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C'est une naissance qui résonne comme une lueur d'espoir dans une zone où la mort est quotidienne depuis plus de trois semaines. Dans une bande de Gaza où plus de 1 400 personnes ont été tuées, une Palestinienne a pu donner naissance à des quadruplés à l'hôpital Al-Shifa de la ville de Gaza, mercredi 30 juillet, rapportent ABC News et la BBC. Les nourrissons, trois garçons et une fille, sont en bonne santé.
Le médecin généraliste qui a procédé à l'accouchement, le Dr Bassel Abuwarda, a annoncé la nouvelle en publiant une photo en ligne :
« Malgré la douleur, une mère Palestinienne a donné naissance à des quadruplés la nuit dernière à Gaza. »
Dr. Qadoura: Despite the pain, Palestinian mother gave birth to quadruplets last night in #Gaza. pic.****.com/QVfDRWOCG2
— Dr.Bassel Abuwarda (@DrBasselAbuward) 31 Juillet 2014
Cette naissance peut sembler d'autant plus exceptionnelle que l'hôpital Al-Shifa, le plus grand de Gaza, où sont soignés la majorité des blessés, a été la cible d'un missile en début de semaine. Interrogée par LeMonde.fr, Cécile Choquet, urgentiste de Médecins sans frontières qui travaille sur place, racontait :
« Nous recevons une bonne moitié de femmes et d'enfants. Les enfants sont complètement choqués, traumatisés. Quand on entend un enfant pleurer aux urgences, c'est rassurant pour nous, plutôt que de voir un enfant complètement mutique. Les femmes crient pour extérioriser leurs souffrances et traumatismes ».
lemonde.fr
Le médecin généraliste qui a procédé à l'accouchement, le Dr Bassel Abuwarda, a annoncé la nouvelle en publiant une photo en ligne :
« Malgré la douleur, une mère Palestinienne a donné naissance à des quadruplés la nuit dernière à Gaza. »
Dr. Qadoura: Despite the pain, Palestinian mother gave birth to quadruplets last night in #Gaza. pic.****.com/QVfDRWOCG2
— Dr.Bassel Abuwarda (@DrBasselAbuward) 31 Juillet 2014
Cette naissance peut sembler d'autant plus exceptionnelle que l'hôpital Al-Shifa, le plus grand de Gaza, où sont soignés la majorité des blessés, a été la cible d'un missile en début de semaine. Interrogée par LeMonde.fr, Cécile Choquet, urgentiste de Médecins sans frontières qui travaille sur place, racontait :
« Nous recevons une bonne moitié de femmes et d'enfants. Les enfants sont complètement choqués, traumatisés. Quand on entend un enfant pleurer aux urgences, c'est rassurant pour nous, plutôt que de voir un enfant complètement mutique. Les femmes crient pour extérioriser leurs souffrances et traumatismes ».
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