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Slimane Amirat, le militant de l’indépendance et de la démocratie

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  • Slimane Amirat, le militant de l’indépendance et de la démocratie

    ALGER - Slimane Amirat est le militant de la première heure pour la libération de l’Algérie du joug colonial français qui a consacré son combat, après l’indépendance, à la démocratie et la défense des libertés jusqu’au dernier souffle, une vérité affirmé encore une fois lors d’une rencontre organisée mardi soir à Alger à l’occasion du 22ème anniversaire de son décès.

    Mort le 1 juillet 1992 d’une crise cardiaque au moment où il se recueillait au Palais du peuple devant la dépouille mortelle de son compagnon Mohamed Boudiaf (assassiné le 29 juin 1992 alors qu’il donnait un discours à la maison de culture d’Annaba en qualité de président du Haut comité d’Etat), Slimane Amirat était cet " homme engagé aux idées qui inspirent encore les défenseurs des causes justes et des libertés", selon des témoignages apportés pendant l’hommage, organisé par la Fondation Slimane-Amirat.

    "Vingt-deux années sont passées après la mort de Slimane Amirat qui a consacré toute sa vie pour l’Algérie et surtout pour la démocratie en Algérie dont le chemin est encore long. C’est toujours avec la même émotion que nous nous recueillons à sa mémoire. Nous devons continuer à porter ses valeurs, lui et tous ses compagnons", dira son épouse, la moudjahida Zoubida Amirat, présidente de la Fondation.

    "Le parcours militant de Slimane Amirat ne peut se montrer qu’inspirant pour la nouvelle génération qui doit porter le flambeau pour l’instauration de la démocratie, la vraie, en Algérie", a-t-elle ajouté.

    Après l’évocation des différentes étapes historiques du parcours militant de Slimane Amirat, avant et après l’indépendance de l’Algérie, l’hommage a été rehaussé par le passage sur scène du journaliste et passionné de théâtre, Amine Idjer, qui a présenté une lecture théâtralisée d’un texte sur l’histoire de l’Algérie depuis la période numide jusqu’à l’indépendance en 1962, écrit par la fille du défunt, Lynda Amirat.

    Le texte évoque la lutte du peuple algérien, dans toute sa diversité et pluralité, à travers des héros qui font aujourd’hui l’histoire de l’Algérie, une histoire marquée, notamment, par des conquêtes, des civilisations et la colonisation.

    De Massinissa et Jugurtha jusqu’à Mustapha Ben Boulaïd et Didouche Mourad, en passant par l’Emir Abdelkader, El Mokrani et Abdelhamid Ibn Badis, pour ne citer que ceux-là, le texte résume sur un air poétique les différentes périodes de l’histoire et rend un grand hommage aux hommes et femmes d’Algérie qui ont toujours refusé de vivre sous occupation et su arraché leur liberté.

    Le programme de la soirée s’est terminé par une mise en espace d’un extrait du roman "Le dernier jour d’un condamné " de Victor Hugo, présenté aussi par Amine Idjer, suivie d’un hommage à trois militants de la cause nationale et compagnons du défunt Amirat, en l’occurrence Ould Younes Arezki, Ahmed Techtache et Hanna Mokrane.

    aps
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    De Massinissa et Jugurtha jusqu’à Mustapha Ben Boulaïd et Didouche Mourad, en passant par l’Emir Abdelkader, El Mokrani et Abdelhamid Ibn Badis, pour ne citer que ceux-là, le texte résume sur un air poétique les différentes périodes de l’histoire et rend un grand hommage aux hommes et femmes d’Algérie qui ont toujours refusé de vivre sous occupation et su arraché leur liberté.

    On ne va qu'en même pas comparer Abdelkadere à ceux cités

    Abelkadere s'est rendue au DUC D'AUMALE !...

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    • #3
      saha ftourkoum

      un grand homme qui a beaucoup donné a notre algerie allah yarahmou lui qui a dit
      «Si j'avais à choisir entre la démocratie et l'Algérie, je choisirais l'Algérie ».
      dz(0000/1111)dz

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      • #4
        Da Slimane Allah Yerham, j'ai eu l'occasion de le croiser mémorablement le 18 mars 1992 à l'occasion d'une conférence donnée à l'hôtel TAMGOUT à Yakouren. Il avait piqué une colère contre les photos de Mohand oul hadj qui étaient placardées sur les murs de la salle de conférence.

        Face à cette colère relative à un point de vérité historique sur l'assassinat de Abderahmane Mira, l' E.N.T.V n'avait pas trouvé mieux à faire que de couper la retransmission en direct de la conférence. Par ce geste, elle avait privé ses auditeurs, une partie de notre peuple, d'avoir un regard objectif sur un pan de notre histoire révolutionnaire.

        Le lendemain 19 mars 1992, en place et lieu de BOUDIAF à Tizi-Ouzou, nous avons vu arriver Ali KAFI. C'était peut-être une prémisse de ce qui allait se passer par la suite ( BOUDIAF assassiné, Ali KAFI s'intronise sur le perchoir du H.C.E ).

        .

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        • #5
          «Si j'avais à choisir entre la démocratie et l'Algérie, je choisirais l'Algérie ».
          Paix à son âme!
          L'Histoire retiendra qu'il a choisi la facilité en disant cela!
          On ne doit pas opposer Démocratie et Algérie... Ou quel qu’en soit le pays. Sinon cela s'appelle de la démagogie!
          "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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          • #6
            L'Histoire retiendra qu'il a choisi la facilité en disant cela!
            On ne doit pas opposer Démocratie et Algérie..


            Malheureusement ,on est toujours dans la même situation ,c'est ce choix d'une Algérie dans la stabilité qui a fait élire un moribond

            Quand à la démocratie , elle peut encore attendre !...
            Dernière modification par arrezki, 03 juillet 2014, 21h29.

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