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La FIFA, championne du Monde de la déconne
En désignant Messi comme le meilleur joueur de ce Mondial, la FIFA a fait un pas supplémentaire dans le ridicule et le grotesque. Ou comment faire passer ses intérêts commerciaux avant toute considération sportive…
C’était presque trop beau pour être vrai. Une Coupe du Monde sans histoire, sans incident, sans accroc ou presque. Une grande fête d’un mois autour du ballon rond dans un pays où l’on craignait pourtant un Mondial social plutôt qu’un Mondial de football. Finalement, tout s’est parfaitement passé. Et on aurait pu se quitter sur ces belles images de joie des Allemands. Mais c’était sans compter sur la FIFA, championne du monde du ridicule et du grotesque.
En désignant Lionel Messi comme le meilleur joueur de ce Mondial, l’instance internationale et son comité d’experts (quelle expertise en effet !) ont fait un pas supplémentaire dans le pathétique. Ou comment faire passer des intérêts commerciaux avant toute considération sportive… La marque Messi est une aubaine pour la FIFA. Et le joueur argentin un merveilleux VRP pour Sepp Blatter, sa petite bande et leur Coupe du Monde. Sans oublier le généreux sponsor adidas, associé au joueur du Barça et fidèle partenaire de la Fédération internationale. Pas la peine évidemment de vous faire un dessin…
Non contente de se discréditer une fois de plus, la FIFA a provoqué un tollé général à travers le monde. Et même Messi, capitaine fantomatique au bord de la dépression sur la tribune officielle dimanche soir, a paru gêné par cette distinction venue de nulle part. James, Müller, Kroos, Lahm ou encore Mascherano auraient tous mérité de succéder à Diego Forlan dans ce palmarès. Mais c’est surtout Arjen Robben qui a été le grand oublié de ce Ballon d’Or adidas. Mais il faut bien comprendre Sepp Blatter et ses amis : un Néerlandais avec son maillot Nike sur les photos, ça aurait fait tache ! Non ?
football365
En désignant Messi comme le meilleur joueur de ce Mondial, la FIFA a fait un pas supplémentaire dans le ridicule et le grotesque. Ou comment faire passer ses intérêts commerciaux avant toute considération sportive…
C’était presque trop beau pour être vrai. Une Coupe du Monde sans histoire, sans incident, sans accroc ou presque. Une grande fête d’un mois autour du ballon rond dans un pays où l’on craignait pourtant un Mondial social plutôt qu’un Mondial de football. Finalement, tout s’est parfaitement passé. Et on aurait pu se quitter sur ces belles images de joie des Allemands. Mais c’était sans compter sur la FIFA, championne du monde du ridicule et du grotesque.
En désignant Lionel Messi comme le meilleur joueur de ce Mondial, l’instance internationale et son comité d’experts (quelle expertise en effet !) ont fait un pas supplémentaire dans le pathétique. Ou comment faire passer des intérêts commerciaux avant toute considération sportive… La marque Messi est une aubaine pour la FIFA. Et le joueur argentin un merveilleux VRP pour Sepp Blatter, sa petite bande et leur Coupe du Monde. Sans oublier le généreux sponsor adidas, associé au joueur du Barça et fidèle partenaire de la Fédération internationale. Pas la peine évidemment de vous faire un dessin…
Non contente de se discréditer une fois de plus, la FIFA a provoqué un tollé général à travers le monde. Et même Messi, capitaine fantomatique au bord de la dépression sur la tribune officielle dimanche soir, a paru gêné par cette distinction venue de nulle part. James, Müller, Kroos, Lahm ou encore Mascherano auraient tous mérité de succéder à Diego Forlan dans ce palmarès. Mais c’est surtout Arjen Robben qui a été le grand oublié de ce Ballon d’Or adidas. Mais il faut bien comprendre Sepp Blatter et ses amis : un Néerlandais avec son maillot Nike sur les photos, ça aurait fait tache ! Non ?
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