Pendant que d'honnêtes patriotes algériens sont assassinés par les hordes terroristes du GSPC, nos lâches politicards s'engraissent et négocient avec les intégristes pour s'assurer un bon partage des pouvoirs aux prochaines élections...
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TIMEZRIT - Le GSPC massacre et filme l’horreur
Continuant leur génocide, à l’abri de la réconciliation nationale qui leur garantit l’impunité, les criminels du GSPC commettent crime après crime contre tous ceux qui souffrent quotidiennement de la flamme du patriotisme dans un pays où les défenseurs de la République ressentent amèrement le sentiment d’abandon, voire de trahison.
La famille Naït Ali du village d’Afir-Azazna dans la comme de Timezrit (w. de Boumerdès) en a payé le prix fort. En effet, après l’assassinat en 1995 de Ahmed, père de 7 enfants, pour appartenance à la résistance citoyenne contre les hordes islamistes, ce jeudi en fin d’après-midi, les terroristes du GSPC au nombre de six tous armés, selon des témoins oculaires, de fusils d’assaut de type kalachnikov, ont tendu un guet-apens au niveau du village Aïn-Ezzenzla sur la route reliant la ville de Timezrit distante de 20 km des Issers, au second frère des Naït-Ali, feu Rabah, âgé d’une soixantaine d’années.
Le défunt qui venait tout juste de bénéficier de ses droits à la retraite en tant que garde communal voyageait modestement à bord d’un minibus Renault trafic pour rentrer chez lui lorsqu’il a été surpris dans un faux barrage. Les assassins ont fait descendre 4 hommes à qui ils avaient exigé les papiers d’identité. Essayant d’échapper aux criminels par un subterfuge, Rabah a répondu aux terroristes qu’il les a oubliés à la maison. Peine perdue, visiblement en effet, c’était lui malheureusement l’objet de cette expédition funeste. Toujours sous le choc, l’un des voyageurs témoigne “après qu’ils eurent fait descendre Rabah du bus, ils l’ont mitraillé sous nos yeux et à bout portant tout en filmant la scène à l’aide d’une caméra vidéo”. Par la suite, le corps de la victime a été mis dans la malle d’une Peugeot 505 qu’ils avaient volée.
Au bout d’un parcours de quelques centaines de mètres, les assaillants ont abandonné le corps du martyr sur le bord de la route. Pour s’enfuir, les criminels ont volé, selon ces témoignages, un second véhicule de type Renault Clio. Pour rappel, le garde communal assassiné, père de 6 enfants, était un GLD avant d’initier en compagnie d’un groupe de citoyens de la localité la création du détachement de la garde communale de Timezrit, il y a de cela une dizaine d’années. Le martyrs a été enterré hier en présence d’une grande foule parmi laquelle seule la présence du P/APC de la localité a été remarquée.
source : le soir d'Algérie
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TIMEZRIT - Le GSPC massacre et filme l’horreur
Continuant leur génocide, à l’abri de la réconciliation nationale qui leur garantit l’impunité, les criminels du GSPC commettent crime après crime contre tous ceux qui souffrent quotidiennement de la flamme du patriotisme dans un pays où les défenseurs de la République ressentent amèrement le sentiment d’abandon, voire de trahison.
La famille Naït Ali du village d’Afir-Azazna dans la comme de Timezrit (w. de Boumerdès) en a payé le prix fort. En effet, après l’assassinat en 1995 de Ahmed, père de 7 enfants, pour appartenance à la résistance citoyenne contre les hordes islamistes, ce jeudi en fin d’après-midi, les terroristes du GSPC au nombre de six tous armés, selon des témoins oculaires, de fusils d’assaut de type kalachnikov, ont tendu un guet-apens au niveau du village Aïn-Ezzenzla sur la route reliant la ville de Timezrit distante de 20 km des Issers, au second frère des Naït-Ali, feu Rabah, âgé d’une soixantaine d’années.
Le défunt qui venait tout juste de bénéficier de ses droits à la retraite en tant que garde communal voyageait modestement à bord d’un minibus Renault trafic pour rentrer chez lui lorsqu’il a été surpris dans un faux barrage. Les assassins ont fait descendre 4 hommes à qui ils avaient exigé les papiers d’identité. Essayant d’échapper aux criminels par un subterfuge, Rabah a répondu aux terroristes qu’il les a oubliés à la maison. Peine perdue, visiblement en effet, c’était lui malheureusement l’objet de cette expédition funeste. Toujours sous le choc, l’un des voyageurs témoigne “après qu’ils eurent fait descendre Rabah du bus, ils l’ont mitraillé sous nos yeux et à bout portant tout en filmant la scène à l’aide d’une caméra vidéo”. Par la suite, le corps de la victime a été mis dans la malle d’une Peugeot 505 qu’ils avaient volée.
Au bout d’un parcours de quelques centaines de mètres, les assaillants ont abandonné le corps du martyr sur le bord de la route. Pour s’enfuir, les criminels ont volé, selon ces témoignages, un second véhicule de type Renault Clio. Pour rappel, le garde communal assassiné, père de 6 enfants, était un GLD avant d’initier en compagnie d’un groupe de citoyens de la localité la création du détachement de la garde communale de Timezrit, il y a de cela une dizaine d’années. Le martyrs a été enterré hier en présence d’une grande foule parmi laquelle seule la présence du P/APC de la localité a été remarquée.
source : le soir d'Algérie
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