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«Mes clients achètent des résidences secondaires»

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    Brigite Castano. Agent immobilier, agence Remax Marina, Torrevieja



    -Qu’est-ce qui fait que Torrevieja est la destination prisée par une nouvelle clientèle nord-africaine ?
    Les Nord-Africains, disons les Algériens, parce ce sont les seuls qui ont les moyens financiers suffisants et nécessaires pour acheter en Espagne. Les Marocains n’ont pas les moyens qu’offre l’économie algérienne. L’Algérie est un grand pays avec des ressources, gaz, pétrole et autres. C’est un phénomène qu’on a observé ces trois dernières années, les Algériens achètent surtout ici parce qu’il voient que les prix, par l’effet de la crise du marché immobilier, ont chuté de 50%. Cette clientèle est portée sur les appartements, deux chambres et plus, jamais moins, entre 65 000 et 85 000 euros. Et là- dessus, il y a un grand choix d’opportunités. Vos compatriotes recherchent toujours la ville avec les commerces, les loisirs et la relative proximité de la plage. C’est vraiment ce qu’ils recherchent : ils ne vont jamais acheter à 5 kilomètres de la côte.

    -Quel profil de clientèle exactement avez-vous ?
    Alors le profil de la clientèle, ce sont des gens aisés, bien sûr, disons la crème, si on peut s’exprimer ainsi, de la population. Mes clients sont ingénieurs, géologues, médecins, professeurs d’université, ils sont «indépendants», commerçants aussi, des hôteliers, dans le commerce, parfois promoteurs, en majorité des grandes villes, Alger, Blida Oran, surtout de la capitale, Alger...

    -Vos clients viennent-ils directement frapper à la porte de l’agence ou arrivent-ils par intermédiaires ?
    Ils frappent à la porte de Remax. Ce sont des gens d’un niveau très élevé, maîtrisant les technologies modernes et sur internet, ils recherchent des agences où on parle français ; et Remax, via son site internet, est bien située sur ce segment. Il y a deux façons d’arriver chez nous. Il y a la recherche effectuée sur internet et le bouche-à-oreille qui se pratique beaucoup : un client algérien satisfait, c’est dans la mentalité méditerranéenne, content, nous recommandera à un ami qui cherche. Ainsi de suite… Car c’est quand même un investissement important, réalisé dans un pays étranger, donc nos clients recherchent une sécurité, un renom, ne pas tomber sur n’importe qui, ne pas se faire gruger.

    -Un ordre de grandeur du nombre de clients algériens que vous avez à traiter ?
    Durant l’année passée et l’année d’avant, mes clients à moi, Brigitte Castano, agent immobilier indépendant travaillant pour Remax, ça représente entre 10 et 15% du chiffre réalisé. Il est pas très important par rapport à ce que représente le marché francophone : nous avons beaucoup de clients belges, français, suisses ; nous avons des Scandinaves et des Russes qui achètent, donc la clientèle algérienne n’est pas la plus importante du marché, mais c’est une clientèle à prendre en compte. Je parle pour moi, parce que je n’ai pas les données de l’agence Remax. Moi j’ai eu à traiter 6 à 8 clients par an, en termes d’affluence des Algériens, l’année 2012. Elle était en tout cas meilleure que 2013. Cette année, nous n’avons pas encore fait de vente. Une année longue à démarrer. Il faut attendre la fin pour avoir une idée globale. Nous avons aussi comme clientèle des Algériens résidant à l’étranger.

    -Vos clients sont-ils saisonniers, vacanciers ou bien achètent-ils pour s’installer ?
    C’est tout à fait saisonnier. Je n’ai aucun client qui s’installe. C’est un investissement destiné exclusivement pour les vacances. Ces Algériens résidant en Algérie disposent d’une belle situation : ils ont là-bas leur maisons, leur famille. Ils n’ont aucune envie, absolument pas, de quitter leur pays. Ils cherchent juste à s’acheter un pied-à-terre en Espagne pour passer des vacances, le dépaysement. Je n’ai donc pas de clients qui se sont installés. En plus, je vends des résidences secondaires, de vacances. Ces clients aiment bien d’ailleurs se retrouver dans le même quartier. Ce sont des gens sérieux, qui savent ce qu’ils veulent, connaissant leurs possibilités financières… car un crédit de la banque, ce n’est pas facile pour un non-ressortissant de la communauté européenne de l’avoir. Un complément de financement, entre 25 et 30% du prix, est par contre possible à décrocher. Il s’agit donc de ne pas trop demander quand on achète en Espagne. Il faut un NIE, un numéro d’identifiant des étrangers. Facile à obtenir pour un communautaire, plus difficile pour un étranger. Il est primordial de le demander (au commissariat) après avoir signé son contrat de réservation. Si vous ne comptez pas solliciter un prêt auprès de la banque, il n’est pas nécessaire de solliciter le NIE pour signer l’acte. Si vous demandez votre NIE avant de signer, on vous demandera plein de choses, des documents, etc.

    -Les résidences, appartements achetés sont loués le reste de l’année ?
    Non, pas de location. Ce sont des clients sérieux, des gens charmants, parlant un français impeccable. C’est aussi un investissement pour eux. Les prix sont bas pour le moment…

    -Comment se déroule la transaction, dans le détail s’entend ?
    D’abord, nous avons peu de clients qui sollicitent des prêts. Nos clients algériens paient tout à fait légalement. Ils doivent d’abord ouvrir un compte bancaire en Espagne. Nous avons aussi des clients commerçants qui possèdent des comptes ailleurs, dans d’autres pays européens, et qui procèdent par virement. Certains clients, plus prévoyants, ont ouvert des comptes en Espagne des années avant pour pouvoir les alimenter à chacun de leur passage par la frontière. La loi de change algérienne ne permet pas de faire passer plus de 7500 euros sans déclaration. Dans le détail, je ne sais vraiment pas comment ils procèdent, mais le fait est que l’argent arrive ici d’une manière tout à fait légale.

    -Votre clientèle est aisée, avez-vous déjà eu à traiter avec un gros client ?
    Un gros investisseur ? Non. Les gens achètent pour eux, pour leur famille. Ce sont des clients d’âge moyen, entre 40 et 55 ans, avec une situation faite. Et ce phénomène n’aurait jamais eu lieu si les prix de l’immobilier étaient restés au niveau de l’année 2005-2006, les prix d’avant la crise du marché immobilier. Des Algériens m’avaient dit qu’il était moins cher d’acheter sur la côte espagnole que sur la côte algérienne. Le premier facteur, c’est donc le prix, ensuite la facilité par le nombre de moyens de communication existants, de rejoindre l’Espagne, des vols quotidiens à partir d’Alger vers Alicante, Madrid, Barcelone… en plus du ferry qui permet de venir en voiture passer ses vacances. Ce que ces clients recherchent, ce sont d’abord les loisirs, des jeux pour toute la famille. Moi, je ne suis jamais allée en Algérie, mais d’après ce qu’on m’a dit, c’est qu’en Espagne il y a davantage de possibilités dans ce domaine. Le karting pour les enfants, par exemple. Les aquaparcs, zoo… Le shopping aussi, la quantité de magasins Carrefour, de centres commerciaux, de Zenia boulevard très animés, est considérable.
    -A Torrevieja, comment l’arrivée de cette nouvelle clientèle est-elle perçue ?
    (Sourire) Je pense que cette nouvelle clientèle est la bienvenue. Toute personne voulant investir en Espagne est la bienvenue.

    Mohand Aziri

  • #2
    combien agence Remax Marina a t elle payé pour cet article pub?
    بارد وسخون
    M.Alhayani

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    • #3
      L'article fait partie d'un dossier d'Al Watan sur l'achat des algériens de résidences secondaires en Espagne.
      Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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      • #4
        oui shadok, mais celá n exclut pas l hypothése que el watan a recu pour faire de la pub á cette agence, á moins que le quotidien fait de la pub fabor
        بارد وسخون
        M.Alhayani

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        • #5
          Peut être mais il faut discuter le fond du sujet: comment ces algériens font sortir la devise (plus de 100.000 Euros) vers l'Espagne ? Comment l'Espagne accepte de leur ouvrir des comptes (il y a des lois sur le blanchiment d'argent) ?
          Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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          • #6
            L'espag'e et la tunisie ont le merite de casser le tourisme chez nous.
            15 joirs dans un meublé en espagne c'est 400 euro

            Alors que chez nous une barraqua mranika il te dit 15 millions par mois
            Soit 400 eiro la semaine....
            Il ya un segment que les espagnole neglise c'est les lycés et ecole française en espagne.
            Elle va recolfer une tees grande frange de gens qui puevnt payer des etudes a leurs enfants,,l'enseignement en algerie est mal vue.....
            Il nya que 1 heures de. Vol oran alicante ou barcelone....

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            • #7
              j'aurais aimé que des algériens achètent ma maison une belle maison du 17eme s. à 40min des stations ski 2h de la mer ... !que je brade pour rentrer en algérie eux ils achètent du carton en Espagne mais les gouts et les couleurs ça ne se discute pas
              Dernière modification par Aloha, 12 juillet 2014, 21h50.

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              • #8
                le fond du sujet: comment ces algériens font sortir la devise (plus de 100.000 Euros) vers l'Espagne ?
                ce n est pas le sujet du tout: l article fait de la pub á cette agence et decrit quels algériens et comment ils arrivent á s acheter des immobiliers en espagne! El Watan ne se pose même la question que tu sous entends, á savoir la source et les canaux des devises en provenace de l algérie!
                بارد وسخون
                M.Alhayani

                Commentaire


                • #9
                  J'aime bien comment elle passe de la pommade aux Algériens pour essayer d'en attirer un maximum. Le secteur de Torrevieja, Alicante ou Benidorm est la région de prédilection des Algériens du fait qu'il y a des liaisons maritimes avec le port d'Alicante.

                  En été, c'est rempli d'Algériens dans la région mais ce n'est pas du tout la plus chic d'Espagne.

                  Les Marocains achètent en masse des résidences secondaires en Espagne et principalement sur la Costa del Sol, les tarifs n'y sont pas les mêmes, même si ça a baissé du fait de la crise.

                  RAZZIA DES MAROCAINS SUR L’IMMOBILIER ESPAGNOL


                  L’heure est au rabais! Le marché immobilier espagnol n’a jamais été aussi attractif et accessible pour les Marocains. Villas, appartements, duplex, studios… l’offre défie toute concurrence et les opportunités à la Costa del Sol sont parfois plus intéressantes comparées aux prix excessifs pratiqués en ce moment à Casablanca, Rabat, Marrakech ou encore Tanger. Depuis quelques semaines, les annonces et les tarifs d’agents immobiliers espagnols -par presse interposée et sur le Web- défient toute concurrence. Depuis, nombreux sont les Marocains très friands de ce type d’offres vu les niveaux excessifs de prix pratiqués de ce côté de la Méditerannée. Mais si les prix ne baissent pratiquement pas au Maroc et le rapport qualité/prix n’est souvent pas justifié, en Espagne les standards de qualité sont plus que satisfaisants.
                  Mieux encore, la chute des prix ne fait que commencer dans la Péninsule ibérique. Selon les prévisions, ces corrections risquent de se poursuivre jusqu’en 2015. Selon Saâd Tazi, agent immobilier marocain basé en Espagne et qui opère sur Marbella, Puerto Banus et Fungirola, «les offres de prix n’ont jamais été aussi intéressantes.

                  L’immobilier espagnol connaît des chutes sans précédent surtout dans la Costa del Sol. Et c’est le moment d’acheter pour ceux qui veulent acquérir une résidence secondaire. Surtout que les niveaux actuels des prix sont moins chers comparés à ceux pratiqués au Maroc», confie le patron de l’agence Sea Spain Morocco (SSM). Le professionnel marocain de l’immobilier espagnol précise que la valeur moyenne actuelle d’un appartement est autour de 100.000 euros dans la Costa del Sol. Sachant que la structure d’un appartement espagnol typique correspond à la configuration F3 (2 chambres, salon/séjour et terrasse). A l’origine de ces chutes des prix, les stocks d’appartements invendus qui tournent autour de 30.000 à la Costa del Sol. Sur l’ensemble de la Péninsule ibérique, l’on estime le stock d’invendus à 1 million d’appartements. Du coup, les promoteurs sont contraints d’écouler les volumes d’invendus qui mobilisent des fonds lourds, précise Saad Tazi. Dans le moyen standing par exemple, l’on parle d’un prix moyen de 180.000 euros. Généralement, le prix moyen par mètre carré oscille autour de 1.700 euros.
                  En fait, les corrections des prix remontent en Espagne à 2008. «D’ailleurs, la demande des Marocains a atteint son pic cette année-là, surtout en Andalousie», tient à préciser l’expert en immobilier.

                  Mais les prix ont commencé réellement à s’effondrer en 2011. A en croire des professionnels sur place, des baisses de l’ordre de 10% par an ont été enclenchées depuis 2008 avant d’atteindre leur pic cette année. Les baisses sont encore plus importantes dans la Costa del Sol où elles avoisinent 40% de moins que les prix pratiqués il y a 5 ans. A titre d’exemple, un appartement haut standing à Puerto Banus (Marina Banus exactement), vient d’être cédé à 300.000 euros alors qu’il valait 600.000 à 700.000 il y a 5 ans. Cette année, selon les prévisions, les prix risquent de chuter encore de 10%. Ce qui explique l’engouement sans précédent pour ce type d’acquisition: Anglais, Français, Marocains et même Russes… sont nombreux à flairer la bonne affaire surtout en Andalousie. Il y a aussi la communauté des MRE basés en France, Belgique, Italie ainsi que la communauté juive de Casablanca et leurs coreligionnaires d’origine marocaine installés en France. Mais si les Marocains sont nombreux à vouloir acquérir un pied à terre chez les voisins du Nord, c’est surtout parce que c’est le moyen le plus sûr d’avoir une carte de séjour en Espagne. En fait, l’acquisition d’un logement permet d’avoir un numéro d’identification pour pouvoir enregistrer le bien et s’acquitter ensuite des différentes taxes et impôts.

                  Ce qui a une valeur fiscale sans plus, mais cela permet aussi d’aspirer ultérieurement à la résidence. Sauf que l’expérience démontre que les Marocains désireux d’acquérir un logement en Espagne butent sur l’épineuse question de transfert de fonds.

                  Depuis l’avènement du Parti populaire, les banques exigent des justificatifs sur la provenance du cash lorsqu’il dépasse 2.500 euros. Du coup, les acquéreurs potentiels se rabattent sur des circuits «parallèles» de transfert moyennant des commissions salées. Mais souvent, cela ne résout pas pour autant la question de justificatifs de la provenance. Là encore, certains innovent et parviennent à trouver la bonne parade. S’il y a plus de contrôle sur le cash en Espagne, c’est parce que ce phénomène a été en grande partie à l’origine de la crise. Les transactions se faisaient souvent en espèces. Ce qui ne permettait pas d’avoir une perception réelle de la valeur du marché immobilier.
                  La première motivation d’achat d’un bien immobilier par les Marocains se justifie par le besoin d’une résidence secondaire dans un environnement attractif, balnéaire en l’occurrence qui plus est en Europe. Il y a ensuite ceux qui ont l’intention de placer leur argent pour une meilleure plus-value dans quelques années. Sauf que ces derniers risquent de déchanter rapidement. Selon Saad Tazi, «les corrections actuelles de prix ont permis de revenir à la réalité des prix, c’est-à-dire les niveaux de tarifs pratiqués dans les années 90». Autrement dit, poursuit l’expert, des fourchettes autour de 90.000 euros l’appartement. Or, même si les prix augmentent sur le long terme, ils ne pourront plus être dans les proportions surdimensionnées et la bulle d’il y a 5 ans.

                  De sources concordantes, tout porte à croire que l’immobilier espagnol poursuivra son trend baissier, du moins tant que les stocks des logements invendus dépassent 1 million d’unités. Et cerise sur le gâteau, les banques en difficulté (Bankia en l’occurrence dont le gouverneur vient d’être remercié) sont contraintes de faire des concessions pour écouler les gros stocks d’appartements saisis. Les taux actuels de crédit immobilier sont de 4,5% minimum pour le taux variable et 7 à 8% pour le taux fixe. Bien évidemment, ce sont des crédits hypothécaires. Fort heureusement, les banques espagnoles accordent encore des crédits à des Marocains même s’ils ne sont pas résidents. L’effet crise immobilière et financière conjugué au taux de chômage font que les saisies de biens immobiliers se multiplient de jour en jour et alimentent les sorties tonitruantes des Los Indignados (Les Indignés).
                  Un mouvement qui a des relais forts auprès de la société civile et des juristes dont le lobbying est très redouté par les banques espagnoles lors de l’exécution des saisies de biens immobiliers. Parallèlement, les entreprises spécialisées dans la promotion immobilière mettent de plus en plus les clés sous le paillasson. Du coup, la main d’œuvre alimente les rangs des chômeurs lorsqu’elle ne peut pas se rabattre sur l’agriculture (viticulture, oléiculture, agrumes…)

                  L'Economiste

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                  • #10
                    Aloha

                    j'aurais aimé que des algériens achètent ma maison une belle maison du 17eme s. à 40min des stations ski 2h de la mer ... !que je brade pour rentrer en algérie
                    Tu fais crédit ?.. oeilfermé

                    15 000 DA par mois sur 30 ans

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                    • #11
                      Seulement si tu es seul dans l'immeuble tu dois payer toutes les charges de l'immeuble .
                      L’ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit.”Aristote

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                      • #12
                        tout le monde sait que pour obtenir, une résidence permanente en Espagne et éviter les tracasseries du visa, il faut un investissement immobilier supérieur à 500 000 euro (et beaucoup de cadre supérieurs : médecins libéraux, ingénieurs sup ... qui n'avait pas cette info, on acheté des biens à 100 000, mais sans visa se sont retrouvé dans l'impossibilité d'en profité. Les seules qui ont eu la possibilité d'en profité sont les hauts fonctionnaires doté d'un passeport diplomatique ayant ainsi une liberté de circulation, ceux doté de double nationalité et les gros affairistes qui peuvent mettre et surtout faire sortir plus de 500 000 euros

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                        • #13
                          Cette clientèle est portée sur les appartements, deux chambres et plus, jamais moins, entre 65 000 et 85 000 euros. Et là- dessus, il y a un grand choix d’opportunités.
                          C'est beaucoup.Pour £30 000/35 000 (environ 34 000/38 000 euros) on peut acheter le meme appartement a Alicante a 50 metres de la plage.
                          My will is strong,it's my won't that is weak.

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                          • #14
                            Les algériens sont de gros malades, acheter des visas à 100000 euros, car en fait la vérité c'est que ces achats sont faits pour avoir des visas.......
                            L'autre vraie question est comment ils arrivent à sortir ces sommes du territoire ?
                            "When I saw the Hoggar Mountains, my jaw dropped. If you think of Bryce, or Canyonlands National Park, you're close, but the Hoggar Mountains are more spectacular." David Ball, Empire of sands

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                            • #15
                              Mes clients sont ingénieurs, géologues, médecins, professeurs d’université,
                              Je me demande aussi comment fait-on dans ces métiers pour recueillir ces sommes de ~100K euro?
                              Moqriba

                              Commentaire

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