À l’occasion du 21e anniversaire de l’assassinat de l’écrivain, journaliste et poète, feu Tahar Djaout, par des intégristes islamistes, le 26 mai 1993, deux journées évocation seront organisées, aujourd’hui et demain, à l’initiative de la direction de la culture de la wilaya de Tizi-Ouzou, en collaboration avec la commune d’Ait Chafaâ. Au programme d’aujourd’hui, un dépôt de gerbes de fleurs sera organisé par la direction de la culture sur la tombe du poète dans le village qui l’a vu naître, à Ait Chafaâ, dans la daïra d’Azeffoun.
Demain, il y aura une exposition d’articles de presse, de photos et de livres, retraçant la vie et l’œuvre de Tahar Djaout. Des témoignages des membres de sa famille, ainsi que de ses amis seront également au programme de cette journée. Un éco sonore, en hommage à Tahar Djaout, réalisé par Boukhalfa Bacha, ainsi qu’un film documentaire sur la vie et l’œuvre de l’écrivain, intitulé «Le poète peut-il mourir», réalisé par le journaliste Abderrezak Larbi Chérif, seront projeté au niveau du petit théâtre de la Maison de culture Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou et seront suivis de débats. Puis, l’on procédera à une lecture des textes de Tahar Djaout par les adhérents de l’atelier de poésie de la Maison de culture.
L’auteur de la célèbre phrase «Le silence c’est la mort, et toi, si tu te tais, tu meurs, et si tu parles, tu meurs, alors dis et meurs !», qui inspirera plus d’un écrivain et artiste, et qui résume à elle seule l’engagement et le courage de l’homme, naquit le 11 janvier 1954 au village Oulkhou dans la commune d’Ait Chafaâ, dans la daïra d’Azeffoun.
Krima Talis- La Dépêche de Kabylie
Demain, il y aura une exposition d’articles de presse, de photos et de livres, retraçant la vie et l’œuvre de Tahar Djaout. Des témoignages des membres de sa famille, ainsi que de ses amis seront également au programme de cette journée. Un éco sonore, en hommage à Tahar Djaout, réalisé par Boukhalfa Bacha, ainsi qu’un film documentaire sur la vie et l’œuvre de l’écrivain, intitulé «Le poète peut-il mourir», réalisé par le journaliste Abderrezak Larbi Chérif, seront projeté au niveau du petit théâtre de la Maison de culture Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou et seront suivis de débats. Puis, l’on procédera à une lecture des textes de Tahar Djaout par les adhérents de l’atelier de poésie de la Maison de culture.
L’auteur de la célèbre phrase «Le silence c’est la mort, et toi, si tu te tais, tu meurs, et si tu parles, tu meurs, alors dis et meurs !», qui inspirera plus d’un écrivain et artiste, et qui résume à elle seule l’engagement et le courage de l’homme, naquit le 11 janvier 1954 au village Oulkhou dans la commune d’Ait Chafaâ, dans la daïra d’Azeffoun.
Krima Talis- La Dépêche de Kabylie
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