Salut à tous et à toute,
Je voudrais vous faire part d'une réflexion qui concerne la scission entre la France colonisatrice et l'Algérie.
Les "indigènes" étaient des êtres de seconde catégorie aux yeux des français et l'injustice était le lot quotidien des algériens. Les premiers mouvements de révoltes des algériens ont fortement été réprimandé par l'armée française. Cela n'a pas empêché ce vent de révolte de prendre de la puissance et de l'ampleur jusqu'à l'issu que nous connaissons tous.
Mais avant le point de non retour, le général de Gaulle, alors fraîchement au pouvoir, avait tenu un discours permettant de rétablir l'ordre social et de considérer les algériens comme des français à part entière, soumis aux mêmes droits et aux mêmes devoirs que les français de souche. Le FLN resta inflexible et était fortement déterminé à ce que l'Algérie ait son indépendance.
Après réflexion, et lorsque nous voyons l'état du pays qu'est l'Algérie d'aujourd'hui, je me demande s'il n'aurait pas fallu que les algériens négocient avec le pouvoir français une période transitoire permettant aux algériens de gérer le pays dans les meilleurs conditions possible. De ce fait, la population aurait bénéficié des avancées technologiques et culturelles de la France afin de stabiliser le pays au mieux.
Si une ou deux générations avaient pleinement bénéficié du savoir faire français, et si De Gaulle avait honoré sa parole (il souhaitait un rapport fraternel), je pense que nous aurions évité cet état de décrépitude avancé de ce pays.
Qu'en pensez-vous ?
Je voudrais vous faire part d'une réflexion qui concerne la scission entre la France colonisatrice et l'Algérie.
Les "indigènes" étaient des êtres de seconde catégorie aux yeux des français et l'injustice était le lot quotidien des algériens. Les premiers mouvements de révoltes des algériens ont fortement été réprimandé par l'armée française. Cela n'a pas empêché ce vent de révolte de prendre de la puissance et de l'ampleur jusqu'à l'issu que nous connaissons tous.
Mais avant le point de non retour, le général de Gaulle, alors fraîchement au pouvoir, avait tenu un discours permettant de rétablir l'ordre social et de considérer les algériens comme des français à part entière, soumis aux mêmes droits et aux mêmes devoirs que les français de souche. Le FLN resta inflexible et était fortement déterminé à ce que l'Algérie ait son indépendance.
Après réflexion, et lorsque nous voyons l'état du pays qu'est l'Algérie d'aujourd'hui, je me demande s'il n'aurait pas fallu que les algériens négocient avec le pouvoir français une période transitoire permettant aux algériens de gérer le pays dans les meilleurs conditions possible. De ce fait, la population aurait bénéficié des avancées technologiques et culturelles de la France afin de stabiliser le pays au mieux.
Si une ou deux générations avaient pleinement bénéficié du savoir faire français, et si De Gaulle avait honoré sa parole (il souhaitait un rapport fraternel), je pense que nous aurions évité cet état de décrépitude avancé de ce pays.
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