le sois d'algerie.
Les différents mouvements du nord du Mali, opposés au régime de Bamako, sont parvenus, à l’issue d’un conclave de plusieurs jours à Alger, à élaborer et signer une plateforme d’entente et d’action commune. Le document a été signé lors d’une cérémonie organisée lundi soir à la Résidence El Mithak.
Sofiane Aït Iflis - Alger (Le Soir) - Le document s’articule autour de deux axes essentiels : le renforcement de la dynamique d’apaisement et la consolidation du cessez-le feu et, corrélativement, la prise en charge des questions liées au développement dans la région du nord du Mali. La plate-forme, dont l’Algérie a joué le rôle de facilitateur, se veut une base unifiée de négociations avec le gouvernement de Bamako. Les mouvements du nord du Mali, à l’exception des groupes terroristes, considèrent avoir réussi une étape importante sur la voie du dialogue qui reste à amorcer avec les autorités de Bamako. La plate-forme a été signée en présence du ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra. Elle engage le Haut- Conseil de l’unité de l’Azawad, le Mouvement arabe de l’unité de l’Azawad et le MNLA. Elle a été paraphée par Abbas Ag Intalla, SG du HCUA, Ibrahim Ould Sidi Mouhamed, SG du MAUA, et Bilal Ag Sharif, SG du MNLA. Les autorités maliennes, qui éprouvent jusque-là des difficultés à réunir les mouvements du nord du Mali autour d’une table de négociation, ont encouragé la médiation algérienne. Une médiation qui n’est pas la première en somme, puisque, auparavant, des accords ont été signés à Alger. Des accords qui n’ont pas connu de traduction concrète sur le terrain.
S.A. I.
Les différents mouvements du nord du Mali, opposés au régime de Bamako, sont parvenus, à l’issue d’un conclave de plusieurs jours à Alger, à élaborer et signer une plateforme d’entente et d’action commune. Le document a été signé lors d’une cérémonie organisée lundi soir à la Résidence El Mithak.
Sofiane Aït Iflis - Alger (Le Soir) - Le document s’articule autour de deux axes essentiels : le renforcement de la dynamique d’apaisement et la consolidation du cessez-le feu et, corrélativement, la prise en charge des questions liées au développement dans la région du nord du Mali. La plate-forme, dont l’Algérie a joué le rôle de facilitateur, se veut une base unifiée de négociations avec le gouvernement de Bamako. Les mouvements du nord du Mali, à l’exception des groupes terroristes, considèrent avoir réussi une étape importante sur la voie du dialogue qui reste à amorcer avec les autorités de Bamako. La plate-forme a été signée en présence du ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra. Elle engage le Haut- Conseil de l’unité de l’Azawad, le Mouvement arabe de l’unité de l’Azawad et le MNLA. Elle a été paraphée par Abbas Ag Intalla, SG du HCUA, Ibrahim Ould Sidi Mouhamed, SG du MAUA, et Bilal Ag Sharif, SG du MNLA. Les autorités maliennes, qui éprouvent jusque-là des difficultés à réunir les mouvements du nord du Mali autour d’une table de négociation, ont encouragé la médiation algérienne. Une médiation qui n’est pas la première en somme, puisque, auparavant, des accords ont été signés à Alger. Des accords qui n’ont pas connu de traduction concrète sur le terrain.
S.A. I.
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