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Le Salon de l’artisanat qu’organise l’APW de Tizi Ouzou dans sa 6e édition s’est ouvert, hier, en présence d’Aïcha Tagabou, ministre déléguée auprès du ministre du Tourisme et de l'Artisanat chargée de l'Artisanat, qui a profité de cette occasion pour expliquer sa démarche à l’effet de donner un nouveau souffle à l’artisanat. “L’organisation fréquente des salons est parmi les solutions choisies par notre département à l’effet de donner un nouveau souffle à l’artisanat traditionnel, et ce, en facilitant la commercialisation des produits de ce secteur”, a déclaré la ministre déléguée lors d’une prise de parole qui a ponctué sa tournée à travers les différents stands de ce Salon érigé au jardin Colonel Mohand-Oulhadj du 26 au 30 mai courant. Lors de sa courte intervention, Aïcha Tagabou, la plus jeune ministre du nouveau gouvernement, a mis l’accent sur l’intérêt de multiplier ce genre de salons en expliquant qu’il s’agit d’un cadre qui permet à la fois aux artisans de commercialiser leurs produits, d’échanger leurs expériences, d’instaurer une tradition de consommation de produits artisanaux en suscitant plus d’engouement autour de ces produits chez la famille algérienne.
Un engouement qui a été, d’ailleurs, hier, au rendez-vous du Salon de Tizi Ouzou où les visiteurs étaient nombreux à venir faire le tour des chapiteaux, sous lesquels 150 artisans venus de 35 wilayas du pays ont exposé des produits artisanaux variant entre le bijou traditionnel, le tapis, la poterie, la vannerie, les habits traditionnels, les gâteaux et le couscous.
Intervenant à l’ouverture du Salon, le président de l’APW, Hocine Haroun, a expliqué, pour sa part, que “le Salon de l’artisanat, qui est à sa 6e édition, a déjà prouvé son efficacité en permettant à nos artisans d’écouler une partie de leurs marchandises et de partager leurs expériences avec celles des artisans d’autres wilayas”.
Pour ce responsable local, “en recevant des représentants de 36 wilayas, ce Salon est devenu, au fil des années, un carrefour d’échanges et de partage entre différents artisans d’Algérie”.
Toujours dans le cadre de la promotion de l’artisanat, la ministre déléguée a visité l’ancienne maison de l’artisanat du centre-ville de Tizi Ouzou où elle s’est enquise des préoccupations des artisans, puis le musée municipal dont le statut n’est toujours pas fixé, et ensuite le projet de construction d’une nouvelle maison de l’artisanat à la nouvelle ville de Tizi Ouzou ; un projet lancé depuis le début des années 2000 et dont les travaux ne sont toujours pas achevés en raison de plusieurs réévaluations de l’enveloppe qui lui a été consacrée
Par : Samir Leslous
liberte
Un engouement qui a été, d’ailleurs, hier, au rendez-vous du Salon de Tizi Ouzou où les visiteurs étaient nombreux à venir faire le tour des chapiteaux, sous lesquels 150 artisans venus de 35 wilayas du pays ont exposé des produits artisanaux variant entre le bijou traditionnel, le tapis, la poterie, la vannerie, les habits traditionnels, les gâteaux et le couscous.
Intervenant à l’ouverture du Salon, le président de l’APW, Hocine Haroun, a expliqué, pour sa part, que “le Salon de l’artisanat, qui est à sa 6e édition, a déjà prouvé son efficacité en permettant à nos artisans d’écouler une partie de leurs marchandises et de partager leurs expériences avec celles des artisans d’autres wilayas”.
Pour ce responsable local, “en recevant des représentants de 36 wilayas, ce Salon est devenu, au fil des années, un carrefour d’échanges et de partage entre différents artisans d’Algérie”.
Toujours dans le cadre de la promotion de l’artisanat, la ministre déléguée a visité l’ancienne maison de l’artisanat du centre-ville de Tizi Ouzou où elle s’est enquise des préoccupations des artisans, puis le musée municipal dont le statut n’est toujours pas fixé, et ensuite le projet de construction d’une nouvelle maison de l’artisanat à la nouvelle ville de Tizi Ouzou ; un projet lancé depuis le début des années 2000 et dont les travaux ne sont toujours pas achevés en raison de plusieurs réévaluations de l’enveloppe qui lui a été consacrée
Par : Samir Leslous
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