marcher dans la nuit
dans ce musée d'art
au grand air
depuis les hauteurs
la ville s'endort
des points d'or voguent sur des vagues noires
et les trois feuils de palmiers
érigées, tournées vers les cieux
ma ville grise théâtre de trahison
chuchotent ses rues que personne n'entend
pécheurs vieillis enfants de la terre
de la mer et d'un père salé
salis, redorés à présent par la fête
accompagné par un trait de fumé
s'échappant de ma bouche
fumée empoisonnée mais bienfaitrice
la solitude d'un spectacle dans une nuit violette
Alger respire de nouveau
aspire au renouveau
bab el oued et ses trois horloges
la rivière qui pue et qui tue
basse ville où des braves entassés
ont cessé de ressasser le passé
Alger vit, l’Algérie revit et un nouvel habit revêt
se mettent à rêver des gosses courant derrière un ballon
chaabi accompagnant du thé,
tapage nocturne au tour de table de dominos
el hadj entrain de faire bronzer son chardo
et les belles sirènes, porteuses d'ambitions
acculent le désespoir aux porte de la fac de médecine
chawarma attirant les mouches
et ba9lawa hypnotisant les abeilles
vieux travailleur en pierre
seroual loubya docker du vieux port
blanche comme la neige, devenue grise par les épreuves
ma ville éclate au soleil et défie le présent
n'a fait qu'une bouché du passé sans l'oublier
ambitionne d'épouser le future
freemen des dunes, ici résistent à l'hiver
le peuple des milles est un chahide, des milles et unes promesses
dans ce musée d'art
au grand air
depuis les hauteurs
la ville s'endort
des points d'or voguent sur des vagues noires
et les trois feuils de palmiers
érigées, tournées vers les cieux
ma ville grise théâtre de trahison
chuchotent ses rues que personne n'entend
pécheurs vieillis enfants de la terre
de la mer et d'un père salé
salis, redorés à présent par la fête
accompagné par un trait de fumé
s'échappant de ma bouche
fumée empoisonnée mais bienfaitrice
la solitude d'un spectacle dans une nuit violette
Alger respire de nouveau
aspire au renouveau
bab el oued et ses trois horloges
la rivière qui pue et qui tue
basse ville où des braves entassés
ont cessé de ressasser le passé
Alger vit, l’Algérie revit et un nouvel habit revêt
se mettent à rêver des gosses courant derrière un ballon
chaabi accompagnant du thé,
tapage nocturne au tour de table de dominos
el hadj entrain de faire bronzer son chardo
et les belles sirènes, porteuses d'ambitions
acculent le désespoir aux porte de la fac de médecine
chawarma attirant les mouches
et ba9lawa hypnotisant les abeilles
vieux travailleur en pierre
seroual loubya docker du vieux port
blanche comme la neige, devenue grise par les épreuves
ma ville éclate au soleil et défie le présent
n'a fait qu'une bouché du passé sans l'oublier
ambitionne d'épouser le future
freemen des dunes, ici résistent à l'hiver
le peuple des milles est un chahide, des milles et unes promesses
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