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Washington a annoncé ce vendredi une offre de 18 millions de dollars pour toute information conduisant à l’arrestation de quatre individus liés à des organisations « terroristes » qui opèrent en Afrique.
La chasse à l’homme peut commencer en Afrique. Dans le cadre du programme Récompenses pour la Justice, le département d’État américain a annoncé, vendredi 13 juin, qu’une prime de 18 millions de dollars serait versée à toute personne qui aiderait à la capture de quatre « terroristes » qui sévissent en Afrique. Sur la liste, outre le dirigeant présumé du groupe armé « Ansaru » basé au Nigéria, Washington vise deux membres fondateurs du Mujao (Mouvement pour l’unicité et le djihad en Afrique de l’Ouest) en plus d’un présumé terroriste qui opérerait en Égypte.
Établi par la loi générale 98-533 de 1984 relative à la lutte contre le terrorisme international, le programme américain Récompenses pour la justice (Rewards for Justice/RFJ) dépend du Bureau de la sécurité diplomatique du Département d’État des Etats-Unis. Depuis sa création en 1984, le programme a versé plus de 125 millions de dollars en récompenses dans le cadre de sa lutte contre le terrorisme international. L’institution aurait notamment permis, entre autres, la capture de Qusai et d’Odai Hussein, les deux fils de Saddam.
Oeildafrique.
La chasse à l’homme peut commencer en Afrique. Dans le cadre du programme Récompenses pour la Justice, le département d’État américain a annoncé, vendredi 13 juin, qu’une prime de 18 millions de dollars serait versée à toute personne qui aiderait à la capture de quatre « terroristes » qui sévissent en Afrique. Sur la liste, outre le dirigeant présumé du groupe armé « Ansaru » basé au Nigéria, Washington vise deux membres fondateurs du Mujao (Mouvement pour l’unicité et le djihad en Afrique de l’Ouest) en plus d’un présumé terroriste qui opérerait en Égypte.
Établi par la loi générale 98-533 de 1984 relative à la lutte contre le terrorisme international, le programme américain Récompenses pour la justice (Rewards for Justice/RFJ) dépend du Bureau de la sécurité diplomatique du Département d’État des Etats-Unis. Depuis sa création en 1984, le programme a versé plus de 125 millions de dollars en récompenses dans le cadre de sa lutte contre le terrorisme international. L’institution aurait notamment permis, entre autres, la capture de Qusai et d’Odai Hussein, les deux fils de Saddam.
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