Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Lorsque les brochettes rivalisent avec les gâteaux orientaux

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Lorsque les brochettes rivalisent avec les gâteaux orientaux



    Alors que la majorité des cafés et « mahchachet » offraient leurs espaces aux longues soirées ramadanesques à l’intention des amateurs de Kelb el louz, thé et autres gâteaux sucrés, une nouvelle dégustation a fait son entrée ce ramadhan.
    Des grillades sont proposées aux clients au grand bonheur de ces derniers qui veillent jusqu’à l’aube.
    Pour ce faire, toutes les commodités nécessaires ont été installées pour préparer des grillades à la hauteur des fins gourmets.
    Une virée à El Biar, les quartiers vivaient au rythme de l’ambiance avant Aïd. L’artère reliant le boulevard Saint Raphaël à la placette Kennedy grouillait de monde. Sortis pour faire leurs emplettes, les riverains n’ont pas hésité à marquer une halte devant les barbecues installés à l’entrée des immeubles, magasins spécialisés ou mieux encore sous les arbres.
    Ceux qui ont investi ce créneau ont fait de leur activité de vrais « sandwicheries » ambulantes qui incitent à déguster, du moins, un petit casse-croûte de viande grillée. L’odeur dégagée par les barbecues chatouillent les narines et ouvre l’appétit. Les gourmands ne restent pas indifférents et cèdent à la tentation.
    Devenus un usage coutumier ancré chez les jeûneurs, certains préfèrent éviter le plat principal à la maison, et laissant place aux bonnes brochettes qu’ils dégusteront plus tard dans la soirée avec leurs amis autour d’une partie de domino ou de cartes. D’autres, consomment à volonté des brochettes après la prière des Taraouih. « Rien n’équivaut un S’hour marqué par une grillade sur feu de braise », diront quelques insatiables. Ces derniers sont devenus même des habitués.



    Ils ne conçoivent plus une soirée ramadanesques sans brochettes. Pour eux c’est une manière de casser la routine et de profiter de ce léger et succulent sandwich. C’est dire, que cette pratique « informelle » dans l’ensemble, est devenue une halte incontournable. Ainsi, grands et petits déboursent au minimum 120 DA le sandwich chaque soir.
    Très portés sur les préparations douces (sucrées), les habitudes culinaires des Algérois semblent prendre un autre itinéraire. Désormais c’est le « salé » qui trône

    Par Rym H.
    dz(0000/1111)dz

  • #2
    Merci Katiret, je fais ça comme sur ta photo 1, des petites brochettes fines, mon boucher (un Kabyle) me garde deux cœurs et deux foie d'agneaux, avec les poumons je fais une autre préparation en sauce.
    Je ne mange plus de gâteaux sucrés (diabète) et je suis obligé de manger à heures régulières et boire toutes les deux heures.
    Hors sujet, j'ai perdu la recette de ma grand mère, les dolmas au choux, en aurais tu une excellente à mon service!
    Amitiés
    Gerhart
    Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

    Commentaire

    Chargement...
    X