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Algérie, économie: état des lieux

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  • Algérie, économie: état des lieux

    Je voudrais rebondir sur l'article qui met en avent la très faible part de nos exportations hors hydrocarbure:
    lien de l'article: http://www.algerie-dz.com/article6871.html

    En gros, en dehors du gaz et du pétrole, nous exportons quasiment RIEN! et ça fait bientôt 50 ans que cela dure. Mais pourquoi s'étonner: le marché national est innondé de bien et de services produits par des entreprises étrangères. Si des produits "made in Algeria" ne sont même pas présents sur le marché national, comment envisager l'exportation? Avant de songer à exporter faudrait commencer par PRODUIRE, chez NOUS. Le secteur secondaire (les industries) algérien est complètement atrophié. En fait, notre économie est une économie d'approvisionnement! Nous avons une bourse (le pétrole) avec notre modeste bourse (40 milliards de dollards) qui est de l'ordre d'une fortune personnelle aux USA (50 milliards de dollars, Bill Gates) nous nous approvisionnons en, café, en sucre, en poulet de reproduction, en portables en ordinateurs, en automobiles etc... L'Algérie fonctionne comme une grande épicerie (c'est triste de dire ça): grâce aux hydrocarbures, elle s'approvisionne sur le marché international pour subvenir aux besoins du marché national....

    Les quelques usines industrielles existantes sont des usines de montage gourmandes, elles aussi, en importation de pièces maîtresses comme les moteurs de nos camions Sonacome. C'est aussi, le cas de l'industrie agro-alimentaire: c'est vrai, on produit plein de produits laitier: houraa! Mais on imoporte l'essentiel de la matière première de l'étranger: LE LAIT!

    Pour exporter, il faudrait d'abord produire des biens de consommation entièrement faits chez nous pour, tout d'abord alimenter le marché national ensuite, aller à la conquête du marché international.

    Pour être encore plus clair; Les pays industrialisés ont besoin de quantités importantes de Pétrole pour faire "tourner" leurs économies. Les USA sont en tête des producteurs mondiaux de Pétrole mais ils ne sont pas exportateurs. Au contraire, ils sont importateurs car c'est vital pour leur économie.

    Nous, nous somme le 6 ème exportateur mondial de pétrole. Notre industrie est si peu développée qu'on a pas besoinde de pétrole!

    Les caisses de l'état sont pleines mais, l'économie est moribonde à l'image de toutes les économies du sud condamnées à exporter leur matières premières (quand elles en ont) et, s'achalander auprès des pays producteurs. Des épiceries!

  • #2
    Bonjour Mokrani

    Je suis entièrement d’accord avec ton analyse. Nous discutons toujours dans ce forum de ces sujets : l’inexistence d’une économie hors hydrocarbures, d’une véritable industrie, du faible attrait des IDE (Investissements Directs Etrangers), de la dépendance du pétrole etc …

    Comme l’a bien dit l’ex-ministre Benbitour : « L’Algérie est un pays exportateur de richesses et importateur de misères ».
    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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    • #3
      pour produire chez soit, il faut investir, et pour investir il faut libéraliser le prêt bancaire et ne pas l'accorder uniquement aux fils et aux filles des généraux et autres ministres, ceux qui ont le bras long pour faire dans l'import et uniquement l'import...

      A partir du moment ou une entreprise nationale souhaitant produire de l'insuline, a trouver toutes les peines du monde pour récupérer ses équipements au port d'alger..

      C'est un peu le quotidien pour celui qui veut acheter des machines et matières premières susceptibles de menacer le business de certains barons...

      Ils vous casseront les ailes en moins de 2...

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      • #4
        @ Mokrani

        Bonsoir Mokrani je suis aussi de ton avis. Je sais que l’Algérie a les moyens financiers et humains pour inverser progressivement la vapeur, mais le problème ne se trouve pas là. Les gens du pouvoir connaissent bien la situation et ils connaissent aussi les remèdes à apporter mais ils ne feront rien pour faire bouger les choses. Si ils laissent des gens créer des entreprises ces derniers finiront par devenir puissant grâce au poids économique qu’ils auront acquis, et donc ils finiront tôt ou tard par remettre en question la configuration du pouvoir national.

        Donc dans les hautes sphères du pouvoir le mot d’ordre est simple nous maîtrisons le pétrole et les importations et nous ne laisserons personne accéder à l’ascension économique qui un jour ou l’autre pourra nous être fatale.

        Donc l’état fait tous pour freiner l’économie et il fait exprès de rater tous les rendez vous du décollage économique. Pour moi ce n’est pas un hasard si aujourd’hui malgré la situation économique que connaît le pays, il n’existe aucun plan clair avec des jalons précis pour la relance de l’industrie ou la promotion des exportations hors hydrocarbures !!!

        Le fiasco économique national n’est pas dû en premier lieu à des difficultés diverses mais bien à un programme organisé qui mène vers l’échec. Juste un exemple cela fait 44 ans que nous sommes indépendant et nous sommes encore et toujours incapables d’atteindre 1 milliard $ d’exportation hors hydrocarbure. Donc il serait naïf de croire que cela est du à tel ou tel cause que nous ne maîtrisons pas. Moi je suis persuadé que c’est un fiasco organisé.

        Juste un exemple celui de l’import export cette activité fait partie du plan FIASCO l’état et les gens proches de l’état exportent du pétrole on empêchant l’industrie de se développer, et par la même occasion ils gèrent les importations et la boucle est bouclée, l’exemple de l’épicier résume en quelque sorte cette situation.

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        • #5
          walid_dz, c'est drole, mais j'ai fait la même analyse que toi et lorsque je la raconte aux gens, ils ne me croient pas.
          Je disait que le problème de l'Algerie n'est nullement financier, ni économique, ni culturel mais tout simplement un problème politique.
          Ceux qui détiennent le pouvoir n'on aucune raison de changer quoi que ce soit, ils ne font que conforter leurs emprise sur le pays.
          Les gens attendent le messie, qui ne viendras jamais, s'ils ne se prennent pas en charge eux mêmes, ils resteront comme ils sont, des moutons qu'on mènent à l'abbatoire, sacrifiés sur l'autel des intérets supérieurs de la "nation".

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          • #6
            Moi je pense c’est plus une histoire de je m’en foutisme général. Personne n’est là pour régler sérieusement les problèmes. C’est le laisser-aller qui dure depuis longtemps. Ce qu’on nous présente comme changement c’est du bricolage et du hafware.

            Quels intérêts ils ont de vivre dans un pays ou il n y a pas d’infrastructures, de loisirs, d’hygiène … ? Ils peuvent préserver leurs intérêts tout en libérant l’économie du pays et son développement. Les pays les plus dictateurs comme la Chine, la Tunisie ont compris ça.

            Dans un pays où il fait bon vivre personne ne s’occupe de politique, il n y a pas de tensions sociales … Le peuple leur laisse le pouvoir

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            • #7
              Mokrani

              Je vois que tu fais l'unanimité, tout le monde est d'accord avec toi et je le suis aussi.
              L'Algérie a les besoins et les moyens et nos dirigeants ne savent pas ou ne veulent pas résoudre une équation aussi simple par incompétence ou par calcul.
              Je pense que le frein à la promotion de nos exportations vient en grande partie de la situation ambiguë de notre monnaie. Le dinar n'est pas convertible officiellement alors qu'officieusement, il l'est, et à un taux pratiquement équivalent au taux officiel.
              Malgré les lois en vigueur qu'il applique toujours dans le sens qui lui convient, L'Etat veut garder le monopole des secturs stratégiques tels que la monnaie et le crédit.
              On sait que des investisseurs douteux ont bénéficié de prêts astronomiques pendant que d'autres ont été soumis à des chantages inadmissibles pour des projets modestes.
              Les quelques scandales que la presse a pu nous rapporter sont très éloquents à ce sujet, et encore, nombreuses sont les victimes qui se taisent. Car il ne faut pas oublier que la loi punit le corrompu et le corrupteur, et ceux qui, soumis à un odieux chantage, ont été obligés de "les cracher" comme on dit n'ont pas intérêt à dénoncer.

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              • #8
                @ Altair

                Envoyé par Altair
                walid_dz, c'est drole, mais j'ai fait la même analyse que toi et lorsque je la raconte aux gens, ils ne me croient pas.
                Je disait que le problème de l'Algerie n'est nullement financier, ni économique, ni culturel mais tout simplement un problème politique.
                Ceux qui détiennent le pouvoir n'on aucune raison de changer quoi que ce soit, ils ne font que conforter leurs emprise sur le pays.
                Les gens attendent le messie, qui ne viendras jamais, s'ils ne se prennent pas en charge eux mêmes, ils resteront comme ils sont, des moutons qu'on mènent à l'abbatoire, sacrifiés sur l'autel des intérets supérieurs de la "nation".
                Oui je sais beaucoup d'amis disent la même chose par rapport à l’analyse, mais il y en a beaucoup d'autres qui ne croient pas. Au fond d'eux ils savent que c'est vrai mais ils ne se l'avouent pas ils préfèrent chercher d'autres explications au lieu de dire oui nous sommes entrain de nous faire arnaquer depuis des années par une bande de voleur.

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                • #9
                  "Les gens du pouvoir connaissent bien la situation et ils connaissent aussi les remèdes à apporter mais ils ne feront rien pour faire bouger les choses. Si ils laissent des gens créer des entreprises ces derniers finiront par devenir puissant grâce au poids économique qu’ils auront acquis, et donc ils finiront tôt ou tard par remettre en question la configuration du pouvoir national." Walid-DZ

                  C'est exactement ça walid et l'exemple tout à fait d'actualité est celui des misères qu'on est en train de faire à Mr. Rebreb, patron du groupe Cevital, un des rares fleurons de l'industrie DZ. La maneouvre en question consiste d'abord à l'empêcher de produire du sucre sur place pour ses limonaderies pour le contraindre à faire importer cette denrée.

                  Deuxio, lui (rebreb) crie à qui veut l'entendre que ce produit est à considérer comme un produit semi-fini, puisque destiné à être incorporé aux limonades. Il doit donc répondre à un taux de taxation douanière de 15%. Les autorités, aux ordres de je ne sais qui, disent niet et prétendent qu'il s'agit d'un produit fini et donc taxable à 30%. Personnellement, je doute que Mr. Rebreb veuille mourir de diabète en mangeant tout ce sucre dans son thé ou son café !

                  Voilà là un exemple de la façon dont on traite l'un des patrons les plus dynamiques du pays. Mais malgré cela, certains continuent à être aveuglés par un nationalisme plus que mal placé en disant que l'algérie est un pays où tout va bien !

                  Commentaire


                  • #10
                    dzcomment

                    Moi je pense c’est plus une histoire de je m’en foutisme général. Personne n’est là pour régler sérieusement les problèmes. C’est le laisser-aller qui dure depuis longtemps. Ce qu’on nous présente comme changement c’est du bricolage et du hafware.
                    Bonjour Dzcomment oui c'est un je m'en foutisme entretenu un je m'en foutisme calculé. Car le désordre profite à beaucoup de gens hauts placés.

                    Quels intérêts ils ont de vivre dans un pays ou il n y a pas d’infrastructures, de loisirs, d’hygiène … ? Ils peuvent préserver leurs intérêts tout en libérant l’économie du pays et son développement. Les pays les plus dictateurs comme la Chine, la Tunisie ont compris ça.
                    Où est l'intérêt de ça ? C'est justement d'empêcher la naissance d'une classe d'investisseur qui va un jour ou l'autre remettre en cause le pouvoir actuel. Nos dirigeants essaye chez nous de faire dérailler l'histoire des nations. Dans l’histoire des nations on commence avec une nation autoritaire "dictature", ensuite à cause de soulèvement ou de coup d’état on aboutit à la naissance d’un régime moins dictatorial et d'une économie productive nationale dirigée par des capitaines d'industrie et des investisseurs privés etc... Ensuite au bout d’une période et au gré des alliances d’intérêts les capitaines d'industries commencent à s'intéresser à la politique à ce stade là nous sommes dans la deuxième phase c'est-à-dire l’établissement d’un régime libéral mais pas encore démocratique, et par la suite avec l'arrivé de la prospérité économique le pays se démocratise petit à petit.

                    Et justement nos dirigeants bloquent la deuxième phase si ils libéralisent l’économie, cela voudra dire qu’ils vont faire des concessions c'est-à-dire rendre le système bancaire transparent, rendre la loi et la justice commerciale égalitaire et dans ce cas ils vont se mettre à nu ils ne pourront plus organiser leur trafic comme avant. La libéralisation c’est ni plus ni moins que de la transparence et c’est justement cette transparence qui leur fait peur car aujourd’hui ils bénéficient d’une belle opacité qui les protége.

                    En Tunisie ou en Chine c’est différent puisque les dirigeants ne sont pas partie prenante dans l’économie ou alors si ils le sont, mais ils respectent les règles du jeu économique, par exemple en rachetant de manière la plus transparente possible des entreprises directement sur le marché ou en bourse, mais dans un cadre de transparence bancaire et économique. Si ces dirigeants venaient à faire n’importe quoi les investisseurs fuiraient le pays et là ce serait la crise.

                    Par contre nos dirigeants savent qu’en cas d’ouverture ils ne pourront pas faire le poids pour concurrencer les patrons locaux qui vont naître et les investisseurs étrangers qui vont s’installer (les inconvénients pour eux : Forte concurrence nationale, les nouveaux patrons auront de l’argent et vont s’intéresser à la politique, baisse des importations etc…), la transparence les obligera à rendre des comptes sur la gestion de la manne pétrolière donc au final ils seront perdant sur tout les fronts.

                    Pour l’hygiène et le loisir c’est pas grave eux ils ont des visas et ils peuvent aller à l’étranger ils le font même gratuitement avec les lignes de AA et tout le monde sait que un tel ou une telle et le fils ou la fille de tel ou tel diplomate, certains ont même la double nationalité…

                    Dans un pays où il fait bon vivre personne ne s’occupe de politique, il n y a pas de tensions sociales … Le peuple leur laisse le pouvoir
                    Oui c’est ça le peuple s’en fout si il vie bien !!!!

                    Commentaire


                    • #11
                      Je suis d'acord avec vous walid dz

                      et je confirme que pour le cas de l'algérie une des solutions est l'engagement du pays dans l'ouverture économique (libre echange)

                      comme cela les rouages du pays ne deviennent plus tributaires des desiratas d'un dirigeants capricieux
                      mais
                      des accords bilatéraux signés

                      l'ouverture permet dans un premier temps les disparition de ces entreprises boiteuses qui appariennet aux membres de la classe dirigeante et l'apparition de nouvelles entreprise dont l'efficacité dépant non plus des coups de fil des parents du patrons mais du prix de revient bas realisé grace à la bonne gestion des jeunes devenu au pouvoir



                      dont les membres
                      .
                      .
                      ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
                      Napoléon III

                      Commentaire


                      • #12
                        Salut les gars!
                        Il y a un peu de tout ça. Le fait de douter, de se poser des questions, de ne pas gober ce que balancent les uns et les autres est un signe de maturité.
                        Je pense qu'en Algérie ce sont les restes de tout système centralisé et planifié qui a du mal à ingurgiter les nouveaux concepts du système de marché. Dans ce même système cohabitent les deux conceptions; et comme il y a des entraves et des intérêts contradictoires les solutions tardent.
                        Si la société algérienne est trop politisée, il y a de quoi. A l'inverse, une société qui possède l'utile et l'accessoire ne participe plus à la gestion et se contente de consommer avant de sombrer.
                        Le choix politique et quel qu'il soit doit intégrer toutes les couches sociales pour les responsabiliser.
                        Les décideurs du moment font ce qu'ils peuvent pour limiter les dégats. Dites-vous bien que l'Algérie n'est pas encore complètement immunisée et les risques existent. je ne vais pas vous assommer de géostratégie et de géopolitique, je laisse ça aux experts.
                        Il faut absolument une opposition responsable qui se démarquent idéologiquement et sociologiquement et faire des propositions.

                        Commentaire


                        • #13
                          @ Pihman

                          Je suis d'acord avec vous walid dz

                          et je confirme que pour le cas de l'algérie une des solutions est l'engagement du pays dans l'ouverture économique (libre echange)

                          comme cela les rouages du pays ne deviennent plus tributaires des desiratas d'un dirigeants capricieux
                          mais
                          des accords bilatéraux signés

                          l'ouverture permet dans un premier temps les disparition de ces entreprises boiteuses qui appariennet aux membres de la classe dirigeante et l'apparition de nouvelles entreprise dont l'efficacité dépant non plus des coups de fil des parents du patrons mais du prix de revient bas realisé grace à la bonne gestion des jeunes devenu au pouvoir



                          dont les membres
                          Oui c'est exactememnt ça nos dirigeants le savent bien ils connaissent les solutions mais c'est pas dans leurs intêrets d'en faire l'application, car pour eux cela revient à se tirer une bombe atomique dans le pied.

                          Commentaire


                          • #14
                            salut tariqlr

                            Je pense qu'en Algérie ce sont les restes de tout système centralisé et planifié qui a du mal à ingurgiter les nouveaux concepts du système de marché.
                            L'Algérie était seulement socialiste c'est un régime centralisé mais il reste moins centralisé qu'un régime communiste.

                            Disons que l'Algérie a du mal à cause de son passé socialiste, mais dans ce cas comment peut on expliquer que des pays qui étaient complètement communistes comme la Pologne, la Tchéquie, la Slovaquie, l'Europe de l'est en générale , la Chine, le Vietnam, etc... Connaissent des réussites et des croissances retentissantes ???? C’est bizarre pourquoi ceux qui étaient pires réussissent et pas nous ????

                            Moi je pense que 90% du problème doit venir de nous avant d’aller dénicher un quelconque responsable dans les sphères de la géopolitique.

                            Commentaire


                            • #15
                              Tous les pays que tu as cité ont misé sur l'ouverture économique

                              comme tu l ' as dit,

                              la question c'est comment forcer les dirigeants actuel a opter pour l'ouverture


                              Je pense qu'avec un peu d'intelligence eux aussi pourront tirer leurs épingle du jeux en acceptant de reduire leur part mais en augmentant la taille du gateau

                              au lieu de chercher tous simplement à augmenter leurs part sur un gateau qui demeure toujours petit

                              La société civile a un role primordiale a jouer là dedant plus que les parties politiques qui toujours tendence à se faire corrompre par l'attrait du pouvoir
                              .
                              .
                              ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
                              Napoléon III

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