Le glas a sonné la fin de notre idolâtrie
Pour ordonner la mise sous terre de nos débris
Ô combien je suis soulagé de ne plus t’aimer
Chaque soir, quand vient l’heure
Je déterre tes écrits et pleure
Tel un rituel, puis je les range dans un linceul
Oh combien je pleurs ton absence, si bien
Que mon premier cri quand je suis venu à ce monde
N’est que l’écho idyllique de celui d’aujourd’hui
Un jour tu mesureras peut être
La valeur d’un cœur qui aime sans retenue
Tu te rendras compte que
La souffrance de sa perte n’aura d’égale
Que la joie du jour où tu l’as trouvé
Sourire, par un jour de Juin que nous nous sommes connus
Et c’est aussi par un jour de Juin que nous nous quittâmes
Pour ordonner la mise sous terre de nos débris
Ô combien je suis soulagé de ne plus t’aimer
Chaque soir, quand vient l’heure
Je déterre tes écrits et pleure
Tel un rituel, puis je les range dans un linceul
Oh combien je pleurs ton absence, si bien
Que mon premier cri quand je suis venu à ce monde
N’est que l’écho idyllique de celui d’aujourd’hui
Un jour tu mesureras peut être
La valeur d’un cœur qui aime sans retenue
Tu te rendras compte que
La souffrance de sa perte n’aura d’égale
Que la joie du jour où tu l’as trouvé
Sourire, par un jour de Juin que nous nous sommes connus
Et c’est aussi par un jour de Juin que nous nous quittâmes
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