ROYAUME-UNI - Les corps de William et Patricia Wycherley ont été retrouvés enterrés dans leur jardin, en Grande-Bretagne. Ils ont en fait été tués par leur fille, qui a fait croire pendant 15 ans qu'ils étaient encore vivants.
Pendant 15 ans, elle fait croire que ses parents sont vivants alors qu'ils sont enterrés dans son jardin.Pendant 15 ans, elle fait croire que ses parents sont vivants alors qu'ils sont enterrés dans son jardin. Photo : AFP/ Illustration
Metronews a fait le tour de la presse internationale et vous livre le fait divers du jour...
Unis pour le meilleur, ils se sont rendus coupables du pire. Devant la justice britannique depuis quelques jours, Susan, 57 ans, a avoué avoir tué ses parents en 1999, avant de cacher les corps avec son mari puis de faire croire qu'ils étaient vivants, rapporte la BBC.
C'est à l'occasion d'une violente dispute que tout dérape entre Susan et sa mère Patricia. Lorsque la mère affirme qu'elle couche avec le mari de sa fille, le sang de cette dernière ne fait qu'un tour et le pire arrive : elle tue Patricia, puis son père, William.
La vérité éclate lorsque les comptes sont vides
Sagement assis devant l'Eurovision, le mari de Susan, Christopher, décide de couvrir sa femme et de l'aider à dissimuler les deux corps. Après avoir envisagé plusieurs options, le couple opte pour le jardin familial. Susan et Christopher les enterrent et recouvrent l'endroit de plantes pour que personne ne puisse découvrir ce meurtre.
Mais le couple diabolique ne s'arrête pas là. Au cours des 15 années suivantes, il use de tous les stratagèmes pour cacher ce meurtre et vider le compte des parents défunts. Susan envoie ainsi régulièrement des cartes postales à toute sa famille et redouble d'imagination pour rendre ses mensonges crédibles. A ses voisins, aux institutions et au médecin de la famille, elle annonce que ses parents sont partis vivre en Irlande pour profiter du "bon air".
Mais lorsque les comptes bancaires des parents disparus finissent à court d'argent, l'horrible vérité éclate enfin. La belle-mère de ce dernier découvre la supercherie et les dénonce à la police. Le procès, ouvert depuis quelques jours, est toujours en cours.
DAMIEN PRAT
Pendant 15 ans, elle fait croire que ses parents sont vivants alors qu'ils sont enterrés dans son jardin.Pendant 15 ans, elle fait croire que ses parents sont vivants alors qu'ils sont enterrés dans son jardin. Photo : AFP/ Illustration
Metronews a fait le tour de la presse internationale et vous livre le fait divers du jour...
Unis pour le meilleur, ils se sont rendus coupables du pire. Devant la justice britannique depuis quelques jours, Susan, 57 ans, a avoué avoir tué ses parents en 1999, avant de cacher les corps avec son mari puis de faire croire qu'ils étaient vivants, rapporte la BBC.
C'est à l'occasion d'une violente dispute que tout dérape entre Susan et sa mère Patricia. Lorsque la mère affirme qu'elle couche avec le mari de sa fille, le sang de cette dernière ne fait qu'un tour et le pire arrive : elle tue Patricia, puis son père, William.
La vérité éclate lorsque les comptes sont vides
Sagement assis devant l'Eurovision, le mari de Susan, Christopher, décide de couvrir sa femme et de l'aider à dissimuler les deux corps. Après avoir envisagé plusieurs options, le couple opte pour le jardin familial. Susan et Christopher les enterrent et recouvrent l'endroit de plantes pour que personne ne puisse découvrir ce meurtre.
Mais le couple diabolique ne s'arrête pas là. Au cours des 15 années suivantes, il use de tous les stratagèmes pour cacher ce meurtre et vider le compte des parents défunts. Susan envoie ainsi régulièrement des cartes postales à toute sa famille et redouble d'imagination pour rendre ses mensonges crédibles. A ses voisins, aux institutions et au médecin de la famille, elle annonce que ses parents sont partis vivre en Irlande pour profiter du "bon air".
Mais lorsque les comptes bancaires des parents disparus finissent à court d'argent, l'horrible vérité éclate enfin. La belle-mère de ce dernier découvre la supercherie et les dénonce à la police. Le procès, ouvert depuis quelques jours, est toujours en cours.
DAMIEN PRAT
Commentaire