Un rapport de renseignement aurait alerté les pays d’Afrique du nord, de menaces d’attaques semblables à celles du 11 septembre 2001 à New York, qui utiliseraient des avions de lignes libyens, tombés entre les mains des groupes terroristes à l’aéroport de Tripoli.
En effet, les avions de transport, contrôlés actuellement par les groupes jihadistes en Libye seraient au nombre de 11. Ils en auraient pris possession lors des affrontements qui eurent lieu récemment, à l’aéroport international de Tripoli.
Selon le site arabophone goud, des sources de renseignements de pays de la région, auraient averti que, menaces sérieuses, pèsent sur le Maroc, l’Algérie et la Tunisie, suite à ces affrontements extrêmement dangereux, déroulés à l’aéroport de Tripoli et qui se seraient soldés par le passage sous contrôle des ‘terroristes’ de ce parc d’avions, susceptibles d’être utilisés comme vecteurs explosifs, s’ils sont envoyés se faire écraser sur des cibles économiques, institutionnelles ou militaires dans les trois pays cités.
La même source a indiqué que le Maroc, l’Algérie, l’Egypte, l’Italie, la France, l’Espagne, Malte et la Grèce, braquent leurs radars de contrôle aérien sur l’espace aérien libyen, afin de télédétecter précocement, tout mouvement suspect de ces avions, qui voleraient sous commandes des terroristes, sans transpondeurs pour ne pas être identifiés et pour que leurs trajectoires ne puissent être suivies.
lemag
En effet, les avions de transport, contrôlés actuellement par les groupes jihadistes en Libye seraient au nombre de 11. Ils en auraient pris possession lors des affrontements qui eurent lieu récemment, à l’aéroport international de Tripoli.
Selon le site arabophone goud, des sources de renseignements de pays de la région, auraient averti que, menaces sérieuses, pèsent sur le Maroc, l’Algérie et la Tunisie, suite à ces affrontements extrêmement dangereux, déroulés à l’aéroport de Tripoli et qui se seraient soldés par le passage sous contrôle des ‘terroristes’ de ce parc d’avions, susceptibles d’être utilisés comme vecteurs explosifs, s’ils sont envoyés se faire écraser sur des cibles économiques, institutionnelles ou militaires dans les trois pays cités.
La même source a indiqué que le Maroc, l’Algérie, l’Egypte, l’Italie, la France, l’Espagne, Malte et la Grèce, braquent leurs radars de contrôle aérien sur l’espace aérien libyen, afin de télédétecter précocement, tout mouvement suspect de ces avions, qui voleraient sous commandes des terroristes, sans transpondeurs pour ne pas être identifiés et pour que leurs trajectoires ne puissent être suivies.
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