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Les dirigeants de l’ex-FIS sollicités de partout

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  • Les dirigeants de l’ex-FIS sollicités de partout

    Les dirigeants de l’ex-FIS opèrent ces derniers mois, un retour en force sur la scène politique algérienne.



    Abdelkader Boukhamkham, ancien dirigeant du FIS dissous, a annoncé dans une lettre rendue publique, hier dimanche, son refus de participer aux consultations autour de la révision constitutionnelles.

    « J’ai été étonné qu’on m’adresse l’invitation en tant que personnalité nationale et non pas en ma qualité de dirigeant et membre fondateur du Front islamique du salut », a expliqué Boukhamkham, dans sa lettre adressée à Ahmed Ouyahia, directeur de cabinet de la Présidence, chargé par le chef de l’Etat de conduire les consultations autour de la révision constitutionnelle.

    L’invitation d’Ouyahia est d’autant plus surprenante que « je suis interdit abusivement d’exercer mes droits politiques et civiques en vertu de l’article 26 injuste de la Loi sur la réconciliation nationale », a-t-il ajouté.

    Boukhamham a estimé que les consultations autour de la nouvelle mouture de la Constitution se déroulent dans un « contexte dégradé, après une élection présidentielle boycottée par la majorité du peuple algérien ». Le FIS dissous, selon la lettre, veut confier la mission d’élaboration d’une « Constitution consensuelle » à une « instance constituante élue ».

    Les dirigeants de l’ex-FIS opèrent, ces derniers mois, un retour en force sur la scène politique algérienne. Ils sont invités à prendre part à la Conférence pour les libertés et la transition démocratiques devant se tenir le 10 juin prochain, à l’initiative de plusieurs partis dont le RCD.

    D’autres dirigeants de l’ex-FIS, à l’instar d’Anouar Heddam, sont présents dans le noyau qui a lancé en avril dernier, au côté d’anciens cadres du FFS, l’Alliance nationale pour le changement (ANC).

    Les démarches de la Coordination pour les libertés et la transition démocratique (CLTD) et de l’ANC interviennent parallèlement aux consultations conduites par Ahmed Ouyahia. Ces dernières, entamées hier dimanche, sont boycottées par l’ensemble des partis et personnalités politiques de l’opposition.



    Farouk Djouadi

  • #2
    Salam alikoum, si ils sont exclus ils vond crier injustice, s'ils sont sollicités d'autres diront pourquoi
    Pauvre situation!

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