Une photo d’un nourrisson d’un mois, apparemment victime de violences, a été postée sur Facebook par ses parents. Un cliché suspect qui a bien vite alerté un contact du père.
Sur son compte Facebook, un homme de 25 ans vivant à Tergnier, dans l’Aisne, a posté un cliché de son bébé d’un mois. Rien de bien surprenant pour des jeunes parents sauf que le bout de chou semblait avoir subi des violences physiques. C’est en tout cas ce qu’a pensé un contact du père sur le réseau social qui s’est empressé de prévenir la police des faits constatés.
Convoquée au commissariat mardi par les enquêteurs, la maman de 19 ans est arrivée avec son enfant "qui avait l’air mort" selon les dires du brigadier-chef David Lefèvre, responsable de l’enquête. "J’en ai beaucoup vu dans ma carrière mais là, c’était choquant", a-t-il également confié au journal Aisne Nouvelle.
Pour expliquer l’état de santé du nouveau-né, la jeune femme a déclaré que son compagnon le secouait et le giflait chaque soir "car il faisait trop de bruit". Le père, interpellé dans la soirée du mardi, aurait reconnu les faits. Des récits qui ont immédiatement conduit au placement en garde à vue du couple tandis que le nouveau-né, qui pourrait garder des "séquelles à vie", était conduit d’urgence à l’hôpital d’Amiens pour y subir des examens dont deux scanners qui ont révélé deux hémorragies intra-crâniennes.
aufeminin.com
Sur son compte Facebook, un homme de 25 ans vivant à Tergnier, dans l’Aisne, a posté un cliché de son bébé d’un mois. Rien de bien surprenant pour des jeunes parents sauf que le bout de chou semblait avoir subi des violences physiques. C’est en tout cas ce qu’a pensé un contact du père sur le réseau social qui s’est empressé de prévenir la police des faits constatés.
Convoquée au commissariat mardi par les enquêteurs, la maman de 19 ans est arrivée avec son enfant "qui avait l’air mort" selon les dires du brigadier-chef David Lefèvre, responsable de l’enquête. "J’en ai beaucoup vu dans ma carrière mais là, c’était choquant", a-t-il également confié au journal Aisne Nouvelle.
Pour expliquer l’état de santé du nouveau-né, la jeune femme a déclaré que son compagnon le secouait et le giflait chaque soir "car il faisait trop de bruit". Le père, interpellé dans la soirée du mardi, aurait reconnu les faits. Des récits qui ont immédiatement conduit au placement en garde à vue du couple tandis que le nouveau-né, qui pourrait garder des "séquelles à vie", était conduit d’urgence à l’hôpital d’Amiens pour y subir des examens dont deux scanners qui ont révélé deux hémorragies intra-crâniennes.
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