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La Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD) devra trouver un autre jour et un autre lieu pour se réunir. La wilaya d’Alger a refusé d’accorder une autorisation de réunion à cette organisation d’opposition dans la salle Riadh El Feth, à Alger, prévue demain. C’est Sofiane Sekheri, porte-parole de Jil Djadid, qui l’affirme.
Selon lui, le motif invoqué par les autorités est que « le lieu choisi par les organisateurs est à caractère culturel ». Par ailleurs, cette réunion coïnciderait « avec la tenue de plusieurs événements culturels programmés durant le mois de ramadan ».
Cette interdiction fait suite à une autre tentative d’empêcher la CNTLD de se réunir. Dans un premier temps, les services de la wilaya avaient déjà refusé de traiter cette demande, exigeant aux organisateurs des détails sur la réunion, tels que la liste des intervenants et des participants et les thèmes qui seraient abordés. Ces détails ont été communiqués et joints à la deuxième demande déposée le 14 juillet.
Mais cela n’a pas suffi pour convaincre l’administration qui a déclaré le lieu et la date de l’événement « inappropriés ». « Nous avons été surpris, ce dimanche, par une correspondance émanant des services de la wilaya d’Alger qui nous informe du refus d’autoriser la tenue de la conférence thématique », précise un communiqué rendu public, ce dimanche.
À l’initiative de cette demande, le parti Jil Djadid condamne vivement la décision de la wilaya. « Aucune activité culturelle n’est prévue au niveau de la salle le 21 juillet, date de la conférence. Pour preuve, une réservation a été faite et un accord nous a été signifié par le directeur de la salle », souligne Sofiane Sekheri.
Il rappelle, par ailleurs, que des activités politiques se tiennent tout au long de l’année dans la salle Mohamed Zinet à Riadh El Feth. « On en a tenu plusieurs d’ailleurs. » Selon lui, le pouvoir politique se cache derrière ce rejet. « Ce refus traduit, en fait, une panique au sein du pouvoir qui souhaite freiner toute initiative visant à sortir le pays de l’impasse ».
tsa
Selon lui, le motif invoqué par les autorités est que « le lieu choisi par les organisateurs est à caractère culturel ». Par ailleurs, cette réunion coïnciderait « avec la tenue de plusieurs événements culturels programmés durant le mois de ramadan ».
Cette interdiction fait suite à une autre tentative d’empêcher la CNTLD de se réunir. Dans un premier temps, les services de la wilaya avaient déjà refusé de traiter cette demande, exigeant aux organisateurs des détails sur la réunion, tels que la liste des intervenants et des participants et les thèmes qui seraient abordés. Ces détails ont été communiqués et joints à la deuxième demande déposée le 14 juillet.
Mais cela n’a pas suffi pour convaincre l’administration qui a déclaré le lieu et la date de l’événement « inappropriés ». « Nous avons été surpris, ce dimanche, par une correspondance émanant des services de la wilaya d’Alger qui nous informe du refus d’autoriser la tenue de la conférence thématique », précise un communiqué rendu public, ce dimanche.
À l’initiative de cette demande, le parti Jil Djadid condamne vivement la décision de la wilaya. « Aucune activité culturelle n’est prévue au niveau de la salle le 21 juillet, date de la conférence. Pour preuve, une réservation a été faite et un accord nous a été signifié par le directeur de la salle », souligne Sofiane Sekheri.
Il rappelle, par ailleurs, que des activités politiques se tiennent tout au long de l’année dans la salle Mohamed Zinet à Riadh El Feth. « On en a tenu plusieurs d’ailleurs. » Selon lui, le pouvoir politique se cache derrière ce rejet. « Ce refus traduit, en fait, une panique au sein du pouvoir qui souhaite freiner toute initiative visant à sortir le pays de l’impasse ».
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