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Houari Boumediene et la Palestine !

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  • Houari Boumediene et la Palestine !

    Allah yerhmak


    === MODERATION ===
    Topic fermé à la demande de Vympel.




  • #2
    Houari Boumediene et la Palestine
    GOLDA MEIRE , la premier ministre d’Israël à l'époque, a prononcer une réplique, aux gesticulations abusives , de boumedienne:

    Si tu est (boumedienne) Berbère qu'es ce que tu fais au moyen orient ?

    Si tu est arabe qu'es ce que tu fais en Algérie

    Une réplique entrée dans l'histoire , encore d’actualité ...

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    • #3
      Si tu est (boumedienne) Berbère qu'es ce que tu fais au moyen orient ?

      Si tu est arabe qu'es ce que tu fais en Algérie
      c est une race arabe et berbère un croisement
      ce qui lui donne le droit un pied en moyen orient et un pied en Algérie .


      ok ukrainienne qui avait rien a foutre en Palestine aussi !

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      • #4
        ce qui lui donne le droit un pied en moyen orient et un pied en Algérie .
        Plutôt un pied en enfers... , et d'une manière prématuré... Cependant le pays continue de subir les conséquences de son règne néfaste .

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        • #5
          Plutôt un pied en enfers... , et d'une manière prématuré... Cependant le pays continue de subir les conséquences de son règne néfaste .
          Et pourtant , sa préoccupation majeure était de promouvoir l'Algérie à un meilleur avenir et à la construction d’une Algérie qui jouisse de la justice sociale, de l'égalité des chances et de la prospérité pour tous. Il rêvait d’une société affranchie de l’ignorance et de la dépendance. Il a servi son peuple au point d’oublier sa propre personne et même son père qui vivait simplement et modestement.
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          • #6
            Il a servi son peuple au point d’oublier sa propre personne et même son père qui vivait simplement et modestement.
            __________________
            Sais-tu qu'en sept ans de guerre de libération, ton héros n'as jamais tiré la moindre balle en direction de l'armée d'occupation, combien même elle serait à blanc?
            "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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            • #7
              Un peu de dépoussiérage des têtes formatées!
              "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

              Commentaire


              • #8
                Sais-tu qu'en sept ans de guerre de libération, ton héros n'as jamais tiré la moindre balle en direction de l'armée d'occupation, combien même elle serait à blanc?
                Bon si tu ne le savais pas, je te signale qu'en 1955, c'est ce Boumediene qui a ramené du port d'Alexandrie une cargaison des 1ères armes offertes par les pays Arabes à la Révolution , et l'a acheminée d'une plage du nord du Maroc , jusqu'au P.C. de la wilaya 5 se trouvant aux environs de Mostaghanem (Oranie) où l'attendaient Ben Mhidi et Boussouf, wilaya, à la tête de laquelle il est nommé commandant en 1957, avant de prendre le commandement du nouveau P.C. d'Oujda en 1958 ,donc d'après toi de 55 à 58 il chassait des oiseaux dans cette wilaya. Ensuite en 1959, il se retrouve comme par enchantement à la tête du Commandement Opérationnel de l'ouest, et devient en 1961 le Chef de l'Etat-Major de l'Armée de Libération Nationale. il faut se rappeler qu'à partir de 58 c'est Krim Belkacem ministre des Armées et vice-president du GPRA qui a signé ses nominations. Crois-tu que Krim et tous les officiers et djounouds que commandait Haouari Boumediene depuis 1955 soient assez naifs pour se laisser diriger par un intrus, ou de nommer un "nul" à ce poste.???
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                • #9
                  Bon si tu ne le savais pas, je te signale qu'en 1955, c'est ce Boumediene qui a ramené du port d'Alexandrie une cargaison des 1ères armes offertes par les pays Arabes à la Révolution , et l'a acheminée d'une plage du nord du Maroc , jusqu'au P.C. de la wilaya 5 se trouvant aux environs de Mostaghanem (Oranie) où l'attendaient Ben Mhidi et Boussouf, wilaya, à la tête de laquelle il est nommé commandant en 1957, avant de prendre le commandement du nouveau P.C. d'Oujda en 1958 ,donc d'après toi de 55 à 58 il chassait des oiseaux dans cette wilaya. Ensuite en 1959, il se retrouve comme par enchantement à la tête du Commandement Opérationnel de l'ouest, et devient en 1961 le Chef de l'Etat-Major de l'Armée de Libération Nationale. il faut se rappeler qu'à partir de 58 c'est Krim Belkacem ministre des Armées et vice-president du GPRA qui a signé ses nominations. Crois-tu que Krim et tous les officiers et djounouds que commandait Haouari Boumediene depuis 1955 soient assez naifs pour se laisser diriger par un intrus, ou de nommer un "nul" à ce poste.???

                  Foutaises , rien que des foutaises , construites par ces armées des frontières , a l'ombre des palmiers d'Oujda et de Tunis

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                  • #10
                    Un peu de dépoussiérage des têtes formatées!
                    les "formatés" ont lu ça aussi

                    EXTRAITS de la lettre d'Anissa Boumediène

                    BOUMEDIENE a vécu sur le terrain la Révolution. Le rapport militaire qu'il a rédigé et lu lors de la réunion des Dix qui se tient à Tunis du 11 août au 9 novembre 1959 et qui regroupe les principaux chefs militaires de la guerre de Libération, nous renseigne sur le remarquable travail d'organisation qui a été accompli sous son commandement.

                    Pendant ce temps, Boudiaf et ses compagnons sont en prison et ne connaissent de la Révolution que ce que l'on veut bien leur faire connaître. D'ailleurs, Aït Ahmed reconnaîtra honnêtement, lors de la réunion du CNRA, qui se tient à Tripoli, après la signature des accords d'Evian : "Quelqu'un qui a contribué en 1957 d'une manière effective a contribué plus que moi qui suis resté en prison. Lorsqu'on n'a pas participé pleinement, on n'est qu'un figurant au sein de la direction." (procès-verbal du 29 mai 1962, page 136).
                    ...
                    Faut-il rappeler que depuis juillet 1962, chaque mois, les vivres américains (farines et céréales, lait condensé, huile) parvenaient à l'Algérie où ils étaient distribués à la population nécessiteuse ? On estimait à Alger en 1963 que près de quatre millions de citoyens (sur une population de dix millions de personnes) bénéficiaient de ces distributions de vivres ( Le Monde 21 août 1964, page 3).

                    Combien de milliers de citoyens aurait-on pu faire vivre avec ces milliards confisqués par ceux qui se pretendaient révolutionnaires ?

                    Car, que cela plaise ou non, les faits sont têtus. Comme le signale Le Monde du 21 avril 1964, la gestion financière de Khider d'août 1962 à avril 1963 est mise en cause au congrès du parti où plusieurs fédérations lui réclament des comptes.

                    Le 5 juillet 1964, haranguant la foule du balcon du palais du gouvernement, Ben Bella dit de Khider : "Il a quitté l'Algérie et emporté avec lui six milliards qu'il a déposés en Suisse. Lui et ses semblables relèvent désormais des tribunaux de droit commun."

                    Puis, s'adressant en français à Khider, il a ajouté :
                    "Monsieur Khider, vous ressemblez à un animal bien nourri qui s'appelle l' hyène. Vous croyez sentir l'odeur du cadavre, mais vous avez un mauvais odorat, car l'Algérie se porte bien. Nous allons maintenant exécuter les traîtres", a poursuivi Ben Bella ( Le Monde 7 juillet 1964).

                    Le 4 juillet 1964, le gouvernement algérien et le parti du FLN ont requis un séquestre civil sur les biens dans les banques où il est vraisemblable que ces fonds ont été déposés. Deux jours plus tard, le gouvernement algérien et le FLN déposent une plainte pour abus de confiance et détournement de fonds entre les mains du procureur de la République du canton de Genève.

                    Après avoir entendu M. Aït Hocine, membre du bureau politique du FLN et délégué du gouvernement algérien qui confirme sa plainte, le juge d' instruction genevois Roger Dussaix ordonne immédiatement le séquestre pénal de tous les fonds déposés, soit au nom du bureau politique, soit au nom de Khider, soit au nom d'un tiers avec procuration de Khider et ce, dans toutes les banques fonctionnant sur le territoire de la Confédération (Le Monde 9 juillet 1964).

                    Khider se rend le 18 juillet chez le juge d'instruction. Entendu pendant sept heures, dit Le Monde du 21 juillet 1964, M. Khider, qui s'était présenté seul devant le juge, a affirmé qu'il a détourné ces fonds à bon escient.

                    Toutes les tendances de l'opposition doivent, selon lui, être en possession de ces sommes qui sont l'argent de l'Algérie et non de " son gouvernement actuel. Auparavant, Khider a tenu une conférence de presse à Genève où il déclare : "Instruit par les tripotages de Ben Bella, j'ajoute que l'argent n 'est pas là où il le croit. Il est en sécurité. Ben Bella a parlé de six milliards. Il est possible qu'il y en ait beaucoup moins. Il est possible qu 'il y en ait beaucoup plus."( Le Monde du 6 juillet 1964).

                    Le 13 novembre 1964, M e Antoine Hafner, avocat de Khider, indique que ce dernier "a effectivement retiré avant l'ouverture de la procédure d'instruction déclenchée par la plainte du gouvernement algérien les quelque 60 millions de francs qu'il avait en dépôt à la Banque commerciale arabe de Genève" ( Le Monde du 15-16 novembre 1964).

                    Lors d'une autre conférence de presse tenue en août, Khider déclare à propos de ces fonds qu' "une partie importante a pu être remise à l'opposition qui a déjà un début de budget et le reste lui parviendra au fur et à mesure des possibilités. Ces fonds sont à la disposition de l'opposition jusqu'au dernier centime. Ils ne sont d'ailleurs pas là où M. Ben Bella pense les trouver." ( Le Mondedu 29 août 1964).

                    Sur le plan strictement pénal, il s'agit bien d'un détournement de fonds qui ont été partagés du vivant de Khider qui est lui-même sous le coup d'une plainte pénale, et les juristes (non les avocats marrons) savent fort bien que lorsqu'une personne reçoit des fonds détournés en le sachant, elle est considérée aux yeux de la loi comme un receleur.

                    Une perquisition est effectuée le 26 octobre 1964 au domicile de Khider à Lausanne où plusieurs documents sont saisis. Le Conseil fédéral suisse, se fondant sur l'article 70 de la Constitution, décide, le 27 octobre 1964, d'expulser Khider. Par la suite, des sauf-conduits lui seront accordés pour qu'il puisse se rendre aux convocations qui lui seront adressées par le parquet genevois ( Le Monde du 29 octobre 1964).

                    Après son expulsion de Suisse, Khider, qui se trouve en France, déclare à propos des papiers saisis à son domicile : "Ce sont ceux qui ont trait aux fonds du FLN et qui constituent la preuve qu'une importante partie de cet argent a été versée à l'opposition." ( Le Monde du 30 octobre 1964).

                    Khider demande au Conseil fédéral suisse de rapporter la mesure d'expulsion qui le frappe, car "il est extrêmement rare qu'une décision de ce genre y soit prise directement à l'échelon suprême sans laisser ouverte une voie de recours" Le Monde du 3 novembre 1964). La mesure d'expulsion est maintenue.

                    Khider, qui se trouve après cette expulsion de Suisse, à Paris, apprend également qu'il n'est plus autorisé à séjourner en France, cependant on le laisse libre du choix de sa destination ( Le Monde du 20 novembre 1964).

                    Il est connu en droit que lorsqu'une personne qui fait l'objet d'une plainte pénale meurt, l'action pénale est éteinte. Mais le gouvernement algérien relancera l'affaire sur le plan civil face à la BCA, qui est en principe responsable du fait qu'elle n'a pas appliqué les mesures de séquestre civil qui furent prises avant celles de séquestre pénal.

                    L'affaire sera portée devant des juridictions successives et elle n'était pas encore résolue à la mort du Président Boumediène. Je ne m'étonne pas que ceux qui furent d'éternels perdants depuis l'été 1962 déversent encore leurs rancours et leurs jalousies sur ma personne et sur celle de mon mari, parce que tout au fond d'eux-mêmes, ils se savent bien insignifiants.

                    Qu'ils écrivent des mensonges gros ou petits, qu'ils fabriquent des faux en cherchant désespérément à faire parler d'eux à défaut de travaux éminents, qu'ils inventent les histoires les plus abracadabrantes, même pas dignes d'émailler de vulgaires romans de gare ils ne m'impressionnent nullement et ne méritent de ma part que le plus grand mépris.

                    Après tout, les prétoires ont leurs avocats marrons tout comme les églises leurs prêtres défroqués. Le proverbe arabe ne dit-il pas : "Les chiens aboient et la caravane passe."

                    Foutaises , rien que des foutaises , construites par ces armées des frontières , a l'ombre des palmiers d'Oujda et de Tunis
                    les foutaises elles sont dans ta têtes et dans ce que tu écris sans t^te ni queue
                    Dernière modification par Sitchad, 02 août 2014, 12h41.
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                    • #11
                      EXTRAITS de la lettre d'Anissa Boumediène
                      Tout est dans le titre du texte

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                      • #12
                        Depuis l’indépendance du pays, le régime algérien s’est investi dans la destruction massive de tout ce qui constitue l’identité algérienne. Il a détruit les mécanismes faussé les codes régissant l’organisation et le fonctionnement de notre société Aussi, il effacé l’expression politique et économique de la souveraineté nationale.
                        Ceci est peut être vrai depuis la mort de Boumediene. Sinon, le journaleux qui a écrit cela, n'est qu'un petit haineux qui fait du mauvais copié-collé. Boumediene lui, a construit les Bases d'un Etat que même ses adversaires politique lui reconnaissent, Boudiaf lui-même, qui était dans l’opposition pour ainsi dire depuis l’indépendance, à la vision des obsèques populaires de Houari Boumediene avait mis fin à sa formation d’opposition politique, le PRS. A son retour au pays en 1992, il fut impressionné par le nombre de cadres formés sous l’ère Boumediene et ne manqua pas d’exprimer son
                        émerveillement devant le complexe pétrochimique d’Arzew, dans l’Ouest du pays, et du complexe siderurgique d'El Hadjar à l'Est. Il a aussi eu l’honnêteté de reconnaître les mérites de Boumediène avec cette réflexion devant les journalistes, qui ne peut que le glorifier: "C’est maintenant que je reconnais pourquoi Boumediène était aimé par le peuple algérien."

                        Il y a plusieurs années, Boumediène avait fabriqué "une république arabe sahraoui" avec la population amazigh Regueiba, qui est devenue aujourd'hui un obstacle sérieux pour réaliser l'unité des peuples d'Afrique du Nord.
                        Si l'identité Sahraoui était un mythe , elle aurait disparu depuis que son "créateur" n'est plus là.


                        EXTRAITS de la lettre d'Anissa Boumediène
                        Tout est dans le titre du texte
                        ah tu n'as pas su déduire que ce texte fait partie de la polémique entre Nacer Boudiaf (dont l'article est dans le post precedant ce texte), et cette Dame.
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                        • #13
                          Boumedienne était un dictateur qui a fait beaucoup de mal à notre histoire et à notre identité.

                          Même s'il croyait en ses idées et qu'il était plutôt intègre par rapport à la bande de voleurs de généraux.

                          Néanmoins il a quand même fait des choses positives pour le pays tels que la nationalisation des hydrocarbures et l'enseignement gratuit POUR TOUS.

                          Si c'était Chadli et autres généraux qui avaient gouverné je doute qu'ils aient eu le moindre effort dans ce domaine.
                          Hope is the little voice you hear whisper "maybe" when it seems the entire world is shouting "no!"

                          Commentaire


                          • #14
                            Envoyé par Sitchad
                            "C’est maintenant que je reconnais pourquoi Boumediène était aimé par le peuple algérien."
                            pas uniquement le peuple algérien même palestinien je suis sur !
                            vu qu il tenait beaucoup a la cause palestinienne .
                            Allah yerhmou

                            Commentaire


                            • #15
                              @ Megane

                              Boumedienne était un dictateur qui a fait beaucoup de mal à notre histoire et à notre identité.
                              S'il vous plait , trouvez moi un discours, un decret, une circulaire, une note où Boumediene a pu faire mal à notre histoire et à notre identité.
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