La « veuve noire d’Al-Qaïda » rejoint les jihadistes de l’Etat islamique
Fatiha Mejjati, la femme la plus surveillée au Maroc, a pu quitter avec une facilité déconcertante le pays pour rejoindre les jihadistes de l’Etat islamique en Syrie.
Elle se serait installée à Jarables, près d’Alep.
Fatiha Mejjati est la veuve de Karim Mejjati, un jihadiste marocain d’Al-Qaïda, tué avec son fils en 2005 lors d’affrontements avec la police en Arabie Saoudite.
Après la mort de son mari et de son fils, elle était rentrée au Maroc avec un autre fils, Ilyas Mejjati. Ils avaient alors été « retenus » par la DST, la police politique marocaine, dans la sinistre prison secrète de Témara pendant plusieurs mois, avant d’être libérés sans qu’aucune charge ne soit retenue contre eux.
Ce passage forcé par la DST avait profondément troublé l’adolescent qui en a été gravement affecté. Il y a quelques mois,Fatiha Mejjati annonçait sur son compte Twitter le départ de son fils pour la Syrie pour combattre dans les rangs de l’Etat islamique de l’Irak et du Levant (EIIL), devenue depuis l’Etat islamique.
Mejjati et son fils Ilyas vivaient rue d’Oran, au quartier Gauthier, à Casablanca. Deux agents de la DST assuraient depuis leur retour au Maroc une surveillance permanente en bas de chez eux.
Demain
son message sur twitter
أم الشهيدآدم المجاطي
Fatiha Mejjati, la femme la plus surveillée au Maroc, a pu quitter avec une facilité déconcertante le pays pour rejoindre les jihadistes de l’Etat islamique en Syrie.
Elle se serait installée à Jarables, près d’Alep.
Fatiha Mejjati est la veuve de Karim Mejjati, un jihadiste marocain d’Al-Qaïda, tué avec son fils en 2005 lors d’affrontements avec la police en Arabie Saoudite.
Après la mort de son mari et de son fils, elle était rentrée au Maroc avec un autre fils, Ilyas Mejjati. Ils avaient alors été « retenus » par la DST, la police politique marocaine, dans la sinistre prison secrète de Témara pendant plusieurs mois, avant d’être libérés sans qu’aucune charge ne soit retenue contre eux.
Ce passage forcé par la DST avait profondément troublé l’adolescent qui en a été gravement affecté. Il y a quelques mois,Fatiha Mejjati annonçait sur son compte Twitter le départ de son fils pour la Syrie pour combattre dans les rangs de l’Etat islamique de l’Irak et du Levant (EIIL), devenue depuis l’Etat islamique.
Mejjati et son fils Ilyas vivaient rue d’Oran, au quartier Gauthier, à Casablanca. Deux agents de la DST assuraient depuis leur retour au Maroc une surveillance permanente en bas de chez eux.
Demain
son message sur twitter
أم الشهيدآدم المجاطي
الحمد والشكر لله الذي من علي بالهجرة في سبيله سلامي ودعائي من أمام المحكمة الإسلامية بجرابلس العز بأرض الشام المبارك
5:09 PM - 9 Juil 2014
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