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(Agence Ecofin) - Les autorités égyptiennes ont saisi, le 15 juin, deux chaînes de supermarchés appartenant à des dirigeants des Frères musulmans, confrérie décrétée «organisation terroriste» et interdite depuis la destitution du président islamiste Mohamed Morsi, rapporte Reuters.
Il s’agit des chaînes de supermarchés Zad, appartenant à Khaïrat al Chater (photo), et Seoudi, propriété de Abdelrahman el Seoudi.
La police a procédé à la saisie des deux chaînes regroupant plusieurs magasins spécialisés dans la vente des produits alimentaires au Caire sur ordre d'une commission chargée d'identifier les biens de la confrérie, que le nouveau pouvoir accuse d'avoir perpétré des attaques meurtrières contre forces de l’ordre après la destitution de M. Morsi par l'armée.
Khairat al-Chater est un riche homme d'affaires considéré comme le premier financier des Frères musulmans égyptiens. Abdel Rahman Seoudi est lui aussi un riche homme d'affaires dont le rôle au sein de la confrérie est méconnu.
La plupart des dirigeants des Frères musulmans, dont Khaïrat al Chater et le président déchu Mohamed Morsi, séjournent en prison. La confiscation de leurs biens a été ordonnée en septembre dernier par la justice égyptienne.
Il s’agit des chaînes de supermarchés Zad, appartenant à Khaïrat al Chater (photo), et Seoudi, propriété de Abdelrahman el Seoudi.
La police a procédé à la saisie des deux chaînes regroupant plusieurs magasins spécialisés dans la vente des produits alimentaires au Caire sur ordre d'une commission chargée d'identifier les biens de la confrérie, que le nouveau pouvoir accuse d'avoir perpétré des attaques meurtrières contre forces de l’ordre après la destitution de M. Morsi par l'armée.
Khairat al-Chater est un riche homme d'affaires considéré comme le premier financier des Frères musulmans égyptiens. Abdel Rahman Seoudi est lui aussi un riche homme d'affaires dont le rôle au sein de la confrérie est méconnu.
La plupart des dirigeants des Frères musulmans, dont Khaïrat al Chater et le président déchu Mohamed Morsi, séjournent en prison. La confiscation de leurs biens a été ordonnée en septembre dernier par la justice égyptienne.
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