Je te mène dans un monde
où ne courent que les ondes
d’amour et d’amitié,
où la pluie ruisselle perlée.
Il y a des roses sans épines -
des étoiles, telles les ballerines,
y dansent en harmonie
aux sons célestes de la vie.
L’effluve des fleurs
aux aspects enchanteurs,
pur et en symphonie,
choiera nos cœurs meurtris.
Volcans rependront l’amour,
oiseaux chanteront toujours
des airs séraphiques
tels les chants angéliques.
J’y chérirais ton âme,
t’offrirais mes larmes
de joie et de bonheur
dans une douce tiédeur.
Je te ferais goûter du nectar
parmi cygnes et nénuphars,
te donnerais caresses à foison
près des colombes et oisillons.
Jamais, je ne te priverai
de plus tendres baisers,
ni de mots cajoleurs
qui combleront ton cœur.