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Durant plus d'une trentaine d'heures, du 28 et 29 mai 1958, des combats acharnés opposant les unités de parachutistes sous le commandement du colonel Jean-Pierre, patron des bérets rouges de l'Armée française et une unité de l'Armée de libération nationale, eurent lieu à Djebel Mermoura, dans la commune de Bouhamdane, à une quarantaine de kilomètres de Guelma.
Au moins 55 martyrs y trouvèrent la mort.
Mercredi 28 mai 2014, le 56e anniversaire de cette fameuse bataille a été commémoré à Djebel Mermoura, au cours d’une cérémonie présidée par le wali de Guelma, en présence des autorités civiles et militaires et des moudjahidine de la région. Selon des témoignages, l'Armée française a déployé d'importants moyens, y compris aériens, pour prendre le dessus sur un groupe de braves moudjahidine parmi lesquels se trouvaient Mostefa Bouledroua, Khelifa Kada et Tahar Dahmoune.
Parallèlement, les Djounoud ont infligé une lourde perte à l'ennemi. Ils ont mortellement blessé le colonel Jean-Pierre, en abattant son hélicoptère. La famille révolutionnaire de la région de Guelma était réunie devant la stèle érigée à la gloire des martyrs de cette grande bataille, pour honorer ceux qui ont sacrifié leur vie pour l'indépendance de l'Algérie.
Noureddine Guergour -Le Soir
Au moins 55 martyrs y trouvèrent la mort.
Mercredi 28 mai 2014, le 56e anniversaire de cette fameuse bataille a été commémoré à Djebel Mermoura, au cours d’une cérémonie présidée par le wali de Guelma, en présence des autorités civiles et militaires et des moudjahidine de la région. Selon des témoignages, l'Armée française a déployé d'importants moyens, y compris aériens, pour prendre le dessus sur un groupe de braves moudjahidine parmi lesquels se trouvaient Mostefa Bouledroua, Khelifa Kada et Tahar Dahmoune.
Parallèlement, les Djounoud ont infligé une lourde perte à l'ennemi. Ils ont mortellement blessé le colonel Jean-Pierre, en abattant son hélicoptère. La famille révolutionnaire de la région de Guelma était réunie devant la stèle érigée à la gloire des martyrs de cette grande bataille, pour honorer ceux qui ont sacrifié leur vie pour l'indépendance de l'Algérie.
Noureddine Guergour -Le Soir