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Algérie : Deux ONG internationales dénoncent « les restrictions arbitraires » aux droits des travailleurs en Algérie
Les organisations Human Rights Watch (HRW) et le Réseau euro-méditerranéen des droits de l’Homme (REMDH) ont dénoncé, mardi, les restrictions arbitraires aux droits des travailleurs en Algérie, appelant l’Organisation internationale du travail (OIT) à agir afin de mettre un terme à « la répression contre les syndicats indépendants ».
« L’Algérie restreint de manière arbitraire les droits des travailleurs à former des organisations syndicales », indique les deux ONG dans un communiqué rendu public à Genève.
Le gouvernement, ont-elles affirmé, sanctionne les manifestants et les grévistes pacifiques via notamment des suspensions ou des licenciements dans les services publics en guise de représailles, et à travers l’arrestation et la poursuite en justice de militants syndicaux pour des motifs politiques.
« L’OIT devrait appeler l’Algérie à mettre un terme à la répression de l’activité des syndicats indépendants lorsqu’elle examinera l’état de la situation en Algérie dans le cadre de sa prochaine session qui s’ouvre mercredi à Genève », ont déclaré les deux organisations.
Elles appellent ce pays à honorer ses engagements en tant qu’Etat partie à la Convention 87 sur la liberté syndicale ainsi qu’à la Convention 98 sur le droit d’organisation et de négociation collective, deux des huit conventions fondamentales en matière de droit international du travail.
« En Algérie, l’action des travailleurs est contrecarrée lorsqu’ils tentent de former des syndicats indépendants et d’agir collectivement », a déploré Sarah Leah Whitson, directrice de la division Moyen-Orient et Afrique de HRW, citée par le communiqué.
Selon elle, l’OIT devrait saisir cette opportunité pour rappeler à l’Algérie que le respect des droits du travail implique de laisser les travailleurs former des syndicats et mener des activités syndicales sans ingérence du gouvernement.
Human Rights Watch et le Réseau euro-méditerranéen des droits de l’Homme indiquent s’être entretenus avec des travailleurs et des représentants syndicaux auprès de qui ils ont documenté les actions entreprises pour former des syndicats et examiné les lois et réglementations régissant les activités syndicales.
Les autorités algériennes, précise-t-on, « se livrent à des manœuvres administratives visant à refuser le statut légal à certains syndicats indépendants qui tentent d’opérer en dehors de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA), proche du pouvoir.
Quid.ma
Les organisations Human Rights Watch (HRW) et le Réseau euro-méditerranéen des droits de l’Homme (REMDH) ont dénoncé, mardi, les restrictions arbitraires aux droits des travailleurs en Algérie, appelant l’Organisation internationale du travail (OIT) à agir afin de mettre un terme à « la répression contre les syndicats indépendants ».
« L’Algérie restreint de manière arbitraire les droits des travailleurs à former des organisations syndicales », indique les deux ONG dans un communiqué rendu public à Genève.
Le gouvernement, ont-elles affirmé, sanctionne les manifestants et les grévistes pacifiques via notamment des suspensions ou des licenciements dans les services publics en guise de représailles, et à travers l’arrestation et la poursuite en justice de militants syndicaux pour des motifs politiques.
« L’OIT devrait appeler l’Algérie à mettre un terme à la répression de l’activité des syndicats indépendants lorsqu’elle examinera l’état de la situation en Algérie dans le cadre de sa prochaine session qui s’ouvre mercredi à Genève », ont déclaré les deux organisations.
Elles appellent ce pays à honorer ses engagements en tant qu’Etat partie à la Convention 87 sur la liberté syndicale ainsi qu’à la Convention 98 sur le droit d’organisation et de négociation collective, deux des huit conventions fondamentales en matière de droit international du travail.
« En Algérie, l’action des travailleurs est contrecarrée lorsqu’ils tentent de former des syndicats indépendants et d’agir collectivement », a déploré Sarah Leah Whitson, directrice de la division Moyen-Orient et Afrique de HRW, citée par le communiqué.
Selon elle, l’OIT devrait saisir cette opportunité pour rappeler à l’Algérie que le respect des droits du travail implique de laisser les travailleurs former des syndicats et mener des activités syndicales sans ingérence du gouvernement.
Human Rights Watch et le Réseau euro-méditerranéen des droits de l’Homme indiquent s’être entretenus avec des travailleurs et des représentants syndicaux auprès de qui ils ont documenté les actions entreprises pour former des syndicats et examiné les lois et réglementations régissant les activités syndicales.
Les autorités algériennes, précise-t-on, « se livrent à des manœuvres administratives visant à refuser le statut légal à certains syndicats indépendants qui tentent d’opérer en dehors de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA), proche du pouvoir.
Quid.ma
) et tu fais toujours le débile...
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