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Le Match aura lieu demain à 15 heures au stade du 5-Juillet .
Une finale, quel soit son prestige, est toujours bonne à gagner pour enrichir son palmarès, même s’il est déjà éloquent. Cette supercoupe d’Algérie, mise en jeu sur l’initiative de «Ring Algérie», est une bonne occasion pour les deux animateurs de ce rendez-vous footballistique, le MC Alger et la JS Kabylie, pour ajouter un autre trophée à leur belle vitrine.
Une très belle affiche en perspective, dans un décor qui sera, sans nul doute, somptueux. Ainsi, tous les regards seront tournés vers le stade du 5-Juillet, qui sera paré des plus belles couleurs de ces deux grands clubs. Le temple du football algérien sera tout de «vert et rouge» et «jaune et vert» et pourrait même afficher complet.
La fête sera grande. Mouloudéens d’Alger et Canaris du Djurdjura ont les ingrédients qu’il faut pour donner toute la saveur voulue à la rencontre. Le spectacle est garanti dans les gradins et le sera sans doute aussi sur le terrain.
L’enjeu est motivant et les deux équipes ne voudraient en aucun cas s’en priver. Une simple question de prestige au départ, mais qui vaudra à son vainqueur d’aller se mesurer à l’une des deux grosses pointures du Calcio, l’Inter de Milan et l’AS Rome.
Mouloudéens et Canaris, qui se connaissent assez bien et qui se vouent un respect mutuel, auront à cœur de se faire plaisir et de satisfaire leurs fidèles supporters. Les Aït Djoudi – Saïb d’un côté et Bracci de l’autre saisiront cette opportunité pour effectuer une bonne revue d’effectif.
Les Kabyles, champions en titre, qui viennent de renouer avec la victoire après une longue période de disette et suite à une crise interne sans précédent, voudront à tout prix confirmer leur réveil du week-end dernier contre l’USM Alger.
Les camarades de Harkat, revigorés et remis en confiance par leur premier succès de la saison, auront du pain sur la planche devant une équipe du Mouloudia, apparemment plus forte sur le papier, qui aura derrière elle son «peuple».
La JS Kabylie devra, elle aussi, faire avec l’absence de trois éléments clés et pas des moindres : Daoud, Dabo et l’artisan de la dernière victoire, Yacef. Rien que ça pour une équipe à la recherche de toute sa force. C’est dire que la formation kabyle sera sérieusement amputée de ses principaux fers de lance aux avant-postes et de son gladiateur Daoud, omniprésent dans l’entrejeu.
En outre, les Jaune et Vert devront se passer des services de Marek, qui vient de rejoindre, lui aussi, l’infirmerie, et probablement de Nabil Hemani, endeuillé par la perte de sa mère. Aït Djoudi et Saïb devront, par conséquent, puiser dans le réservoir pour aligner un onze capable de relever le défi.
En face, les Mouloudéens, malgré les turbulences qui gravitent autour du club, se présenteront en position de force sur le terrain, avec un groupe au complet, d’où l’embarras du choix qu’aura Bracci pour aligner le onze qu’il faut.
Les Vert et Rouge, qui affichent une folle envie de marquer leur retour en force aux devants de la scène footballistique nationale, ont les atouts en main pour se surpasser et replonger tout Bab El-Oued et la capitale dans une ambiance qui rappellera celle d’une certaine soirée du 14 juin.
Du spectacle en perspective et les nostalgiques de ce grand classique ne seront certainement pas déçus. Que la fête soit et que le meilleur l’emporte ! A signaler que cette belle affiche sera dirigée par un trio international, avec l’Egyptien Ahmed Aouda comme arbitre central, secondé par un Tunisien et un Marocain comme juges de ligne.
L’affiche de cette supercoupe sera rehaussée par la présence de plusieurs invités de marque du football mondial, parmi lesquels les représentants de l’UEFA, de la CAF et de l’UAF, des présidents de fédération des pays du Maghreb et des représentants de clubs français où évoluent nos internationaux.
Les organisateurs de cette supercoupe ont formé une commission technique qui désignera le meilleur joueur du match. Ladite commission est composée d’anciennes figures de proue du football arabe (Choubeir (Egypte), Attouga et Tarak Diab (Tunisie) et Ighil et Belloumi (Algérie), ainsi que d’un représentant de la presse, en la personne de notre confrère Yazid Wahib.
- Le Jeune Independant
Une finale, quel soit son prestige, est toujours bonne à gagner pour enrichir son palmarès, même s’il est déjà éloquent. Cette supercoupe d’Algérie, mise en jeu sur l’initiative de «Ring Algérie», est une bonne occasion pour les deux animateurs de ce rendez-vous footballistique, le MC Alger et la JS Kabylie, pour ajouter un autre trophée à leur belle vitrine.
Une très belle affiche en perspective, dans un décor qui sera, sans nul doute, somptueux. Ainsi, tous les regards seront tournés vers le stade du 5-Juillet, qui sera paré des plus belles couleurs de ces deux grands clubs. Le temple du football algérien sera tout de «vert et rouge» et «jaune et vert» et pourrait même afficher complet.
La fête sera grande. Mouloudéens d’Alger et Canaris du Djurdjura ont les ingrédients qu’il faut pour donner toute la saveur voulue à la rencontre. Le spectacle est garanti dans les gradins et le sera sans doute aussi sur le terrain.
L’enjeu est motivant et les deux équipes ne voudraient en aucun cas s’en priver. Une simple question de prestige au départ, mais qui vaudra à son vainqueur d’aller se mesurer à l’une des deux grosses pointures du Calcio, l’Inter de Milan et l’AS Rome.
Mouloudéens et Canaris, qui se connaissent assez bien et qui se vouent un respect mutuel, auront à cœur de se faire plaisir et de satisfaire leurs fidèles supporters. Les Aït Djoudi – Saïb d’un côté et Bracci de l’autre saisiront cette opportunité pour effectuer une bonne revue d’effectif.
Les Kabyles, champions en titre, qui viennent de renouer avec la victoire après une longue période de disette et suite à une crise interne sans précédent, voudront à tout prix confirmer leur réveil du week-end dernier contre l’USM Alger.
Les camarades de Harkat, revigorés et remis en confiance par leur premier succès de la saison, auront du pain sur la planche devant une équipe du Mouloudia, apparemment plus forte sur le papier, qui aura derrière elle son «peuple».
La JS Kabylie devra, elle aussi, faire avec l’absence de trois éléments clés et pas des moindres : Daoud, Dabo et l’artisan de la dernière victoire, Yacef. Rien que ça pour une équipe à la recherche de toute sa force. C’est dire que la formation kabyle sera sérieusement amputée de ses principaux fers de lance aux avant-postes et de son gladiateur Daoud, omniprésent dans l’entrejeu.
En outre, les Jaune et Vert devront se passer des services de Marek, qui vient de rejoindre, lui aussi, l’infirmerie, et probablement de Nabil Hemani, endeuillé par la perte de sa mère. Aït Djoudi et Saïb devront, par conséquent, puiser dans le réservoir pour aligner un onze capable de relever le défi.
En face, les Mouloudéens, malgré les turbulences qui gravitent autour du club, se présenteront en position de force sur le terrain, avec un groupe au complet, d’où l’embarras du choix qu’aura Bracci pour aligner le onze qu’il faut.
Les Vert et Rouge, qui affichent une folle envie de marquer leur retour en force aux devants de la scène footballistique nationale, ont les atouts en main pour se surpasser et replonger tout Bab El-Oued et la capitale dans une ambiance qui rappellera celle d’une certaine soirée du 14 juin.
Du spectacle en perspective et les nostalgiques de ce grand classique ne seront certainement pas déçus. Que la fête soit et que le meilleur l’emporte ! A signaler que cette belle affiche sera dirigée par un trio international, avec l’Egyptien Ahmed Aouda comme arbitre central, secondé par un Tunisien et un Marocain comme juges de ligne.
L’affiche de cette supercoupe sera rehaussée par la présence de plusieurs invités de marque du football mondial, parmi lesquels les représentants de l’UEFA, de la CAF et de l’UAF, des présidents de fédération des pays du Maghreb et des représentants de clubs français où évoluent nos internationaux.
Les organisateurs de cette supercoupe ont formé une commission technique qui désignera le meilleur joueur du match. Ladite commission est composée d’anciennes figures de proue du football arabe (Choubeir (Egypte), Attouga et Tarak Diab (Tunisie) et Ighil et Belloumi (Algérie), ainsi que d’un représentant de la presse, en la personne de notre confrère Yazid Wahib.
- Le Jeune Independant
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