L’Algérie est encore une fois, sollicitée pour abriter une rencontre des parties concernées par le conflit malien. Il s’agit des groupes armés du nord du Mali et des représentants des Etats voisins dont le Tchad et la Mauritanie qui, auront le temps de cette réunion algéroise à se concerter sur la faisabilité d’une plateforme commune devant redynamiser le dialogue avec le gouvernement malien.
Cette rencontre entre dans le cadre des efforts consentis par la communauté internationale et les pays voisins du Mali dans le but de rechercher une solution définitive au problème du nord malien.
Il est attendu beaucoup de choses de cette initiative dont notamment, l’instauration « des pourparlers préparatoires devant permettre de ramener tous les groupes armés maliens à se mettre d’accord sur une plateforme commune », déclarait à L’Éconews le ministre malien des Affaires étrangères, Abdoulaye Diop, en marge de la 17éme conférence des pays non alignés tenue à Alger.
Ces négociations verront la participation de certains pays voisins du Mali mais elles se dérouleront sans la présence des autorités maliennes. « Le gouvernement malienne ne prendra pas part a ces négociations, mais il prépare les conditions idoines pour ouvrir le dialogue inter malien», a précisé le chef de la diplomatie malienne.
Cette initiative, reste une « bonne opportunité malgré tout ce qui s’est passé». De ce fait, il est important de saisir « l’occasion offerte par l’Algérie pour toutes les parties qui ont participé aux accords de Ouagadougou pour élaborer une plateforme commune», a souligné encore notre interlocuteur.
En effet, suite aux derniers affrontements avec les groupes armés au Nord du Mali, le ministre malien, a indiqué qu’il « est important que nous recevions de l’aide des pays amis comme l’Algérie et le Tachad pour maintenir la pression sur les groupes armés ». Car, selon lui « ce qui s’est passé dernièrement à Kidal a montré des connexions évidentes entre les groupes armés et les mouvements terroristes qui ont profité de cette occasion pour se renforcer et revenir sur le terrain».
Auparavant, le ministre algérien des affaires étrangères, Ramtane Lamamra, avait indiqué que l’Algérie est disponible à accueillir des mouvements maliens pour finaliser une plateforme de négociations entre les mouvements qui ont démontré leur intérêt pour les négociations ». Il avait également souligné la disponibilité de notre gouvernement ainsi que les gouvernements des pays du Sahel à apporter leurs concours pour réussir cette démarche ».
Khelifa L. 05.06.2014
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Cette rencontre entre dans le cadre des efforts consentis par la communauté internationale et les pays voisins du Mali dans le but de rechercher une solution définitive au problème du nord malien.
Il est attendu beaucoup de choses de cette initiative dont notamment, l’instauration « des pourparlers préparatoires devant permettre de ramener tous les groupes armés maliens à se mettre d’accord sur une plateforme commune », déclarait à L’Éconews le ministre malien des Affaires étrangères, Abdoulaye Diop, en marge de la 17éme conférence des pays non alignés tenue à Alger.
Ces négociations verront la participation de certains pays voisins du Mali mais elles se dérouleront sans la présence des autorités maliennes. « Le gouvernement malienne ne prendra pas part a ces négociations, mais il prépare les conditions idoines pour ouvrir le dialogue inter malien», a précisé le chef de la diplomatie malienne.
Cette initiative, reste une « bonne opportunité malgré tout ce qui s’est passé». De ce fait, il est important de saisir « l’occasion offerte par l’Algérie pour toutes les parties qui ont participé aux accords de Ouagadougou pour élaborer une plateforme commune», a souligné encore notre interlocuteur.
En effet, suite aux derniers affrontements avec les groupes armés au Nord du Mali, le ministre malien, a indiqué qu’il « est important que nous recevions de l’aide des pays amis comme l’Algérie et le Tachad pour maintenir la pression sur les groupes armés ». Car, selon lui « ce qui s’est passé dernièrement à Kidal a montré des connexions évidentes entre les groupes armés et les mouvements terroristes qui ont profité de cette occasion pour se renforcer et revenir sur le terrain».
Auparavant, le ministre algérien des affaires étrangères, Ramtane Lamamra, avait indiqué que l’Algérie est disponible à accueillir des mouvements maliens pour finaliser une plateforme de négociations entre les mouvements qui ont démontré leur intérêt pour les négociations ». Il avait également souligné la disponibilité de notre gouvernement ainsi que les gouvernements des pays du Sahel à apporter leurs concours pour réussir cette démarche ».
Khelifa L. 05.06.2014
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