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Aïe ! La dette du Maroc dépasse les 69,2 milliards de dollars

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  • Aïe ! La dette du Maroc dépasse les 69,2 milliards de dollars

    salam



    Le ministre marocain de l’Economie et des Finances, Mohamed Boussaïd, a indiqué que le gouvernement rejette l’emprunt volontaire, mais y recourt pour faire face aux contraintes et défis intérieurs et extérieurs.
    Lors d’un point de presse vendredi à Rabat, le ministre a souligné que l’erreur serait de ne pas recourir à l’endettement car le non emprunt entrainerait une absence d’investissements et partant une obstruction au développement et à la création d’emplois.  »Si vous ne contractez pas d’emprunt, vous n’allez pas investir et si vous n’investissez pas, il y aurait pas d’opportunités d’emploi », a commenté M. Boussaid, qui a assuré que « l’endettement reste un mal nécessaire ».
    Toutefois, le ministre a déclaré que le Maroc figure parmi les pays les moins endettés par rapport à d’autres pays, selon les données de 2012. Il a rappelé que le Maroc se compare plutôt favorablement avec les autres pays en termes de poids de la dette, avec une dette extérieure publique estimé à 25,4% du PIB en 2012 où la dette du Maroc s’élevait à 554,3 milliards de dirhams (DH, 1 dollar=8 dirhams), dont 424,5 milliards de DH de dette intérieure. La dette extérieure étant donc de 129,8 milliards de DH.
    Dans ce sens, il a affirmé que l’endettement est sous contrôle, justifiant cette affirmation par les observations de plusieurs institutions financières qui ont estimé que l’endettement au Maroc est encore dans ses étapes normales.  »Le niveau de développement du secteur financier permet au trésor de disposer d’une base d’investisseurs très diversifiée avec 35 % de compagnies d’assurance et caisses de retraire, 29 % des banques, 25% d’OPCVM et 11 % des autres », a noté M. Boussaid.
    Grâce à un processus continu de réformes du marché domestique des bons du Trésor, ce marché est le plus développé dans la région MENA, présentant les principaux attributs d’un marché mature, notamment la liquidité, la transparence, la sécurité et l’efficacité. En effet, M. Boussaid a indiqué que la dette totale du Trésor a connu une hausse pour atteindre 63,5 % en PIB en 2013 contre 47,3 % en 2008, notant que cette dette du Trésor est essentiellement à moyen et long termes (82 %) avec une durée de vie moyenne de 6 ans à fin mai 2014. Le trésorier du Maroc a expliqué le recours à l’endettement par l’accélération du déficit budgétaire, la masse salariale, la charge de la compensation et l’effort de l’investissement.
    Le ministre marocain a en outre défendu énergiquement le recours à l’emprunt par le gouvernement marocain, qui est parvenu à lever 1 milliard d’euros en obligations souveraines sur les marchés internationaux de capitaux. Désormais, la couverture des besoins en importations du Maroc s’étendra à 4 mois et 20 jours. Le succès qu’a connu cette opération d’emprunt obligataire, qui a été sursouscrite deux fois, confirme la confiance dont jouit le Maroc auprès de la communauté des affaires, des agences mondiales de notation Standard & Poors, Fitch Ratings et des grandes institutions financières internationales, a souligné le ministre marocain de l’Economie et des Finances.
    Rappelons que l’agence de notation internationale Fitch Ratings a maintenu la note « BBB- » du Maroc pour ses emprunts en devises avec perspective stable. Cette nouvelle note intervient suite à la réalisation par le Maroc d’une émission obligataire sur le marché financier international d’un montant d’un milliard d’euros, soit plus de 11 milliards de DH, d’une maturité de 10 ans avec un taux d’intérêt de 3,5%, a indiqué l’agence Fitch dans un communiqué rendu public.
    Cette opération, qui marque le retour du Maroc sur le marché de l’Euro après une absence de 4 ans, a connu un fort engouement des investisseurs étrangers qui se sont inscrits massivement à ce nouvel emprunt à l’international.
    XinHua

  • #2
    Tant mieux, ce qu'on appelle du courage économique!
    Ce qui est déprimant, c'est de s'assoir sur 250MdUSD de réserve et avoir la moitrié des jeunes au chomage.
    Mais,l7itism à l'air de vous convenir

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    • #3
      @ASEK

      La réalité au Maroc du Roi des pauvres

      Par Benkirane
      "Le Maroc a besoin de se serrer la ceinture au moins pendant dix ans" pour sortir de la crise...................,
      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

      Commentaire


      • #4
        salam

        quitte à choisir mon choix est vite fait




        entre ca et ca



        et même avec des activités haram vous arrivez à avoir des hittistes

        Dernière modification par ZA1971, 24 juin 2014, 17h55.

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