollars sont en discussion pour l’octroi d’avantages.
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M. Baghdadli directeur général de l’ANDI à la radio chaîne III
“Les investissements étrangers atteindront 3 milliards de dollars d’ici fin 2006”
Liberté
22/10/2006
Par Faïçal Medjahed
L’Agence nationale de développement de l’investissement (Andi) a reçu, indique son directeur général M. Abdelmadjid Baghdadli, 16 dossiers d’investissement dans de grands projets qui représentent 612 milliards de DA, soit près de 8 milliards de dollars.
Ces projets émanent, dira M. Baghdadli, d’opérateurs étrangers qui veulent investir notamment dans les secteurs du tourisme, la réalisation de centres d’affaires, la production d’énergie et les unités de dessalement d’eau de mer. Les promoteurs de ces projets sont, actuellement, en discussion avec l’Andi pour étudier leurs projets d’investissement et bénéficier des avantages octroyés par cette institution, souligne M. Baghdadli.
S’exprimant sur les ondes de la Radio nationale Chaîne III, M. Baghdadli a déclaré : “Le montant des projets d’investissement direct étranger hors hydrocarbures déclaré au niveau de l’Andi atteindra 3 milliards de dollars d’ici fin 2006”, en estimant que “l’Algérie constitue, aujourd’hui, un terrain d’attractivité pour les investisseurs étrangers notamment les capitaux arabes”. Les investisseurs s’intéressent essentiellement, constate
M. Baghdadli, aux secteurs du tourisme, de l’énergie, l’industrie, les services et l’immobilier.
L’invité de la Radio nationale Chaîne III a révélé, par ailleurs, que «l’Andi est en train de travailler sur un projet de guichet unique pilote à Blida afin de mettre en place un dispositif de facilitation pour la création d’entreprises destinées à l’investissement”.
Ce projet est mené en collaboration avec des institutions internationales. Il sera achevé d’ici fin 2006-début 2007. Le directeur général de l’Andi a ajouté qu’“on espère mettre en place un système de facilitation pour la création d’entreprises destinées à l’investissement au niveau des guichets uniques d’ici fin 2007”.
L’Andi dispose, aujourd’hui, de 13 guichets uniques répartis à travers le territoire national. Cette institution s’occupera, désormais, de la promotion et du suivi de la réalisation de l’investissement alors que l’administration fiscale et la douane seront chargées du suivi des engagements des investissements sur le terrain, explique M. Baghdadli. En évoquant le nouveau code de l’investissement, M. Baghdadli a affirmé que “ce texte a introduit plusieurs nouveautés qui facilitent davantage la mission de l’Andi dont la suppression des autorisations d’exercer les activités réglementées, la réduction des droits de douane de 5 à 0% pour les investissements du régime général, l’allégement des procédures administratives pour l’accès aux avantages en adoptant le système déclaratif”.
Le nouveau code de l’investissement a supprimé, également, l’obligation de présenter les projets dont le montant dépasse 500 millions de DA au Conseil national de l’investissement.
Ces projets seront traités, précise M. Baghdadli, au niveau de l’Andi. Cette institution dispose d’un délai respectivement de 72 heures et 10 jours pour le traitement des dossiers et délivrer les décisions d’octroi d’avantages d’exploitation, explique M. Baghdadli.
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M. Baghdadli directeur général de l’ANDI à la radio chaîne III
“Les investissements étrangers atteindront 3 milliards de dollars d’ici fin 2006”
Liberté
22/10/2006
Par Faïçal Medjahed
L’Agence nationale de développement de l’investissement (Andi) a reçu, indique son directeur général M. Abdelmadjid Baghdadli, 16 dossiers d’investissement dans de grands projets qui représentent 612 milliards de DA, soit près de 8 milliards de dollars.
Ces projets émanent, dira M. Baghdadli, d’opérateurs étrangers qui veulent investir notamment dans les secteurs du tourisme, la réalisation de centres d’affaires, la production d’énergie et les unités de dessalement d’eau de mer. Les promoteurs de ces projets sont, actuellement, en discussion avec l’Andi pour étudier leurs projets d’investissement et bénéficier des avantages octroyés par cette institution, souligne M. Baghdadli.
S’exprimant sur les ondes de la Radio nationale Chaîne III, M. Baghdadli a déclaré : “Le montant des projets d’investissement direct étranger hors hydrocarbures déclaré au niveau de l’Andi atteindra 3 milliards de dollars d’ici fin 2006”, en estimant que “l’Algérie constitue, aujourd’hui, un terrain d’attractivité pour les investisseurs étrangers notamment les capitaux arabes”. Les investisseurs s’intéressent essentiellement, constate
M. Baghdadli, aux secteurs du tourisme, de l’énergie, l’industrie, les services et l’immobilier.
L’invité de la Radio nationale Chaîne III a révélé, par ailleurs, que «l’Andi est en train de travailler sur un projet de guichet unique pilote à Blida afin de mettre en place un dispositif de facilitation pour la création d’entreprises destinées à l’investissement”.
Ce projet est mené en collaboration avec des institutions internationales. Il sera achevé d’ici fin 2006-début 2007. Le directeur général de l’Andi a ajouté qu’“on espère mettre en place un système de facilitation pour la création d’entreprises destinées à l’investissement au niveau des guichets uniques d’ici fin 2007”.
L’Andi dispose, aujourd’hui, de 13 guichets uniques répartis à travers le territoire national. Cette institution s’occupera, désormais, de la promotion et du suivi de la réalisation de l’investissement alors que l’administration fiscale et la douane seront chargées du suivi des engagements des investissements sur le terrain, explique M. Baghdadli. En évoquant le nouveau code de l’investissement, M. Baghdadli a affirmé que “ce texte a introduit plusieurs nouveautés qui facilitent davantage la mission de l’Andi dont la suppression des autorisations d’exercer les activités réglementées, la réduction des droits de douane de 5 à 0% pour les investissements du régime général, l’allégement des procédures administratives pour l’accès aux avantages en adoptant le système déclaratif”.
Le nouveau code de l’investissement a supprimé, également, l’obligation de présenter les projets dont le montant dépasse 500 millions de DA au Conseil national de l’investissement.
Ces projets seront traités, précise M. Baghdadli, au niveau de l’Andi. Cette institution dispose d’un délai respectivement de 72 heures et 10 jours pour le traitement des dossiers et délivrer les décisions d’octroi d’avantages d’exploitation, explique M. Baghdadli.