Lever de rideaux,
Tonnerre d'applaudissements.
Dieu que le décor est beau!
Dans le public rien que ravissement.
Le public devient acteur,
Le texte s'enrichit.
A la grande joie de l'auteur,
La pièce est rafraichie.
On parle d'amour
En vers et en prose,
On use d'humour
On charme plus qu'on ne cause.
Mais petit à petit
Se tait la lyre
Le jardin flétrit,
Et le barde se retire.
Tout prend une autre tournure,
D'ailleurs nos vies aussi,
Mais le public n'en a cure
Il est venu oublier ses soucis.
Point de main sur l'épaule,
Bien fort on s'en garde.
Rasant les murs et le sol
Les convives partent.
La scène devenant obscure,
On y distingue mieux les vrais amis.
Ils tiennent à nous fort et dur,
"On ne se lâche pas" c'est ce qu'on se dit.
Mais voilà lorsque se prolonge la peine
Et lorsqu'on plonge dans les ténèbres,
Même les frères nous sèment.
La bonté d'indifférence se zèbre.
Ou est parti ce qu'on a partagé de beau?
Disparu au son des gémissements.
Baisser de rideaux,
Plus jamais d'applaudissements.
Tonnerre d'applaudissements.
Dieu que le décor est beau!
Dans le public rien que ravissement.
Le public devient acteur,
Le texte s'enrichit.
A la grande joie de l'auteur,
La pièce est rafraichie.
On parle d'amour
En vers et en prose,
On use d'humour
On charme plus qu'on ne cause.
Mais petit à petit
Se tait la lyre
Le jardin flétrit,
Et le barde se retire.
Tout prend une autre tournure,
D'ailleurs nos vies aussi,
Mais le public n'en a cure
Il est venu oublier ses soucis.
Point de main sur l'épaule,
Bien fort on s'en garde.
Rasant les murs et le sol
Les convives partent.
La scène devenant obscure,
On y distingue mieux les vrais amis.
Ils tiennent à nous fort et dur,
"On ne se lâche pas" c'est ce qu'on se dit.
Mais voilà lorsque se prolonge la peine
Et lorsqu'on plonge dans les ténèbres,
Même les frères nous sèment.
La bonté d'indifférence se zèbre.
Ou est parti ce qu'on a partagé de beau?
Disparu au son des gémissements.
Baisser de rideaux,
Plus jamais d'applaudissements.
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