Bien que s'inscrivant "nouveau" il est évident que ce sujet est inspiré par les différents "fils" où s'affrontent les tenants de telle ou telle "étiquette", toutes réductrices que ce soit sur le plan "racial", ethnique, linguistique, religieux, philosophique, géographique, historique, de la nationalité, de la citoyenneté, etc... etc...et bien sûr sur le sexe.
Et si, au lieu d'aborder le ou les problèmes et questionnements à partir de NOTRE cas individuel tel que nous le percevons -avec ses vérités et aussi ses erreurs- nous tentions d'élever notre point de vue... jusqu'à la complexité du VIVANT dans sa niche cosmique.
Toutes et tous nous avons en commun de relever de ce qu'il est convenu d'appeler "L'ESPECE HUMAINE" laquelle est née sur cette toute petite boule (à l'échelon du Cosmos) que nous sommes convenu d'appeler la "TERRE", laquelle s'inscrit dans une galaxie bien précise, dites solaire parce que sa plus grosse étoile, le "SOLEIL", est celle qui conditionne notre vie, que nous sur la Terre, là où nous sommes, nous tournons aussi autour de lui dans notre biosphère où le "VIVANT" a pu se concrétiser par combinaison d'éléments fondamentaux lesquels, de par les aléas combinatoires, ont donné des résultats diverses et variés, pour faire court disons : le minéral, le végétal, l'animal et son couronnement actuel (et vraisemblablement seulement actuel) semble bien être l'ESPECE HUMAINE.
Ce qui est formidable, merveilleux, éblouissant c'est que chaque être humain est toujours unique.Tu est unique, elle ou lui est unique, je suis unique.
Lors de sa conception elle/il est unique, ayant pour seul héritage les chromosomes transmis par sa génitrice et son géniteur. La combinaison de chaque moitié des deux legs chromosomiques va se faire de manière aléatoire ce qui aboutira à La création d'un être nouveau et unique sauf, peut-être, pour les jumeaux homozygotes à ce stade.
Elle/il sera déjà "marqué(e)" par cette combinaison aléatoire dans sa morphologie, la couleur de ses yeux, la couleur et la texture de ses cheveux, son grain de peau et la couleur de celle-ci et y compris les éventuelles abérations génétiques (hermaphrodisme, trisomie par exemple..).
A ce stade il semblerait que l'on puiss raisonnablement admettre l'existence d'une mémoire génétique, via l'héritage chromosomique, inscrite dans l'ADN et remontant...à la nuit des temps de l'histoire des gènes constitutifs du nouvel être humain déjà conçu, encore en gestation et n'ayant déjà qu'une aspiration : VIVRE que l'on pourrait traduire par "EXPLORER SON FUTUR" tout en disposant déjà d'un "passé historique" allant EN-DECA de sa propre conception ...par les gènes hérités de ses ancètres (ce qui est peut-être à l'origine de ce que Jung appelle l'inconscient lequel est alors tant individuel que collectif.
Dame Nature ayant déjà demandé au mâle de déterminer le sexe du futur enfant, et l'être humain étant un mammifère, elle a attribué la charge de porter le futur bébé à la femelle, laquelle va le protéger et le nourrir tout au long de sa vie intra-utérine au cours de laquelle il va commencer son développement. Içi il est indispensable de rappeler que le sexe de l'embryon est déterminé par l'héritage chromosomique légué par le géniteur et qu'en aucun cas la génitrice de devrait être tenue pour responsable de ne donner naissance qu'à des filles (ce qui, en soi, n'est d'ailleurs pas une tare) de même que la stérilité n'est pas le fait de seulement la femme mais peut être celle du mâle.
Le statut de la mère (naturelle ou simplement porteuse) va influer tant physiquement (exemple : quantité et qualité des nourritures ingérées par la mère-nourrice conditionnant l'alimentation du foetus) que psychiquement (exemple : environnement sonore harmonieux ou bruits aggressifs) et qu'affectivement ( exemple : intérêt porté au petit être humain en gestation ou attitude mépris quant à son existence et a fortiori refus de le prendre en compte).
C'est ainsi que l'on admet raisonnablement que le fait, pour la mère et son foetus, de vivre au milieu des bouleversements, des stress et de la fureur d'un état de guerre vont influer sur le psychisme de l'enfant encore à naître. C'est aussi vrai pour l'absoption de rayonnements, de produits nocifs (exemple : atome, thalidomide, etc...)
C'est ainsi que l'on peut aussi raisonnablement admettre que le fait de vivre dans des conditions socio-culturelles données vont influer sur la future mère, son attitude, son comportement et donc sur le foetus. Idem pour l'attitude et le comportement de l'entourage (exemple : société où l'on se désinteresse de la vie du foetus ou, au contraire, en manifestant de l'attention à la communication avec le petit être encore en gestation).
C'est ainsi que l'on peut raisonnablement admettre que le fait de savoir (par l'échographie) ou seulement d'appréhender la naissance d'une fille, dans certaines sociétés, va agir sur le strss de la future mère, du futur père et de l'entourage engendrant ainsi des réactions positives ou négatives influant sur le psychisme de l'enfant à naître.
La vie intra-utérien n'exclut donc pas pour le bébé à naître d'avoir déjà, par procuration en quelque sorte, une vie sociale, une relation aux autres et d'en ressentir les effets pernicieux ou bénéfiques quant au développement de son potentiel propre et de subir déjà les "marquages sociaux" dont elle ou il est déjà investi avant même sa naissance.
A SA NAISSANCE LE PETIT DE L'HUMAIN NAIT NU, FILLE OU GARCON
L'enfant nouveau-né subi comme premier regard social celui visant à vérifier ou déterminer son SEXE ce qui semble bien indiquer que là est la différenciation fondamentale dans toutes les sociétés. Le second regard va porter sur sa conformité de constitution et chercher à déceler les éventuelles malformations externes ou internes...avec des conséquences différentes suivant le milieu où l'enfant nait : Viable ou Non-viable...parfois exécutable ou sauvable.
INTRINSEQUEMENT, sauf ses caractéristiques physiques et l'empreinte du climat affectif dans lequel il a baigné en étant dans le ventre de sa mère, le nouveau-né ou la nouvelle-née n'a pas de "marquages sociaux prédéterminés". C'est une nouvelle-née ou un nouveau-né unique qui, en soi, n'est ni croyant, ni athée; ni pauvre, ni riche; ni esclave, ni maître.
Il ne nait pas circoncis, elle ne n'ait excisée. Aucune scarification, aucun tatouage ne sont imprimés sur son corps ou dans son esprit pour en faire l'adepte de telle ou telle croyance, la propriété de tel ou tel groupe social, ou l'obligeant à tel ou tel mode de vie.
Ce sont ses parents, son entourage familial et social qui vont lui infliger des "marquages"
Dès sa naissance, nolens volens, qu'il le veuille ou non, l'enfant va devoir affronter deux attitudes et deux comportements se voulant éducatifs.
L'ATTITUDE ET LE COMPORTEMENT DOGMATIQUES : "C'est comme celà...et il n'y a pas à discuter" et ce même parfois très tard dans sa vie et parfois jusqu'à sa mort... d'où dérive un ensemble de règles sur le licite et l'interdit, le bien et le mal, le bon et le mauvais, etc... dans le cadre socio-culturel des parents et de leur entourage. Qu'on l'accepte ou pas, la réalité est que ce petit être humain, nouveau et unique, va être dressé, dompté, maté non pour qu'il devienne ce que potentiellement il ou elle est mais ce que veullent en faire ses parents et ses proches.
L'ATTITUDE ET LE COMPORTEMENT ETHIQUE DONC OPTATIF : "C'est toi qui feras ce que seras TA VIE et, en attendant de pouvoir en parler ensemble, nous assurerons autant que faire se peut la satisfaction de tes besoins et désirs" ce qui engendre des rapports basés sur l'apprentissage du dialogue, du respect donc de l'expression SANS PEUR des désirs et des souhaits de l'individu concerné, encore dépendant, mais avec la volonté de lui faciliter son autonomisation progressive jusqu'au moment ou il/elle sera en mesure de décider ses propres choix de vie.
Quelqu'en soit le coût affectif, relationnel, économique IL ou ELLE DEVRA SE REALISER EN OEUVRANT A SA SATISFACTION, SON BONHEUR, SON BIEN-ETRE,
en trouvant la "LA FORCE DE VIVRE" ce que l'on peut traduire par "INCARNER SON FUTUR", LE SIEN
Il vous appartient MAINTENANT de faire part de vos questions, de vos remarques et, éventuellement, de vos désaccords.
Remarque ce texte n'est pas de Moi , je vous laisse deviner qui En est l'auteur.
Et si, au lieu d'aborder le ou les problèmes et questionnements à partir de NOTRE cas individuel tel que nous le percevons -avec ses vérités et aussi ses erreurs- nous tentions d'élever notre point de vue... jusqu'à la complexité du VIVANT dans sa niche cosmique.
Toutes et tous nous avons en commun de relever de ce qu'il est convenu d'appeler "L'ESPECE HUMAINE" laquelle est née sur cette toute petite boule (à l'échelon du Cosmos) que nous sommes convenu d'appeler la "TERRE", laquelle s'inscrit dans une galaxie bien précise, dites solaire parce que sa plus grosse étoile, le "SOLEIL", est celle qui conditionne notre vie, que nous sur la Terre, là où nous sommes, nous tournons aussi autour de lui dans notre biosphère où le "VIVANT" a pu se concrétiser par combinaison d'éléments fondamentaux lesquels, de par les aléas combinatoires, ont donné des résultats diverses et variés, pour faire court disons : le minéral, le végétal, l'animal et son couronnement actuel (et vraisemblablement seulement actuel) semble bien être l'ESPECE HUMAINE.
Ce qui est formidable, merveilleux, éblouissant c'est que chaque être humain est toujours unique.Tu est unique, elle ou lui est unique, je suis unique.
Lors de sa conception elle/il est unique, ayant pour seul héritage les chromosomes transmis par sa génitrice et son géniteur. La combinaison de chaque moitié des deux legs chromosomiques va se faire de manière aléatoire ce qui aboutira à La création d'un être nouveau et unique sauf, peut-être, pour les jumeaux homozygotes à ce stade.
Elle/il sera déjà "marqué(e)" par cette combinaison aléatoire dans sa morphologie, la couleur de ses yeux, la couleur et la texture de ses cheveux, son grain de peau et la couleur de celle-ci et y compris les éventuelles abérations génétiques (hermaphrodisme, trisomie par exemple..).
A ce stade il semblerait que l'on puiss raisonnablement admettre l'existence d'une mémoire génétique, via l'héritage chromosomique, inscrite dans l'ADN et remontant...à la nuit des temps de l'histoire des gènes constitutifs du nouvel être humain déjà conçu, encore en gestation et n'ayant déjà qu'une aspiration : VIVRE que l'on pourrait traduire par "EXPLORER SON FUTUR" tout en disposant déjà d'un "passé historique" allant EN-DECA de sa propre conception ...par les gènes hérités de ses ancètres (ce qui est peut-être à l'origine de ce que Jung appelle l'inconscient lequel est alors tant individuel que collectif.
Dame Nature ayant déjà demandé au mâle de déterminer le sexe du futur enfant, et l'être humain étant un mammifère, elle a attribué la charge de porter le futur bébé à la femelle, laquelle va le protéger et le nourrir tout au long de sa vie intra-utérine au cours de laquelle il va commencer son développement. Içi il est indispensable de rappeler que le sexe de l'embryon est déterminé par l'héritage chromosomique légué par le géniteur et qu'en aucun cas la génitrice de devrait être tenue pour responsable de ne donner naissance qu'à des filles (ce qui, en soi, n'est d'ailleurs pas une tare) de même que la stérilité n'est pas le fait de seulement la femme mais peut être celle du mâle.
Le statut de la mère (naturelle ou simplement porteuse) va influer tant physiquement (exemple : quantité et qualité des nourritures ingérées par la mère-nourrice conditionnant l'alimentation du foetus) que psychiquement (exemple : environnement sonore harmonieux ou bruits aggressifs) et qu'affectivement ( exemple : intérêt porté au petit être humain en gestation ou attitude mépris quant à son existence et a fortiori refus de le prendre en compte).
C'est ainsi que l'on admet raisonnablement que le fait, pour la mère et son foetus, de vivre au milieu des bouleversements, des stress et de la fureur d'un état de guerre vont influer sur le psychisme de l'enfant encore à naître. C'est aussi vrai pour l'absoption de rayonnements, de produits nocifs (exemple : atome, thalidomide, etc...)
C'est ainsi que l'on peut aussi raisonnablement admettre que le fait de vivre dans des conditions socio-culturelles données vont influer sur la future mère, son attitude, son comportement et donc sur le foetus. Idem pour l'attitude et le comportement de l'entourage (exemple : société où l'on se désinteresse de la vie du foetus ou, au contraire, en manifestant de l'attention à la communication avec le petit être encore en gestation).
C'est ainsi que l'on peut raisonnablement admettre que le fait de savoir (par l'échographie) ou seulement d'appréhender la naissance d'une fille, dans certaines sociétés, va agir sur le strss de la future mère, du futur père et de l'entourage engendrant ainsi des réactions positives ou négatives influant sur le psychisme de l'enfant à naître.
La vie intra-utérien n'exclut donc pas pour le bébé à naître d'avoir déjà, par procuration en quelque sorte, une vie sociale, une relation aux autres et d'en ressentir les effets pernicieux ou bénéfiques quant au développement de son potentiel propre et de subir déjà les "marquages sociaux" dont elle ou il est déjà investi avant même sa naissance.
A SA NAISSANCE LE PETIT DE L'HUMAIN NAIT NU, FILLE OU GARCON
L'enfant nouveau-né subi comme premier regard social celui visant à vérifier ou déterminer son SEXE ce qui semble bien indiquer que là est la différenciation fondamentale dans toutes les sociétés. Le second regard va porter sur sa conformité de constitution et chercher à déceler les éventuelles malformations externes ou internes...avec des conséquences différentes suivant le milieu où l'enfant nait : Viable ou Non-viable...parfois exécutable ou sauvable.
INTRINSEQUEMENT, sauf ses caractéristiques physiques et l'empreinte du climat affectif dans lequel il a baigné en étant dans le ventre de sa mère, le nouveau-né ou la nouvelle-née n'a pas de "marquages sociaux prédéterminés". C'est une nouvelle-née ou un nouveau-né unique qui, en soi, n'est ni croyant, ni athée; ni pauvre, ni riche; ni esclave, ni maître.
Il ne nait pas circoncis, elle ne n'ait excisée. Aucune scarification, aucun tatouage ne sont imprimés sur son corps ou dans son esprit pour en faire l'adepte de telle ou telle croyance, la propriété de tel ou tel groupe social, ou l'obligeant à tel ou tel mode de vie.
Ce sont ses parents, son entourage familial et social qui vont lui infliger des "marquages"
Dès sa naissance, nolens volens, qu'il le veuille ou non, l'enfant va devoir affronter deux attitudes et deux comportements se voulant éducatifs.
L'ATTITUDE ET LE COMPORTEMENT DOGMATIQUES : "C'est comme celà...et il n'y a pas à discuter" et ce même parfois très tard dans sa vie et parfois jusqu'à sa mort... d'où dérive un ensemble de règles sur le licite et l'interdit, le bien et le mal, le bon et le mauvais, etc... dans le cadre socio-culturel des parents et de leur entourage. Qu'on l'accepte ou pas, la réalité est que ce petit être humain, nouveau et unique, va être dressé, dompté, maté non pour qu'il devienne ce que potentiellement il ou elle est mais ce que veullent en faire ses parents et ses proches.
L'ATTITUDE ET LE COMPORTEMENT ETHIQUE DONC OPTATIF : "C'est toi qui feras ce que seras TA VIE et, en attendant de pouvoir en parler ensemble, nous assurerons autant que faire se peut la satisfaction de tes besoins et désirs" ce qui engendre des rapports basés sur l'apprentissage du dialogue, du respect donc de l'expression SANS PEUR des désirs et des souhaits de l'individu concerné, encore dépendant, mais avec la volonté de lui faciliter son autonomisation progressive jusqu'au moment ou il/elle sera en mesure de décider ses propres choix de vie.
Quelqu'en soit le coût affectif, relationnel, économique IL ou ELLE DEVRA SE REALISER EN OEUVRANT A SA SATISFACTION, SON BONHEUR, SON BIEN-ETRE,
en trouvant la "LA FORCE DE VIVRE" ce que l'on peut traduire par "INCARNER SON FUTUR", LE SIEN
Il vous appartient MAINTENANT de faire part de vos questions, de vos remarques et, éventuellement, de vos désaccords.
Remarque ce texte n'est pas de Moi , je vous laisse deviner qui En est l'auteur.
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