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Un réseau de prostitution de troisième sexe a été démantelé en Egypte. Il avait à sa tête un Marocain, lui aussi hermaphrodite. Ce réseau trouvait ses clients sur Facebook et leurs proposaient "une nuit de plaisir" moyennant 150 euros.
Une des prostituées affirme :
« on a rencontré une personne, hermaphrodite comme nous, et il nous a proposé de créer un réseau de « farfacha » (prostitution) et ainsi gagner plein d’argent avec ce projet. Nous avons alors loué une chambre à Misr Aljadida, et nous avons crée des pages Facebook pour attirer les demandeurs de sexe ».
Selon Youm7.com, ces personnes, paraît-il, étaient accoutumées aux maltraitances sexuelles dans la rue où elles vivaient. C’était donc, pour elles, une manière de gagner de l’argent tout en étant plus en sécurité.
Une autre prostituée révèle des détails :
« Nous avons aménagé ce grand appartement et l’avons réparti en plusieurs chambres à coucher meublées, avec des ampoules de lumière sombre, puis nous avons acheté des réfrigérateurs où nous avons mis de l’alcool et des spiritueux, en plus de notre achat de plusieurs DVD pornographiques. Et nous avons dévoilé nos tarifs : minimum 1500 livres égyptiennes (150 euros) ».
Cette affaire est actuellement devant les tribunaux égyptiens.
source site bladi
Un réseau de prostitution de troisième sexe a été démantelé en Egypte. Il avait à sa tête un Marocain, lui aussi hermaphrodite. Ce réseau trouvait ses clients sur Facebook et leurs proposaient "une nuit de plaisir" moyennant 150 euros.
Une des prostituées affirme :
« on a rencontré une personne, hermaphrodite comme nous, et il nous a proposé de créer un réseau de « farfacha » (prostitution) et ainsi gagner plein d’argent avec ce projet. Nous avons alors loué une chambre à Misr Aljadida, et nous avons crée des pages Facebook pour attirer les demandeurs de sexe ».
Selon Youm7.com, ces personnes, paraît-il, étaient accoutumées aux maltraitances sexuelles dans la rue où elles vivaient. C’était donc, pour elles, une manière de gagner de l’argent tout en étant plus en sécurité.
Une autre prostituée révèle des détails :
« Nous avons aménagé ce grand appartement et l’avons réparti en plusieurs chambres à coucher meublées, avec des ampoules de lumière sombre, puis nous avons acheté des réfrigérateurs où nous avons mis de l’alcool et des spiritueux, en plus de notre achat de plusieurs DVD pornographiques. Et nous avons dévoilé nos tarifs : minimum 1500 livres égyptiennes (150 euros) ».
Cette affaire est actuellement devant les tribunaux égyptiens.
source site bladi
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