Israël est "déçu" de cette décision, estimant qu'elle ne reflète pas le niveau des relations entre les pays.
Le Brésil a décidé jeudi de rappeler son ambassadeur à Tel-Aviv pour protester contre ce qu'il a appelé "l'usage disproportionné de la force par Israël" dans la bande de Gaza, faisant référence à l’opération "Bordure Protectrice" menée par l’armée israélienne dans l’enclave palestinienne.
"Le gouvernement brésilien estime inacceptable l'escalade de la violence entre Israël et la Palestine. Nous condamnons fermement l'usage disproportionné de la force par Israël dans la bande de Gaza, qui a entraîné la mort d'un grand nombre de victimes civiles, dont des femmes et des enfants", a annoncé le ministère brésilien des Affaires étrangères dans un communiqué.
"Compte tenu de la gravité de la situation, le gouvernement brésilien a voté pour la résolution du Conseil des droits de l'homme des Nations Unies sur la tenue d’une enquête sur l'offensive israélienne. Par ailleurs, l'Ambassadeur du Brésil à Tel-Aviv a été appelé à Brasilia pour consultations", ajoute le communiqué.
Le Brésil est le deuxième pays à rappeler son ambassadeur, après l'Équateur.
Le porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères Yigal Palmor a déclaré qu'Israël était "déçu" de la décision prise par le Brésil, estimant qu'elle ne reflétait pas le niveau des relations entre les pays et ne tenait pas compte du droit d'Israël à se défendre.
"Ces mesures ne contribuent pas à promouvoir le calme et la stabilité dans la région. Elles fournissent plutôt un vent favorable au terrorisme, et, naturellement, affectent la capacité du Brésil à exercer une influence. Israël attend le soutien de ses amis dans sa lutte contre le Hamas, qui est reconnu comme une organisation terroriste par de nombreux pays dans le monde ", a-t-il ajouté.
Cette décision intervient sur fond de tensions accrues au sein de la communauté internationale sur l'opération israélienne dans la bande de Gaza.
Le Conseil des Nations Unies pour les droits de l'homme a lancé mercredi une commission d'enquête sur les allégations de crimes de guerre israéliens présumés commis lors de l'offensive qu'Israël mène actuellement à Gaza.
Le bureau du Premier ministre Benyamin Netanyahou a violemment condamné la décision du conseil de l'ONU, la qualifiant de "parodie", et considérant qu'elle devrait "être rejetée par les honnêtes gens partout dans le monde"
i24news
Le Brésil a décidé jeudi de rappeler son ambassadeur à Tel-Aviv pour protester contre ce qu'il a appelé "l'usage disproportionné de la force par Israël" dans la bande de Gaza, faisant référence à l’opération "Bordure Protectrice" menée par l’armée israélienne dans l’enclave palestinienne.
"Le gouvernement brésilien estime inacceptable l'escalade de la violence entre Israël et la Palestine. Nous condamnons fermement l'usage disproportionné de la force par Israël dans la bande de Gaza, qui a entraîné la mort d'un grand nombre de victimes civiles, dont des femmes et des enfants", a annoncé le ministère brésilien des Affaires étrangères dans un communiqué.
"Compte tenu de la gravité de la situation, le gouvernement brésilien a voté pour la résolution du Conseil des droits de l'homme des Nations Unies sur la tenue d’une enquête sur l'offensive israélienne. Par ailleurs, l'Ambassadeur du Brésil à Tel-Aviv a été appelé à Brasilia pour consultations", ajoute le communiqué.
Le Brésil est le deuxième pays à rappeler son ambassadeur, après l'Équateur.
Le porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères Yigal Palmor a déclaré qu'Israël était "déçu" de la décision prise par le Brésil, estimant qu'elle ne reflétait pas le niveau des relations entre les pays et ne tenait pas compte du droit d'Israël à se défendre.
"Ces mesures ne contribuent pas à promouvoir le calme et la stabilité dans la région. Elles fournissent plutôt un vent favorable au terrorisme, et, naturellement, affectent la capacité du Brésil à exercer une influence. Israël attend le soutien de ses amis dans sa lutte contre le Hamas, qui est reconnu comme une organisation terroriste par de nombreux pays dans le monde ", a-t-il ajouté.
Cette décision intervient sur fond de tensions accrues au sein de la communauté internationale sur l'opération israélienne dans la bande de Gaza.
Le Conseil des Nations Unies pour les droits de l'homme a lancé mercredi une commission d'enquête sur les allégations de crimes de guerre israéliens présumés commis lors de l'offensive qu'Israël mène actuellement à Gaza.
Le bureau du Premier ministre Benyamin Netanyahou a violemment condamné la décision du conseil de l'ONU, la qualifiant de "parodie", et considérant qu'elle devrait "être rejetée par les honnêtes gens partout dans le monde"
i24news
Commentaire