Habitué à la corruption, aujourd’hui généralisée, le pouvoir algérien a choisi les difficultés politiques et économiques de certains pays arabes, survenues suite au faux printemps arabe, pour se lancer dans des actions d’extorsion et de corruption dans ces pays visant le Maroc et ses intérêts vitaux. Le DRS, qui croit à la magie du pétrodollar, est convaincu que ces pays sont aujourd’hui vulnérables au point de ne pas disposer de résistance face à l’extorsion ou de défense contre la corruption.
Après avoir monnayé des rumeurs contre la visite du roi Mohamed VI en Tunisie, démenties de la plus belle manière, les services de la sécurité militaire algérien essayent de conquérir les médias égyptiens et à travers eux l’opinion publique de ce grand pays arabe. Si maladroitement et si grossièrement que ça a fini par indisposer les Egyptiens.
Aux yeux d’Alger, pas mieux qu’une une visite encadrée de quelques journalistes égyptiens aux camps de Tindouf. Des rencontres avec les milices de la surveillance de la population de camps. Une occasion pour elles et à leur tête un Mohamed Abdelaziz perdu et contesté, pour tenter de soutirer une position au nouveau président égyptien le maréchal Abdelfattah Sissi contre l’intégrité territoriale du Maroc. La manœuvre complémente une action opportuniste visant à faire de l’instabilité en Libye un moyen d’extorsion dans sa relation avec le nouveau pouvoir égyptien, qui craint l’utilisation des longues frontières entre l’Égypte et la Libye pour porter atteinte à la sécurité de son pays.
Mais dans sa globalité la presse égyptienne n’est pas tombée dans le panneau, elle s’est plutôt attardée, au grand dam de la presse algérienne, sur les aspects anecdotiques de cette visite. A l’exception de la journaliste égyptienne Amani Khayat de la chaîne On TV contre le Maroc et les Marocains, peut être interprétée comme la sève amère de cette manœuvre qui n’a duré que quelques heures. Les sages de ce grand pays arabe ont vite réagi pour remettre de l’ordre dans la maison. Et de manière retentissante. La journaliste s’est faite humiliée devant son public, contrainte de demander des excuses au Maroc et à son roi.
Les relations entre le Maroc et l’Egypte et entre les Marocains et les Egyptiens sont plus profondes que cela et ouvertes sur des perspectives prometteuses. Rien ne ppourraitt les détériorer. L’Egypte, comme tous les pays arabes à part l’Algérie, n’a jamais soutenu un mouvement séparatiste dans le monde arabe ou ailleurs. Elle a tout fait pour sauver l’unité du Soudan au moment où le Polisario, affidé de l’Algérie, a soutenu les séparatistes sudistes qui s’entretuent aujourd’hui dans une guerre tribale. Un exemple à méditer par le Polisario de l’intérieur.
Quid.ma
Après avoir monnayé des rumeurs contre la visite du roi Mohamed VI en Tunisie, démenties de la plus belle manière, les services de la sécurité militaire algérien essayent de conquérir les médias égyptiens et à travers eux l’opinion publique de ce grand pays arabe. Si maladroitement et si grossièrement que ça a fini par indisposer les Egyptiens.
Aux yeux d’Alger, pas mieux qu’une une visite encadrée de quelques journalistes égyptiens aux camps de Tindouf. Des rencontres avec les milices de la surveillance de la population de camps. Une occasion pour elles et à leur tête un Mohamed Abdelaziz perdu et contesté, pour tenter de soutirer une position au nouveau président égyptien le maréchal Abdelfattah Sissi contre l’intégrité territoriale du Maroc. La manœuvre complémente une action opportuniste visant à faire de l’instabilité en Libye un moyen d’extorsion dans sa relation avec le nouveau pouvoir égyptien, qui craint l’utilisation des longues frontières entre l’Égypte et la Libye pour porter atteinte à la sécurité de son pays.
Mais dans sa globalité la presse égyptienne n’est pas tombée dans le panneau, elle s’est plutôt attardée, au grand dam de la presse algérienne, sur les aspects anecdotiques de cette visite. A l’exception de la journaliste égyptienne Amani Khayat de la chaîne On TV contre le Maroc et les Marocains, peut être interprétée comme la sève amère de cette manœuvre qui n’a duré que quelques heures. Les sages de ce grand pays arabe ont vite réagi pour remettre de l’ordre dans la maison. Et de manière retentissante. La journaliste s’est faite humiliée devant son public, contrainte de demander des excuses au Maroc et à son roi.
Les relations entre le Maroc et l’Egypte et entre les Marocains et les Egyptiens sont plus profondes que cela et ouvertes sur des perspectives prometteuses. Rien ne ppourraitt les détériorer. L’Egypte, comme tous les pays arabes à part l’Algérie, n’a jamais soutenu un mouvement séparatiste dans le monde arabe ou ailleurs. Elle a tout fait pour sauver l’unité du Soudan au moment où le Polisario, affidé de l’Algérie, a soutenu les séparatistes sudistes qui s’entretuent aujourd’hui dans une guerre tribale. Un exemple à méditer par le Polisario de l’intérieur.
Quid.ma
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