Un fier olivier enraciné sur terre fertile
Se fit surprendre par une nature hostile
Qui s'acharna sur ses olives vertes
Il trembla de toutes ses feuilles
Pour ses branches mises en deuil.
Il vit des vents nés d'une pression
Vile et secrète à nuire la raison
Qui fit à la météo milles tourbillons.
Le cyclone dans sa course folle
Dans l'espace comme une territe
Créa au temps le bémol qui irrite,
Des nuages lourds fumant au ciel
Glaciers fondant et pluie torrentielle
Tempêtes en folie dans l'oeil du coco
Le Sir s'en mêla de son souffle roco
t la miss du haut de son râle
Donna au Mistral l'envie d'un bal.
Enlacés, ils se mirent à valser
La danse de l'enfer et de la peur
jurant de briser le temps des fleurs
Et rendre le printemps un vaintemps
D'arracher sa beauté de la racine
les coquelicots, les roses du lendemain.
La folie a joint ses deux mains
Le mistral épousa le sirocco
Et enfanta au monde ses tornades
Comme des vents rares et de trop
Qui Tirent et rient pathétiques
D' une onde emblématique.
Fialyne Olivès
Se fit surprendre par une nature hostile
Qui s'acharna sur ses olives vertes
Il trembla de toutes ses feuilles
Pour ses branches mises en deuil.
Il vit des vents nés d'une pression
Vile et secrète à nuire la raison
Qui fit à la météo milles tourbillons.
Le cyclone dans sa course folle
Dans l'espace comme une territe
Créa au temps le bémol qui irrite,
Des nuages lourds fumant au ciel
Glaciers fondant et pluie torrentielle
Tempêtes en folie dans l'oeil du coco
Le Sir s'en mêla de son souffle roco
t la miss du haut de son râle
Donna au Mistral l'envie d'un bal.
Enlacés, ils se mirent à valser
La danse de l'enfer et de la peur
jurant de briser le temps des fleurs
Et rendre le printemps un vaintemps
D'arracher sa beauté de la racine
les coquelicots, les roses du lendemain.
La folie a joint ses deux mains
Le mistral épousa le sirocco
Et enfanta au monde ses tornades
Comme des vents rares et de trop
Qui Tirent et rient pathétiques
D' une onde emblématique.
Fialyne Olivès