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L’équipe nationale version Vahid Halilhodzic tient enfin son vrai et authentique match de référence. Et pas devant n’importe qui. L’Allemagne est l’une des plus fortes et puissantes sélections du monde. C’est donc contre cet adversaire que les Verts ont réalisé leur match le plus accompli dans cette Coupe du monde qu’ils quittent par la grande porte, et les encouragements du public brésilien, charmé de bout en bout par la prestation de l’équipe d’Algérie.
Sa sortie du terrain après le match s’est effectuée sous une standing-ovation de la part des Brésiliens, qui ont beaucoup apprécié le rendement des joueurs algériens, leur vaillance, leur courage et leur esprit de sacrifice, mais aussi leur belle technique symbolisée par les gestes de Feghouli et surtout Brahimi après son entrée en jeu. Même si on ne peut dissocier le mérite de tous les joueurs dans cette rencontre, il faut tout de même souligner et mettre en exergue l’extraordinaire prestation du gardien Raïs M’bolhi, auteur de plusieurs arrêts décisifs de grande classe. La commission technique de la FIFA ne s’est pas trompée en lui décernant le trophée «man of the match». La prestation d’hier était presque totalement aboutie. Il ne manquait qu’un but en première mi-temps pour terrasser l’ogre allemand.
Le stade de Porto Alegre a fermé ses portes pour la suite de la compétition sur un baroud d’honneur des Verts. Le coach allemand, Joaquim Low, a salué la performance de l’EN d’Algérie qu’il a qualifiée de grande équipe. Les Verts quittent la Coupe du monde avec le sentiment du devoir accompli. Ils devront repartir tout de suite vers de nouvelles conquêtes mais avec un autre sélectionneur. Sur le plan technique, Vahid Halilhodzic a rempli son contrat au-delà de toutes les espérances. L’équipe nationale devra vivre sans lui et lui sans elle. Son amertume était grande hier soir. Il avait conscience d’être passé à côté d’un retentissant exploit. Sa déception était à la mesure de sa conviction que cette équipe avait les moyens, au moins, de faire un tour à Rio de Janeiro pour donner la réplique à l’équipe de France. Pour toutes ces raisons, il a fait l’impasse sur la conférence de presse d’après-match.
Yazid Ouahib
Sa sortie du terrain après le match s’est effectuée sous une standing-ovation de la part des Brésiliens, qui ont beaucoup apprécié le rendement des joueurs algériens, leur vaillance, leur courage et leur esprit de sacrifice, mais aussi leur belle technique symbolisée par les gestes de Feghouli et surtout Brahimi après son entrée en jeu. Même si on ne peut dissocier le mérite de tous les joueurs dans cette rencontre, il faut tout de même souligner et mettre en exergue l’extraordinaire prestation du gardien Raïs M’bolhi, auteur de plusieurs arrêts décisifs de grande classe. La commission technique de la FIFA ne s’est pas trompée en lui décernant le trophée «man of the match». La prestation d’hier était presque totalement aboutie. Il ne manquait qu’un but en première mi-temps pour terrasser l’ogre allemand.
Le stade de Porto Alegre a fermé ses portes pour la suite de la compétition sur un baroud d’honneur des Verts. Le coach allemand, Joaquim Low, a salué la performance de l’EN d’Algérie qu’il a qualifiée de grande équipe. Les Verts quittent la Coupe du monde avec le sentiment du devoir accompli. Ils devront repartir tout de suite vers de nouvelles conquêtes mais avec un autre sélectionneur. Sur le plan technique, Vahid Halilhodzic a rempli son contrat au-delà de toutes les espérances. L’équipe nationale devra vivre sans lui et lui sans elle. Son amertume était grande hier soir. Il avait conscience d’être passé à côté d’un retentissant exploit. Sa déception était à la mesure de sa conviction que cette équipe avait les moyens, au moins, de faire un tour à Rio de Janeiro pour donner la réplique à l’équipe de France. Pour toutes ces raisons, il a fait l’impasse sur la conférence de presse d’après-match.
Yazid Ouahib