UN MURMURE,
Pourquoi es tu si triste et désemparée belle Dame ?
Du fond de ton cœur l’amertume te tire–t– elle des larmes ?
La joie et la félicité ont elle été emportées par l’orage ?
Les hypocrites ont-ils fini par te faire ombrage ?
Pourquoi es tu si sombre et pleine de regrets ?
As-tu oublié les jours où la joie dévoile ses secrets ?
Serait-ce un de ces jours où tout te semble égal,
Où la lumière s’éteint et le silence s’installe ?
Regarde cette lumière, c’est le sourire du soleil
Respire cette fraîcheur, c’est l’haleine du vent
Puis porte ton regard sur le beau soleil au levant
Et enivre-toi du souffle du vent au réveil
Plus jamais on ne te verra en pleurs
Puis jamais la tristesse n’envahira ton cœur
Car jamais plus tu ne te sentiras malheureuse
Puisqu’il en faudra si peu pour te rendre heureuse...
Ibrahims KONE
Pourquoi es tu si triste et désemparée belle Dame ?
Du fond de ton cœur l’amertume te tire–t– elle des larmes ?
La joie et la félicité ont elle été emportées par l’orage ?
Les hypocrites ont-ils fini par te faire ombrage ?
Pourquoi es tu si sombre et pleine de regrets ?
As-tu oublié les jours où la joie dévoile ses secrets ?
Serait-ce un de ces jours où tout te semble égal,
Où la lumière s’éteint et le silence s’installe ?
Regarde cette lumière, c’est le sourire du soleil
Respire cette fraîcheur, c’est l’haleine du vent
Puis porte ton regard sur le beau soleil au levant
Et enivre-toi du souffle du vent au réveil
Plus jamais on ne te verra en pleurs
Puis jamais la tristesse n’envahira ton cœur
Car jamais plus tu ne te sentiras malheureuse
Puisqu’il en faudra si peu pour te rendre heureuse...
Ibrahims KONE
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