A la princesse d’Hékatompyle
Dans ton regard hagard
J’ai lu l’aveu de ton âme
Prononcé à coups de faits et gestes
Et j’ai pris mon envol heureux
Dans ta façon de parler aux autres
Souvent, tu te dénonces avec un rien
Qui en lui s’accroche ton amertume
Et dans chacun de tes mots
Tu trahis ta pensée latente
Sur ton visage
J’ai vu un sourire qui n’est pas le tien
Emprunté à j’en sais qui
Puis tu as prétendu le contraire
Puis le contraire de ce contraire
Surtout, conserve consciencieusement
Cette imagination débordante
A défaut d’autres qualités
Dont tu te vantes hardiment
Et que tout le monde te nie.
Sur tes joues décharnées
J’ai vu couler des larmes
Qui ont fait fuser les miennes
Et m’ont rendu malheureux
Dans tes lettres
Je n’ai rien lu de sérieux
D’une femme qui soit aimante et fidèle
A sa promesse même éphémère
Sur ce, je te dis adieu très chère
Prie Dieu qu’il empêche
L’histoire de se renouveler
La reine de s’immiscer
Dans ta vie de future reine
Prie Dieu qu’il octroie
Justesse et pertinence au Roi
Qu’il ouvre les yeux à ton royaume
Qui se croit au dessus des cieux.
Dans ton regard hagard
J’ai lu l’aveu de ton âme
Prononcé à coups de faits et gestes
Et j’ai pris mon envol heureux
Dans ta façon de parler aux autres
Souvent, tu te dénonces avec un rien
Qui en lui s’accroche ton amertume
Et dans chacun de tes mots
Tu trahis ta pensée latente
Sur ton visage
J’ai vu un sourire qui n’est pas le tien
Emprunté à j’en sais qui
Puis tu as prétendu le contraire
Puis le contraire de ce contraire
Surtout, conserve consciencieusement
Cette imagination débordante
A défaut d’autres qualités
Dont tu te vantes hardiment
Et que tout le monde te nie.
Sur tes joues décharnées
J’ai vu couler des larmes
Qui ont fait fuser les miennes
Et m’ont rendu malheureux
Dans tes lettres
Je n’ai rien lu de sérieux
D’une femme qui soit aimante et fidèle
A sa promesse même éphémère
Sur ce, je te dis adieu très chère
Prie Dieu qu’il empêche
L’histoire de se renouveler
La reine de s’immiscer
Dans ta vie de future reine
Prie Dieu qu’il octroie
Justesse et pertinence au Roi
Qu’il ouvre les yeux à ton royaume
Qui se croit au dessus des cieux.
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