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Jamais dans son histoire, la JSK n’était conviée à un pareil début de compétition. Les statistiques, à l’appui, le confirment. Ce n’est pas tant cette dernière place qui fait mal pour les fans, même si ces derniers n’apprécient pas trop, mais c’est plutôt ce départ morose avec un zéro pointé au compteur des victoires.
C’est là le grand désappointement en Kabylie. D’autant que toutes les cartes ont été jouées. Les entraîneurs et les joueurs ont été changés, mais point de victoire ni de salut ! Tous les changements opérés n’ont pas eu l’effet escompté et le déclic attendu n’est pas venu. D’où l’inquiétude des fans qui se posent la question de savoir où s’arrêtera cette dérive du club. Particulièrement ceux qui étaient présents au 20 Août, jeudi dernier et qui ont été touchés dans leur amour-propre, blessés qu’ils étaient par les slogans des Belouizdadis qui n’avaient cessé de les narguer en leur promettant de rencontrer la saison prochaine le Widad de Boufarik en seconde division. Les supporters ont fait preuve de beaucoup de patience et d’indulgence envers leurs protégés. Ces derniers le leur rendent mal en concédant contre-performance sur contre-performance. Par ailleurs, ils leur ont accordé un dernier sursis ce jeudi face à l’USMA qui traverse aussi une zone de turbulences. En effet, ils attendent beaucoup de cette sortie face à l’USM Alger dans leur antre du 1er Novembre pour être définitivement fixés sur l’avenir de leur club. D’ailleurs, beaucoup de fidèles supporters s’attellent justement à parler de l’avenir du club qui est en danger mais pas compromis. Selon eux, il est plus qu’impératif de voir leur équipe réagir avant que cela ne soit trop tard du fait que la descente aux enfers est difficile à arrêter lorsqu’elle n’est pas irréversible. « Un plan Orsec devrait être déclenché. Certes, c’est excessif de ma part mais ce n’est que la vérité si l’on ne voudrait pas voir le club rétrogradé », dira un fervent supporter qui croit dur comme fer en la remontée de son équipe avec les trois matchs de retard qu’elle accuse, dont deux à domicile (Mouloudia d’Alger et ASO) avant de se rendre entre-temps à Blida. Du côté du staff technique, Aït Djoudi et Saïb ne s’affolent guère. Mieux, ils ont été même rassurés par la prestation de leur groupe malgré la défaite face à une jeune et inexpérimentée équipe du CRB. Non sans reconnaître, comme le dira Aït Djoudi, que le travail est encore bien long et ardu. Hannachi, de son côté, bien dépité, n’a pas voulu trop dramatiser après la défaite face au Chabab de Belouizdad tant les jours qui viennent s’annoncent radieux : « Nous avons une bonne équipe que les deux entraîneurs en place remettront sur les rails dans un délai très proche. » Il n’en demeure pas moins qu’il est en train de ressentir un vent chaud souffler dans son dos. Et qu’il lui faut au plus vite contenir pour éviter que le club ne sombre dans une profonde crise. Surtout une crise de confiance. Une chose est certaine : la rencontre face à l’USM Alger, qui a toujours quelque peu scellé le sort des deux équipes dans l’octroi du titre au cours de ces dernières années, pourrait bien sceller le destin des deux clubs quant à leur maintien dans le haut du tableau
C’est là le grand désappointement en Kabylie. D’autant que toutes les cartes ont été jouées. Les entraîneurs et les joueurs ont été changés, mais point de victoire ni de salut ! Tous les changements opérés n’ont pas eu l’effet escompté et le déclic attendu n’est pas venu. D’où l’inquiétude des fans qui se posent la question de savoir où s’arrêtera cette dérive du club. Particulièrement ceux qui étaient présents au 20 Août, jeudi dernier et qui ont été touchés dans leur amour-propre, blessés qu’ils étaient par les slogans des Belouizdadis qui n’avaient cessé de les narguer en leur promettant de rencontrer la saison prochaine le Widad de Boufarik en seconde division. Les supporters ont fait preuve de beaucoup de patience et d’indulgence envers leurs protégés. Ces derniers le leur rendent mal en concédant contre-performance sur contre-performance. Par ailleurs, ils leur ont accordé un dernier sursis ce jeudi face à l’USMA qui traverse aussi une zone de turbulences. En effet, ils attendent beaucoup de cette sortie face à l’USM Alger dans leur antre du 1er Novembre pour être définitivement fixés sur l’avenir de leur club. D’ailleurs, beaucoup de fidèles supporters s’attellent justement à parler de l’avenir du club qui est en danger mais pas compromis. Selon eux, il est plus qu’impératif de voir leur équipe réagir avant que cela ne soit trop tard du fait que la descente aux enfers est difficile à arrêter lorsqu’elle n’est pas irréversible. « Un plan Orsec devrait être déclenché. Certes, c’est excessif de ma part mais ce n’est que la vérité si l’on ne voudrait pas voir le club rétrogradé », dira un fervent supporter qui croit dur comme fer en la remontée de son équipe avec les trois matchs de retard qu’elle accuse, dont deux à domicile (Mouloudia d’Alger et ASO) avant de se rendre entre-temps à Blida. Du côté du staff technique, Aït Djoudi et Saïb ne s’affolent guère. Mieux, ils ont été même rassurés par la prestation de leur groupe malgré la défaite face à une jeune et inexpérimentée équipe du CRB. Non sans reconnaître, comme le dira Aït Djoudi, que le travail est encore bien long et ardu. Hannachi, de son côté, bien dépité, n’a pas voulu trop dramatiser après la défaite face au Chabab de Belouizdad tant les jours qui viennent s’annoncent radieux : « Nous avons une bonne équipe que les deux entraîneurs en place remettront sur les rails dans un délai très proche. » Il n’en demeure pas moins qu’il est en train de ressentir un vent chaud souffler dans son dos. Et qu’il lui faut au plus vite contenir pour éviter que le club ne sombre dans une profonde crise. Surtout une crise de confiance. Une chose est certaine : la rencontre face à l’USM Alger, qui a toujours quelque peu scellé le sort des deux équipes dans l’octroi du titre au cours de ces dernières années, pourrait bien sceller le destin des deux clubs quant à leur maintien dans le haut du tableau
El Watan