Il y a des axes routiers qui sont très dangereux et de nombreux accidents de circulation y ont lieu et cela d'année en année, or rien ne se passe et c'est le cas de l'axe Tichy-Bejaïa. y a t'il un quota de morts qui doit être remplis avant que l'on puisse songer à l'aménager?
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Même si les routes nationales traversant la wilaya de Béjaïa sont le théâtre de graves accidents de la route, la RN 9 reliant la ville de Tichy au chef-lieu de wilaya est en tête du peloton en la matière. L’excès de vitesse et la conduite en état d’ivresse sont d’ailleurs les causes principales de ces accidents.
Durant ces derniers jours de ramadan, l’imprudence et l’inconscience des chauffeurs sont souvent la cause de ces malheurs. C’est ce qui ressort d’ailleurs du bilan hebdomadaire de la Gendarmerie nationale qui a fait le point sur la tranche horaire - avant la rupture du jeûne - où se produisent la majorité des collisions.
Au cours de la semaine écoulée, un autre accident mortel, au cours duquel un écolier de 12 ans a été mortellement fauché par un chauffard qui roulait à vive allure, s’est produit à El-Maghra sur la RN 9. Ce dernier vient allonger la liste des victimes.
Selon les témoins, la vitesse du véhicule devait dépasser le seuil de 80 km/h. Il est vrai que la vitesse excessive est fatale aussi bien aux automobilistes qu’aux riverains et piétons, notamment au niveau du tronçon traversant le village aux PK7 et PK10 et à El-Maghra.
Il convient de rappeler qu’un septuagénaire a été mortellement fauché, il y a trois mois de cela au village situé au PK 10 sur la RN 9 par un chauffeur imprudent roulant à grande vitesse. Sans conteste, la construction d’une passerelle, comme le réclament à l’unanimité les habitants des alentours de l’autoroute reliant Béjaïa à Tichy, qui est désormais appelée l’axe de la mort, est plus qu’urgente.
Approchés par nos soins, ces citoyens déplorent cette situation dangereuse à laquelle ils sont confrontés quotidiennement. «La réalisation d’une passerelle est plus qu’urgente. Nous lançons un appel, par le biais de la presse, aux instances concernées afin qu’elles interviennent promptement pour arrêter l’effusion de sang sur nos routes», demande un jeune villageois.
Par Le jeune indépendant
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Même si les routes nationales traversant la wilaya de Béjaïa sont le théâtre de graves accidents de la route, la RN 9 reliant la ville de Tichy au chef-lieu de wilaya est en tête du peloton en la matière. L’excès de vitesse et la conduite en état d’ivresse sont d’ailleurs les causes principales de ces accidents.
Durant ces derniers jours de ramadan, l’imprudence et l’inconscience des chauffeurs sont souvent la cause de ces malheurs. C’est ce qui ressort d’ailleurs du bilan hebdomadaire de la Gendarmerie nationale qui a fait le point sur la tranche horaire - avant la rupture du jeûne - où se produisent la majorité des collisions.
Au cours de la semaine écoulée, un autre accident mortel, au cours duquel un écolier de 12 ans a été mortellement fauché par un chauffard qui roulait à vive allure, s’est produit à El-Maghra sur la RN 9. Ce dernier vient allonger la liste des victimes.
Selon les témoins, la vitesse du véhicule devait dépasser le seuil de 80 km/h. Il est vrai que la vitesse excessive est fatale aussi bien aux automobilistes qu’aux riverains et piétons, notamment au niveau du tronçon traversant le village aux PK7 et PK10 et à El-Maghra.
Il convient de rappeler qu’un septuagénaire a été mortellement fauché, il y a trois mois de cela au village situé au PK 10 sur la RN 9 par un chauffeur imprudent roulant à grande vitesse. Sans conteste, la construction d’une passerelle, comme le réclament à l’unanimité les habitants des alentours de l’autoroute reliant Béjaïa à Tichy, qui est désormais appelée l’axe de la mort, est plus qu’urgente.
Approchés par nos soins, ces citoyens déplorent cette situation dangereuse à laquelle ils sont confrontés quotidiennement. «La réalisation d’une passerelle est plus qu’urgente. Nous lançons un appel, par le biais de la presse, aux instances concernées afin qu’elles interviennent promptement pour arrêter l’effusion de sang sur nos routes», demande un jeune villageois.
Par Le jeune indépendant
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