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Salon du livre

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  • Salon du livre

    Inauguré hier, le SILA 2006 promet beaucoup pour la littérature car un nombre impressionnant de maisons d'édition y participent. Doit-on s'attendre à de beaux et bons livres, ou bien allons nous nous retrouver la quantité au détriment de la qualité comme par le passé. Les centaines de stands orientaux eclipsent les autres, et les livres islamiques se vendent mieux que tous les autres, toutes littérature confondues. Quel est le secret de cet engouement pour cette ittérature chez nous? Et que font nos maisons d'édition pour s'imposer sur notre propre Salon? Et puis, j'ai remarqué une chose, où est notre Ministre de la Culture. N'est-ce pas elle qui doit inaugurer une telle manifestation? Bizarre!!!

  • #2
    Khalida ... où es-tu?

    Salaam,

    Khalida est en train de donner des gifles à un directeur départemental de la culture

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    • #3
      Nul !

      J'y suis passé là ! Y'a pratiquement rien d'intéréssant a ce que j'ai vu ! J'ai quand même pu dénicher un bel ouvrage universitaire trés bien foutu et tout plein de détailles : "l'Afrique Romaine". Je manquait un peu de documentation spéciamisé sur le sujet et ca ca va bien combler le vide je crois !

      Je l'ai tout de même payé 2.240 DZD (soit 32 euros), c'est pas donné !
      "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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      • #4
        Mais quelle science?

        ou bien allons nous nous retrouver la quantité au détriment de la qualité comme par le passé.

        C'est qu'ils croient plus à la science. La culture ça tue les vieilles politiques chauvines.

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        • #5
          je suis passé avec un ami le 30/10 le jour de son inauguration seulement qu'elle a ete notre déception quand on à appris que la dite ministre n'est pas encore arriver du coup le salon est rester fermer ... je pense qu'il ont du l'ouvrir tard l'après-midi ( moi personnellement j'ai pas voulu attendre .....)
          "Se réunir est un début ; rester
          ensemble est un progrès ; travailler
          ensemble est la réussite."
          Henry Ford

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          • #6
            Bonsoir,

            A mon avis, il est urgent de prendre des mesures pour rendre accessible le livre et l'information technique et scientifique afin de combler le retard observé. Les retombées économiques seront évidemment considérables. Entre autres, et en plus de l'accès internet, les pouvoirs publiques peuvent mettre en place un système de subvention de l'acquisition de documentation au bénéfice des étudiants, enseignants et professionnels. Par exemple sur présentation de facture soit par le client ou par le vendeur avec carte professionnelle ou d'étudiant ou autre se voir octroyer une réduction de moitié pour un plafond annuel de par ex. 20.000 DA. Une telle mesure peut stimuler l'acquisition du livre que beaucoup se privent pour se le payer alors qu'il leur est nécessaire pour améliorer leur rendement.

            Le pays y gagnera sûrement.

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            • #7
              A mon avis, il est urgent de prendre des mesures pour rendre accessible le livre et l'information technique et scientifique afin de combler le retard observé.
              C'est même extremement urgent à mon avis, la situation est vraiment alarmente coté sciences.

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              • #8
                Le patrimoine culturel amazigh fait le débat dans le salon international du livre d’A

                Le patrimoine culturel amazigh fait le débat dans le salon international du livre d’Alger.

                Le Café littéraire, un espace culturel organisé en marge du Salon du livre, poursuit son programme conférence-débat, lancé depuis l’ouverture du Salon. Le patrimoine culturel amazigh a été en débat, samedi dernier. Invité à cet espace, l’écrivain universitaire, le Dr Mohamed Akli Haddadou, s’est longuement exprimé sur le patrimoine culturel amazigh. En début de conférence, le Dr Haddadou a souligné que l’utilisation de la terminologie et des concepts liés à la culture et au patrimoine en Algérie est récente. «Avant les années 90, on parlait soit de la culture arabe, soit de la culture arabo-musulmane. Or, actuellement, on parle du patrimoine culturel amazigh», a déclaré le conférencier.
                Cette évolution terminologique reflète, selon le conférencier, la volonté des autorités publiques de jeter un regard dans le rétroviseur de l’histoire ancestrale. Donner aujourd’hui à la notion du patrimoine culturel amazigh une dimension nationale, reste très possible et même souhaitable en remplaçant cette notion par celle du patrimoine culturel algérien. Ce chercheur linguiste a précisé, sur ce point, que «le fait de parler de patrimoine algérien, on rassemble toutes les autres dimensions qui le forment en tant que patrimoine.» C’est-à-dire tout le legs laissé par nos ancêtres aux quatre coins du pays, s’inscrit dans le patrimoine culturel algérien.
                Dans le même contexte, il a insisté pour que l’on ne se focalise pas uniquement sur une langue et les régions berbérophones où l’on parle la langue amazighe mais parler plutôt de patrimoine culturel algérien. «Cette notion reconnaît une dimension nationale, car être Amazigh ne signifie pas uniquement parler la langue amazighe».
                Soulevant encore d’autres exemples et précisions inhérentes à cette vision, le linguiste a souligné que tous les aspects matériels tels que l’art, les noms de lieux et de personnes, l’art culinaire, les coutumes et les traditions ainsi que le mode vestimentaire, s’inscrivent tous dans le patrimoine amazigh. Sur la même voie, il ajoute que la langue seule n’exprime pas toute la dimension de cette notion. «On trouve des régions arabisées qui possèdent plus de noms berbères que les régions où l’on parle la langue. Il y a des wilayas dans l’ouest du pays qui utilisent plus de 80% de noms berbères. Donc, ces régions et leurs populations expriment leur patrimoine par des choses immatérielles». Concernant la langue amazighe, qu’il a qualifiée de réalité sociologique, M.Haddadou, a relevé qu’elle «est en train de vivre en Algérie, un important développement».
                Par ailleurs, la société targuie a été au centre des débats dans le même espace, et ce avec la participation de plusieurs figures de la culture nationale.
                Le sociologue Lahcène Marmouri, qui est venu spécialement d’illizi, a souligné que l’autorité traditionnelle dans la société targuie ne peut être appréhendée en dehors de son contexte socio-historique. Le professeur a présenté, à cette occasion, son étude intitulée: «Les Touareg entre l’autorité traditionnelle et l’autorité française au début du 20e siècle».
                Il a rappelé le système d’autorité dans la société targuie qui, selon lui, est conférée à un Amenokal, assisté dans sa mission par un conseil de chefs de tribus, dans ce qui s’assimile à une confédération, dans la terminologie politique moderne.


                - L’Expression

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                • #9
                  Les Harkis De Maurice Papon

                  Annoncé pour hier le 06 11 à coups de pub dans la presse et sur le site officiel du SILA rubrique dédicaces, le livre LES HARKIS DE MAURICE PAPON n'a pas été présenté par l'ANEP et son auteur a brillé par son absence. Point de livre point d'auteur. Lorsque je me suis présentée au stand ANEP et que j'en ai demandé la raison aux représentants présents dans le stand, personne ne m'a pu me donner une explication convaicante . Il ont dit que l'ouvrage n'était pas prêt pour le Salon. Alors pourquoi tout ce tapage médiatique. Qui y a-t-il derrière cela? Omission, retrait volontaire, problème technique indépendant ect.. ??? Quelle cafouillage et quelle pagaille! J'aurais aimé sincèrement lire ce livre, hélas!!!
                  S'il vous plaît messieurs de l'ANEP, qu'en est-il au juste?

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                  • #10
                    j'y suis partie samedi04/11/06 pas trop de monde , flanner entre les stand de livre été trés agréable , j'ai méme croisé de vielles BD de bdéistes algeriens réeditées,
                    comm d'hab les stand islamoches etait une desolation de desorganisation sauf un qui etait garnie de livre trés interessant et sensés , de vrais livres qui vous apprennent a ppecier la RELIGION ISMALIQUE "DAR AL MACHARI CO" ,
                    les livres etait assez abordable (surtout du coté des maisons d'editions professionnel , j'ai pu acheté les derniers de TBJ et SALIM BACHI a 970 DA ainsi que le dernier YASMINA KHADRA et ANOUAR BENMALEK a 1250 DA les deux )
                    une bonne boufée d'oxygée EN TOUT LES CAS
                    ¸.¤*¨¨*¤.¸¸...¸.
                    \¸.♥ ALGERIE ♥.¸¸.
                    .\¸.¤*¨¨*¤.¸¸.¸.¤
                    ..\

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