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Fatwas anarchiques et liberté de culte Le ministre veut «combattre l’invasion sectaire»

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  • Fatwas anarchiques et liberté de culte Le ministre veut «combattre l’invasion sectaire»

    Fatwas anarchiques et liberté de culte
    Le ministre veut «combattre l’invasion sectaire»


    le 03.07.14 | 10h00 z



    Recentrer le débat autour de l’islam pratiqué en Algérie, dépolitiser la religion et bien former les imams : le nouveau ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aïssa, a de l’ambition. Invité mardi soir au forum du journal Liberté, celui qui se présente comme le ministre de «tous les cultes et pas seulement de l’islam» veut créer une instance algérienne qui s’occupe des avis religieux afin de contrecarrer «l’invasion sectaire» qui vient de l’étranger. Pour cela, un conseil scientifique, chargé de recentrer la pratique religieuse sur le «référent algérien» est en cours.


    «Nous avons fait un premier pas à Ghardaïa. Nous sommes en train d’inviter les chaînes de télévision privées pour nous suivre et donner aux Algériens des avis qui correspondent à l’islam pratiqué en Algérie», a précisé le ministre.
    Mohamed Aïssa est, en revanche, contre l’idée d’instituer un mufti de la République. «Le concept du mufti de la République n’est pas propre à la pratique religieuse maghrébine et algérienne, c’est pour cela que nous optons actuellement pour une institution de concertation dans laquelle siègeront des savants de l’islam», a-t-il dit. Il veut «un conseil scientifique» qui regroupera, outre les hommes de religion, «des médecins et des sociologues, qui auront pour mission de décréter des avis religieux», a-t-il précisé, notant que le mufti, dont le projet n’a pas abouti, «est envisagé comme chef de cette institution».

    Un danger : L’idéologie

    La création de cette institution vise à mettre fin à l’anarchie constatée dans l’émission des fatwas et, surtout, à contrecarrer «l’invasion sectaire qui nous vient d’ailleurs». Il faut «immuniser la société contre toutes ces dérives qui ciblent tous les pays musulmans», a-t-il prévenu, ajoutant qu’il s’agit d’une «invasion émanant de pays occidentaux dont le but est de discréditer le discours religieux modéré». «L’implication de l’idéologie dans la religion est extrêmement dangereuse», estime le ministre. M. Aïssa donne l’exemple de ces imams qui ont refusé d’accomplir la prière de l’absent à la mémoire des militaires morts dans le crash de l’avion militaire à Oum El Bouaghi. «230 imams ont été sanctionnés. Ils considèrent, au nom d’une idéologie importée et qui sert des intérêts occultes, que ces militaires sont des impies !» rapporte Mohamed Aïssa.

    Pour mettre fin aux dérapages extrémistes, le ministre des Affaires religieuses compte s’intéresser de près à la formation des imams et des enseignants dans les sciences islamiques. «Nous avons trouvé un accord avec le ministère de l’Enseignement supérieur pour la création d’une licence d’imamat» à l’Ecole normale supérieure, a précisé le ministre. L’autre moyen qui sera utilisé pour contrecarrer les fatwas «satellitaires» est la mosquée. Tandis que la Grande mosquée d’Alger sera «une mosquée pôle d’excellence», des répliques seront construites dans toutes les wilayas du pays pour servir de référence. Mais le ministre avertit : «Nous sommes en République. Les mosquées ne seront utilisées que pour la pratique religieuse.»

    Réouverture des synagogues : «Oui, mais…»

    Puisqu’il n’est pas uniquement ministre du culte musulman, Mohamed Aïssa veut casser des «tabous» concernant les autres religions, notamment le judaïsme. Il a révélé dans ce sens l’existence d’une communauté juive algérienne qui «active dans nos quartiers». «Il y a une communauté juive dans notre pays. Elle a le droit d’exister. Son représentant, qui est un patriote, est en contact permanent avec le ministère. Mais, pour des raisons de sécurité, nous ne pouvons envisager la réouverture, dans l’immédiat, des synagogues fermées», a affirmé le ministre.

    Il rappellera que l’Algérie a même contribué à la restauration d’édifices religieux, notamment chrétiens. «Nous avons participé à la restauration de l’église de Notre-Dame d’Afrique et celle de Saint Augustin à Annaba. Nous n’avons aucun complexe là-dessus. Mieux, nous n’avons pas l’intention d’interférer dans la pratique religieuse des autres», a rappelé le jeune ministre. Interrogé sur les actions publiques menées par les non-jeûneurs durant le mois de Ramadhan, le ministre renvoie à la Constitution.

    «Dans le principe, la liberté de conscience est garantie par la Constitution. Le jeûne est une pratique strictement privée. Donc, j’appelle à la sagesse de tous», a-t-il indiqué.«Certains veulent ghettoïser cette question à une région. Pourtant, dans la vérité, la wilaya de Tizi Ouzou compte le plus grand nombre de mosquées, de zaouias et d’écoles coraniques à l’échelle nationale !» a assuré le ministre.


    Ali Boukhlef

    El Watan
    " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

  • #2
    Kharat 3alih, il va être matraqué comme la ministre de l'éducation nationale.

    On va lui trouver des parents cannibales ou autres .
    " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

    Commentaire


    • #3
      Voilà autre chose, et il a pleinement raison .


      Il va se faire lyncher par certains forumeurs , bien avant de l'être par les barbares algériens .


      Mohamed Aïssa, ministre des Affaires religieuses et des Waqfs, au forum de “Liberté”

      “Le jeûne est d’ordre privé”

      Par : Mohamed-Chérif LACHICHI

      Ceux qui ne sont pas musulmans, qu'ils soient Algériens ou étrangers, nul ne peut les forcer à jeûner. En admettant cette évidence, le ministre du Culte appelle surtout les Algériens à cohabiter avec leurs différences.

      À tout seigneur, tout honneur. Le premier invité du Forum de Liberté pour ce mois sacré n’était autre que le ministre des Affaires religieuses et des Waqfs, Mohamed Aïssa, qui a inauguré, mardi soir, notre formule nocturne. Le nouveau ministre du Culte venait d’étrenner, par la même occasion, sa première grande sortie médiatique. À la grande surprise des journalistes présents, l’hôte de Liberté ne s’est, à aucun moment, départi d’une grande ouverture d’esprit et de tolérance, une qualité première prônée par l'Islam.
      D’emblée, le ministre s’est réjoui, dans son préambule, de la tribune qui lui était offerte pour remettre en cause certaines “idées reçues” en matière de gestion du culte. “Beaucoup croient à tort que le ministère des Affaires religieuses est un département chargé de la théologie et doté de savants de l’Islam, de muftis et d’imams. Pour lever la confusion, j’ai dû interdire à mes cadres de prononcer au nom du ministère, des fetwas et même de s’adonner publiquement à des activités religieuses. Cela relève des compétences scientifiques et de l’élite savante.” D’après lui, les sujets qui relèvent du culte et qui font l’objet de débat en Algérie, et Dieu sait combien il y en a, doivent trouver pour cadre naturel des “références religieuses nationales”. Et d’expliquer : “L’islam n’a pas de nationalité. L’islamité c’est la révélation, le Coran et la tradition du Prophète L’Algérie n’est ni la Tunisie ni l’Iran, ni même l’Inde. Nous ne sommes pas meilleurs que les autres en matière d’interprétation du texte sacré mais il y a un fait incontournable, notre pratique de l’Islam est spécifique.”
      Il reconnaît, sur ce point précis, que
      l’Algérie est plutôt sur la défensive. Et pour cause ! Même après la décennie noire où la religion avait été, et nous en souffrons encore, atrocement instrumentalisée, l’Algérie, de l’aveu même du ministre, continue d’être envahie à ce jour par des mouvements sectaires qu’il, s’appelle le salafisme, le wahhabisme, l’ahmedisme ou le takferisme, “tous les termes se terminant par isme signifient azma (crise en arabe)”, ironise le ministre. Si les faits sont avérés, le ministre confirme également l’existence, par ailleurs, de financements occultes. Sans donner à ce sujet de plus amples détails, il révèlera que cette multiplication de mouvements sectaires qui touchent, rappelle-t-il, l’ensemble du monde musulman, n’émane pas de milieux religieux autorisés mais tout simplement de… l’Occident. À quelle fin ? Nous le saurons peut-être un jour même si la ficelle paraît de plus en plus grosse. En effet, nous le voyons tous les jours, ces doctrines haineuses usent de préceptes pour faire s’entretuer d’abord les musulmans. “Les cibles sont précises et varient différemment selon les contextes.” C’est pourquoi, d’après ce membre du gouvernement, il faut, d’ores et déjà, “immuniser l’Algérie” contre ces dérives et cette intrusion signalée de courants radicaux religieux.
      “Notre pratique de la religion doit nous empêcher de nous entredéchirer à cause, notamment, de clivages idéologiques, ethniques ou autres. Il n’y aura qu’un seul Islam !” Diplômé en sciences islamiques, Mohamed Aïssa* (*le nom de famille) sait de quoi il parle quand il invoque la formule “Allah Akbar” (Dieu est Grand) : “Elle est destinée à appeler à la prière mais c’est aussi un appel à la paix.” Il regrette que cette expression ait été galvaudée chez certains pour s’en servir d’appels au meurtre. “Quant au mot djihad, celui-ci est officiellement endossé par notre ministère de la Défense nationale”, souligne-t-il, par ailleurs, comme pour couper l’herbe sous les pieds des nouveaux vandales. Pour parer à cette invasion étrangère, le ministre fonde notamment de grands espoirs sur une “loi d’orientation” qu’il compte soumettre au Parlement pour validation. Ce projet de loi constitue, selon lui, la pierre angulaire pour l’arsenal juridique et réglementaire qu’il veut mettre en place pour les cinq prochaines années.
      “Il s’agit d’encadrer tous les aspects du culte en Algérie. Parfois, il suffit de hisser des textes qui existent déjà, au rang de lois.” Au-delà de la paperasse et de la bureaucratie, Mohamed Aïssa se veut pragmatique dans sa réforme de l’administration du culte qui doit, selon lui, davantage s’inspirer des traditions que des circulaires et des notes.
      Le plus important, voire l’essentiel, pour lui, est que “la pratique religieuse doive être bénéfique à la société et à l’Algérie”. Une finalité dont l’impact doit nécessairement se refléter, selon lui, dans notre humanité. Dans cette optique, il appelle à un véritable débat où la presse et la société civile seront conviées. “Nous pourrions même envisager une charte, un référentiel qui nous prémunira contre tous les égarements”, suggère-t-il. Mieux, le ministre des Affaires religieuses propose une “approche cartésienne” même si ce concept est venu longtemps après l’islam. “Les savants de l’islam et leurs homologues des sciences humaines comme les sociologues, les historiens et autres spécialistes qui ont un autre référent que la religion, vont se rencontrer à cette occasion.”
      D’après lui, il ne s’agit pas d’une confrontation mais bien d’une “concertation de l’élite intellectuelle nationale” qui émettra ainsi, des “avis autorisés”. S’il s’agit dans ce cas de figure d’encadrer le discours religieux national, le ministre précise qu’à l’heure actuelle “rien n’est dicté ni prescrit” par son administration aux imams. “Le contrôle se fait surtout en aval” soit a posteriori, dévoile-t-il. Cette liberté accordée aux imams doit toutefois, selon lui, être accompagnée par de inspecteurs pédagogiques et par la formation continue. “Nous combattrons les prêches radicaux”, promet-il.

      Juifs, chrétiens et … “mangeurs” de Ramadhan
      Il faut dire que le ministre a fait preuve tout au long de cette soirée ramadhanesque d’une grande tolérance, manifestant de l'intérêt, de la curiosité et de la compréhension pour les idées qui diffèrent en partie ou totalement des siennes.
      Très à l’aise, il abordera, pour ainsi dire, tous les sujets dits tabous. Informé précisément de la tenue d’un rassemblement de dé-jeûneurs annoncé aujourd’hui à Tizi Ouzou, le ministre des Affaires religieuses ne veut pas se scandaliser à tout prix. Il appellera seulement à la raison ses initiateurs qui, d’après lui, doivent tenir compte de la “portée nationale” de leur geste et des “intérêts de l’Algérie”. “Nous n’allons pas décréter contre eux de fetwa ni solliciter les forces de l’ordre pour les arrêter !”, assure-t-il. Ceci dit, il considère que cela ne relève pas moins de “l’outrage” d’autant que cela reste confiné à une région particulière de l’Algérie. “Savez-vous que la wilaya de Tizi Ouzou compte le plus grand nombre de mosquées en Algérie (850), le plus grand nombre de zaouïas et d’écoles coraniques ?”
      Le ministre semble soupçonner derrière cet “étalage” quelques arrière-pensées politiques. Et de se montrer didactique en rappelant, à ce sujet, certaines évidences. “Le jeûne est d’ordre privé et tellement privé qu’il ne doit pas se manifester en société.” D'après lui, l’inverse est donc vrai, nous n’avons pas besoin, non plus, de manger et de boire ostensiblement durant le Ramadhan devant les autres et à plus forte raison en terre d’Islam. “C’est dans le même ordre d’idées que nous ne montrons pas le commerce charnel en public.” D’après lui, et même si “les lois de la République défendent la liberté de conscience”, la discrétion doit être de mise, pour les uns et pour les autres. Le ministre dit toutefois pouvoir comprendre s’il s’agit réellement d’un “geste de refus” ou d’une manifestation du “droit à la différence”. Sur ce dernier chapitre, le ministre s’est montré, de l’avis de tous, le plus admirable. Jugeons-en : “Mon programme vise à l’amélioration de la pratique rituelle religieuse. Et pas seulement musulmane. Pour nous, la gestion du culte a une valeur absolue.”
      Les choses sont dites mais le ministre tient à être encore plus explicite : “Quand je dis que je suis le ministre des Affaires religieuses, il faut entendre toutes les religions. Quand nous sortons de la sphère musulmane, il y a la religion chrétienne et ses églises au pluriel, catholique, protestante, méthodiste, évangéliste, calviniste, et j’en passe encore, nous les recevons toutes !” Aussitôt surgit une question à brûle pourpoint : quid du rite israélite ? Le ministre révèle l’existence en Algérie d’une communauté juive qui serait, selon lui, très bien acceptée par la population, notamment dans les quartiers populaires où elle vit pour l’essentiel : “Nous recevons régulièrement son représentant, c’est un patriote et un nationaliste algérien !” Peu avare en révélations, Mohamed Aïssa a reconnu sa disponibilité à ouvrir en Algérie des synagogues. “Même si pour le moment, l’État, pour des raisons de sécurité, n’envisage pas de les ouvrir dans l’immédiat partant du postulat qu’il faut d’abord sécuriser un lieu de culte avant de le livrer aux fidèles.”
      Si rien d’autre ne l’empêche, l’intention est là.

      M.-C. L.
      " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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      • #4
        Formidable , si ça continue comme ainsi , bien des chose et des gens vont retrouver leur place dans ce pays !...

        Il me plais bien ce ministre !

        Bien sur il y a le Maroc qui nous a devancer ,mais bon ,ce n'est jamais trop tard pour bien faire ?...
        Dernière modification par arrezki, 03 juillet 2014, 21h57.

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        • #5
          Quand les choses vont dans votre sens, les pourris deviennent des gens honorables
          Pourquoi contester le 4eme mandat dans ce cas, puisque c'est fakhamatouhou qui les a nommé ?

          Y a vraiment vraiment aucun espoir dans ce peuple

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          • #6
            Quand les choses vont dans votre sens, les pourris deviennent des gens honorables

            Les choses vont dans le sens de l'histoire , non pas dans le miens ou du votre !

            Commentaire


            • #7
              Salut Iska

              Voilà qui détonne et qui j'espère remettra de l'ordre dans tout ce cirque sans règles ni morale qu'est devenu notre pays. Même si je demeure très septique et sur mes gardes ...




              ../..
              “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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              • #8
                Les choses vont dans le sens de l'histoire , non pas dans le miens ou du votre !
                Arrête tes conneries
                Les choses vont dans le sens dans lequel la momie (ou ses maîtres français) veut qu'elles aillent
                Je n'attends rien de positif et je me méfie de tout ce qui vient de ce connard soudé à la chaise.

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                • #9
                  Les choses vont dans le sens de l'histoire , non pas dans le miens ou du votre !

                  Les JUIFS n’ont jamais étés aussi puissants dans leurs existence qu'en ce 21 siècles , depuis la première destruction de Jérusalem par le roi Érode

                  Alors ce n'est pas la momie en fauteuil roulant qui décide , mais ceux qui détiennent le monde par la finance et surtout le savoir , domaines réserver aux JUIFS
                  Dernière modification par arrezki, 03 juillet 2014, 23h06.

                  Commentaire


                  • #10
                    ...

                    depuis plus d'un demi siècle, la république, le pays, l'état, est démocratique n'est-ce pas, et, ne pas reconnaître la diversité populaire de celui(celle)ci est-il, a-t-il été, de bonne augure depuis...

                    Salam, merci...
                    ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

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                    • #11
                      Les JUIFS n’ont jamais étés aussi puissants dans leurs existence qu'en ce 21 siècles , depuis la première destruction de Jérusalem par le roi Érode

                      Alors ce n'est pas la momie en fauteuil roulant qui décide , mais ceux qui détiennent le monde par la finance et surtout le savoir , domaines réserver aux JUIFS
                      C'est à peu près ça
                      Les juifs contrôlent la France, la France contrôle la momie, la momie contrôle l'Algérie... Les juifs contrôlent l'Algérie

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                      • #12
                        M. Aïssa donne l’exemple de ces imams qui ont refusé d’accomplir la prière de l’absent à la mémoire des militaires morts dans le crash de l’avion militaire à Oum El Bouaghi. «230 imams ont été sanctionnés. Ils considèrent, au nom d’une idéologie importée et qui sert des intérêts occultes, que ces militaires sont des impies !» rapporte Mohamed Aïssa.
                        Ministre keddeb ....ça commence bien

                        Mieux, nous n’avons pas l’intention d’interférer dans la pratique religieuse des autres», .
                        Oui, on ne se mêle que des affaires des indigènes .....comme à la belle époque

                        joséphine ya joséphine !!!

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