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Sahara occidental : le Conseil de sécurité demande un déblocage de la situation

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  • Sahara occidental : le Conseil de sécurité demande un déblocage de la situation

    31 octobre 2006 – Demandant aux parties de sortir de l'impasse actuelle, le Conseil de sécurité a prorogé aujourd'hui pour six mois, soit jusqu'au 30 avril 2007, le mandat de la Mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (MINURSO), qui existe depuis 1991.

    Dans sa résolution 1720, adoptée à l'unanimité des 15 membres, le Conseil de sécurité a réaffirmé « sa volonté d'aider les parties à parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui permette l'autodétermination du peuple du Sahara occidental ».

    Il a de nouveau demandé aux parties et aux États de la région de continuer à coopérer pleinement avec l'ONU « pour mettre fin à l'impasse actuelle et aller de l'avant vers une solution politique ».

    A la suite de ce vote, les représentants des États-Unis, de la France et du Royaume-Uni, coauteurs du texte, ont pris la parole pour affirmer qu'il devenait indispensable que les parties en présence fassent tout ce qui est en leur pouvoir pour débloquer la situation , indique un communiqué de l'ONU (Sur le rapport, dépêche du 18.10.06).

    Le représentant américain a exhorté le Maroc à présenter une proposition d'autonomie globale et crédible pour le territoire et suggéré la tenue de pourparlers directs, sans ordre du jour préétabli, avec les représentants de l'ensemble de la population sahraouie dont le Front POLISARIO.

    La Mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (MINURSO) n'est pas une alternative viable à une solution permanente, a-t-il souligné, en appelant le Maroc, l'Algérie et le Front POLISARIO à « dépasser la rhétorique » et à ?uvrer à la résolution du conflit.

    Les Etats-Unis ont invité le Secrétaire général à déterminer les mécanismes et le calendrier d'un démantèlement de la MINURSO si celle-ci ne pouvait remplir son mandat ou si les parties se révélaient incapables de progresser en direction d'une solution politique.

    La représentante du Royaume-Uni a déclaré qu'une prorogation technique du mandat de la MINURSO ne saurait se substituer à la recherche d'une solution négociée au problème du statut du Sahara occidental. Elle a souligné qu'aucun mandat des Nations Unies ne devait être considéré comme un mandat à durée indéterminée et a exprimé le souhait de voir des progrès dans les six mois dans le sens de la libre autodétermination de la population du Sahara occidental.

    « Le Sahara occidental est un territoire de la côte Nord-Ouest de l´Afrique, limitrophe du Maroc, de la Mauritanie et de l´Algérie. Il était sous administration espagnole jusqu´en 1976. Le Maroc et la Mauritanie l´ont tous deux revendiqué, revendication à laquelle s´oppose le Front populaire pour la libération de la Saguía-el-Hamra et du Río de Oro, dit Front POLISARIO », rappelle la MINURSO sur son site Internet.

    « Les Nations Unies ont cherché un règlement de la question du Sahara occidental depuis que l´Espagne s´est retirée du territoire en 1976 et que, suite à cela, des combats ont éclaté entre le Maroc - qui a décidé de "réintégrer" le Sahara occidental à son territoire - et le Front POLISARIO, soutenu par l´Algérie. La Mauritanie a quant à elle renoncé à toute prétention sur le Sahara occidental en 1979. L´Organisation de l´unité africaine (OUA) est également intervenue en 1979 pour trouver un règlement pacifique au conflit ».

    En 1985, le Secrétaire général a entrepris, en coopération avec l'Organisation de l'unité africaine, une mission de bons offices qui a abouti aux Propositions de règlement, acceptées en principe par le Maroc et le Front POLISARIO le 30 août 1988.

    Le 29 avril 1991, dans sa résolution 690 (199l), le Conseil de sécurité a décidé de créer la Mission des Nations Unies pour l´organisation d´un référendum au Sahara occidental (MINURSO).

    D´après le Plan de règlement, le référendum au Sahara occidental aurait dû avoir lieu en janvier 1992. Il n´a toutefois pas été possible de respecter le calendrier initialement prévu.

    Le 24 mai 1991, le Secrétaire général mettant son Plan à exécution a proposé un cessez-le-feu commençant le 6 septembre. Les deux parties ont accepté.

    Entre-temps, les hostilités avaient éclaté dans le territoire et avaient mis un terme à un armistice de fait qui durait depuis plus de deux ans.

    La MINURSO avait pour mission principale de vérifier le cessez-le-feu et la cessation des hostilités. Le quartier général de la MINURSO a été installé à Laayoune et des postes de commandements régionaux dans les secteurs Nord et Sud du territoire. Un bureau de liaison a également été établi à Tindouf, qui permettait de rester en relation avec les autorités algériennes et le Front POLISARIO.

    Depuis le déploiement de la MINURSO en septembre 1991, le cessez-le-feu a été en règle générale respecté.

    La période de transition n'a cependant pas encore commencé, les parties ayant des vues divergentes sur certaines dispositions centrales des Propositions de règlement, en particulier les critères de définition des électeurs.

    Malgré ces difficultés, les parties ont continué à se dire engagées à mettre en ?uvre le Plan de règlement et la MINURSO a, quant à elle, rempli le mandat qui lui avait été confié dans la mesure où la situation le lui permettait. De son côté, le Secrétaire général et ses représentants spéciaux ont poursuivi leurs efforts afin de trouver une solution acceptable par les deux parties.

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    Kofi Annan recommande des négociations directes pour assurer l'autodétermination du peuple du Sahara occidental - 18 octobre

    http://www.un.org/apps/newsFr/storyF...ra&Cr1=MINURSO
    إِن تَنصُرُوا الله ينصُركُم الله، الوطن، الملك

  • #2
    Kofi Annan recommande des négociations directes pour assurer l'autodétermination du p

    18 octobre 2006 – Dans un rapport publié aujourd'hui, le Secrétaire général a recommandé au Conseil de sécurité d'inviter le Maroc et le Front POLISARIO à engager des « négociations directes, sans conditions préalables, afin de parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui permette d'assurer l'autodétermination du peuple du Sahara occidental ».

    « Les pays voisins, l'Algérie et la Mauritanie, devraient être également invités à ces négociations et seraient consultés séparément sur les questions qui les touchent directement, conformément au format qui avait été appliqué au cours du mandat de mon précédent Envoyé personnel, James A. Baker III », affirme le Secrétaire général dans son dernier rapport sur la Mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (MINURSO), établi sur la base de l'évaluation des activités de son Envoyé personnel Peter van Walsum.

    « Une fois que les parties auront répondu favorablement à l'appel du Conseil, je formulerai d'autres propositions concernant le format des négociations, le rôle de l'Organisation des Nations Unies et d'autres modalités », dit Kofi Annan, qui recommande au Conseil de sécurité de proroger le mandat de la Mission pour une nouvelle période de six mois, jusqu'au 30 avril 2007.

    « Si aucune des deux parties ne peut accepter cette approche ouverte à tous, il n'y aura pas de négociations. Il s'agirait là d'un sérieux revers pour le Maroc, qui souhaite vivement que la communauté internationale reconnaisse sa souveraineté sur le Sahara occidental », souligne le Secrétaire général.

    Mais, insiste le rapport, « un revers pour l'un n'est toutefois pas automatiquement une victoire pour l'autre, et le Front POLISARIO ne devrait pas se réjouir non plus, car à mesure que se prolonge l'impasse, la communauté internationale s'accoutume inévitablement de plus en plus à l'exercice d'un contrôle du Maroc sur le Sahara occidental ».

    « L'accord de pêche conclu en juillet 2006 entre l'Union européenne et le Maroc en est un excellent exemple. Après avoir consacré juste un peu plus d'un an à sa mission, mon Envoyé personnel est convaincu que le Front POLISARIO serait bien inspiré d'entamer des négociations maintenant, tant qu'il règne au Conseil de sécurité un consensus autour de l'idée selon laquelle une solution politique négociée doit prévoir l'autodétermination du peuple du Sahara occidental », souligne Kofi Annan.

    « Durant la visite qu'il a récemment effectuée dans la région, mon Envoyé personnel a demandé à ses interlocuteurs laquelle des deux options avait leur préférence, de la poursuite de l'impasse ou de négociations sans conditions préalables. Des responsables du Front POLISARIO ont répondu qu'ils opteraient pour la poursuite de l'impasse, en ayant pleinement conscience que cela ne pouvait que mener à la reprise de la lutte armée », souligne le rapport.

    « Certains d'entre eux ont ajouté que même si les dirigeants du Front POLISARIO devaient continuer à appeler à la retenue, il pourrait devenir impossible de résister à la pression exercée par les jeunes Sahraouis frustrés qui voulaient se battre. Ces déclarations ont apporté un éclairage quelque peu différent sur le sentiment qu'avait mon Envoyé personnel quant à l'existence d'une large tendance à la résignation eu égard au statu quo concernant la question du Sahara occidental », indique Kofi Annan.

    Au plan militaire, le rapport rappelle que « le cessez-le-feu est entré en vigueur le 6 septembre 1991. Aujourd'hui, 15 ans plus tard, les parties militaires n'ont toujours pas de contacts directs, ce qui continue d'avoir un effet négatif sur la confiance mutuelle et d'empêcher l'adoption de procédures qui pourraient aider à stabiliser la situation pendant les périodes critiques », souligne le Secrétaire général, qui a engagé les parties à coopérer avec la MINURSO et à lever les entraves à ses activités.

    Dans le domaine humanitaire, le rapport se félicite du fait que les échanges de visites familiales entre le territoire et les camps de réfugiés de la région de Tindouf reprendront bientôt. « Les communautés comptent sur ces visites pour maintenir le contact entre les membres de familles qui ne se sont pas vues depuis plus de 30 ans ».

    Il appuie aussi la recommandation du Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme (HCDH) tendant à ce que « tout soit mis en ?uvre pour assurer le respect, par tous les acteurs, des droits de l'homme du peuple du Sahara occidental ».

    La question du Sahara occidental a été abordée récemment à la Quatrième Commission de l'Assemblée générale (voir le compte-rendu de la séance).
    http://www.un.org/apps/newsFr/storyF...ra&Cr1=MINURSO
    إِن تَنصُرُوا الله ينصُركُم الله، الوطن، الملك

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    • #3
      « sa volonté d'aider les parties à parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui permette l'autodétermination du peuple du Sahara occidental ».

      Alhamdoulillah !!!

      C' est exactement et à la lettre la formule proposée par le Maroc !!

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      • #4
        Le représentant américain a exhorté le Maroc à présenter une proposition d'autonomie globale et crédible pour le territoire et suggéré la tenue de pourparlers directs, sans ordre du jour préétabli, avec les représentants de l'ensemble de la population sahraouie dont le Front POLISARIO

        .................................................. ...........
        Voila vers ou se dirige la tendance.

        Le polisario est consideré comme une partie de la population sahraouie et non son representant unique .

        Dire que certains parlent de "republique".

        Le compte à rebours de cette mascarade qui a freiné l'edification de l'UMA est commencé.

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        • #5
          Le représentant américain a exhorté le Maroc à présenter une proposition d'autonomie globale et crédible pour le territoire et suggéré la tenue de pourparlers directs, sans ordre du jour préétabli, avec les représentants de l'ensemble de la population sahraouie dont le Front POLISARIO

          Reponse:
          Vox Americana Vox Dei.

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          • #6
            Voila vers ou se dirige la tendance.
            Le polisario est consideré comme une partie de la population sahraouie et non son representant unique .
            Dire que certains parlent de "republique".


            Tres bien vu et interpreté Moumed !!

            C'est en faite la proposition de ce renard de Boucetta qui l'a fait deja a Hassan II !! celui la l'a refusé dans le temps !!

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            • #7
              J'espère au moins que la presse algerienne parlera de ca demain matin, même si c'est la fete chez eux.
              إِن تَنصُرُوا الله ينصُركُم الله، الوطن، الملك

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              • #8
                la presse algerienne ??!!

                Tu liras un autre scenario !! comme quoi cette resolution est un revers de plus pour la diplomatie marocaine ! et que ....
                Enfin le meme cinema !!!

                D'ailleurs demain on va publier la letter de felicitation de son exellence le president de la RASD a son homolgue et frere algerien

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                • #9
                  J'espère au moins que la presse algerienne parlera de ca demain matin, même si c'est la fete chez eux.

                  Reponse:
                  Mercredi c'est fete, Jeudi le pont et Vendredi la messe. Samedi on parlera d'autre chose.

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                  • #10
                    l'autodétermination du peuple du Sahara occidental


                    Voila une des definitions de l'autodetermination.
                    Si l'Academie marocaine en trouvé une nouvelle, eh ben mabrouk.

                    Autodétermination (http://fr.wikipedia.org/wiki/Autod%C3%A9termination)

                    L’auto-détermination, en droit international, est le principe selon lequel un peuple doit avoir le droit de déterminer sa propre forme de gouvernement, indépendamment de toute influence étrangère.
                    Ce concept fut initialiement formulé par le président des États-Unis d'Amérique Woodrow Wilson dans ses quatorze points, à la fin de la Première Guerre mondiale. Il fut une des bases du traité de Versailles pour la définition des frontières de l'Europe de l'est et pour mettre en place la décolonisation. Ce concept fut introduit dans les règles du droit international et de la diplomatie par les signataires de la charte des Nations unies, en 1951.

                    Le concept d'autodétermination a été souvent utilisé par des minorités ethniques ou religieuses pour revendiquer l'indépendance vis-à-vis de la majorité. En tant que tel, ce concept semble aller à l'encontre du concept d'intégrité territoriale. Mais le conflit entre ces notions tient généralement à la définition du mot peuple, et à la définition des peuples aux-mêmes : si les États défendant l'intégrité de leur territoire considèrent généralement l'ensemble de leurs citoyens comme un peuple unique, les membres séparatistes de certaines minorités nationales considérent ces minorités comme des peuples à part entière et revendiquent leur droit à l'autodétermination.

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                    • #11
                      L’auto-détermination, en droit international, est le principe selon lequel un peuple doit avoir le droit de déterminer sa propre forme de gouvernement, indépendamment de toute influence étrangère.
                      En effet indepedement de l'algerie aussi hein

                      Commentaire


                      • #12
                        L’auto-détermination, en droit international, est le principe selon lequel un peuple doit avoir le droit de déterminer sa propre forme de gouvernement, indépendamment de toute influence étrangère.

                        Le peulpe = CORCAS representant du peuple Sahraoui au territoires du sahara + Polisario ( les separatistes ) qui fait partie du peuple hebergé sur le territoire algerien

                        Independament bien sur de L'algerie

                        et je pense que ca va etre la derniere chance pour ( mission du MINURSO ) , sinon celui qui refusera aura un carton ROUGE .....

                        El Marrakchi aura du mal à dormir , et va pas arreter de bipper sur le Gsm de Boutef , qui va finir par fermer son Gsm pour bien Dormir

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                        • #13
                          autodétermination

                          C'est justement ce référendum d'autodétermination que le monde attend, le Maroc par la voix très autorisé de son souverain, le défunt Hassan 2, ne l'a jamais rejeté et s'est clairement engagé le respecter!

                          Depuis des années, "on" lui a conseillé de tergiverser et de suivre le bon exemple des territoires occupés palestiniens, les conseilleurs , comme vous le savez ne sont jamais les payeurs, aujourd'hui le royaume se retrouve au point de départ et devant l'unique solution: Dialoguer avec les représentants du peuple saharoui....

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                          • #14
                            bejaoui

                            Le ministre d’État, ministre des Affaires étrangères, Mohamed Bedjaoui, a qualifié, hier, de “mirage” un plan d'autonomie du Sahara occidental qu'envisage de présenter le Maroc, lors d'une conférence de presse à Madrid. “Pour l'instant, ce plan est un mirage”, la seule solution pour régler ce conflit demeure le “référendum” sur l'autodétermination sahraouie prévu dans le cadre de l'ONU, a précisé le ministre
                            à l'issue d'entretiens avec son homologue espagnol, Miguel Angel Moratinos. L'ONU peine, depuis 1992, à organiser un référendum d'autodétermination dans le
                            Sahara occidental en raison de l’entêtement de Rabat à vouloir maintenir l’ancienne colonie espagnole sous sa colonisation. Alors que le mandat de l'ONU au Sahara occidental expire le 31 octobre, Rabat a annoncé son intention de présenter avant la fin du mois à l'ONU son projet d'autonomie pour ce territoire. M. Moratinos s'est refusé à tout commentaire à ce sujet, précisant “n'avoir aucune idée et aucune information” sur ce plan qui n'a pas été présenté et à propos duquel il a assuré que l'Espagne n'avait pas été consultée. Le séjour de Bedjaoui à Madrid visait à préparer un voyage du roi d'Espagne en Algérie, début 2007, ainsi que la 3e réunion dite de “haut niveau” algéro-espagnole à laquelle M. Zapatero participera le 12 décembre à Alger.
                            M. Moratinos a souligné l'importance des liens bilatéraux entre l'Espagne et l'Algérie, notamment leurs relations “stratégiques”, dans les domaines de l'énergie, de la sécurité et de la lutte contre l'immigration clandestine.

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                            • #15
                              e royaume se retrouve au point de départ et devant l'unique solution: Dialoguer avec les représentants du peuple saharoui....

                              ...........................................
                              DZAMINE

                              C'est ce que fait le Maroc avec la majorité des sahraouis représentés par la CORCAS et il appartient à l'Algerie de laisser l'autre partie (le polisario ) en faire de meme .

                              Or,ça n'arrange pas les visées stratégiques des généraux algériens qui cherchent à avoir un débouché sur l'Atlantique et encercler par la même occasion le Maroc.

                              LE REFERENDUM EST UNE PROPOSITION MAROCAINE QUI DEVAIT REGLER LE PROBLEME SI L'ALGERIE N'AVAIT PAS VOULU ELIMINER D'AUTHENTIQUES SAHRAOUIS UNIONISTES DES LISTES ELECTORALES .
                              ET PUIS LE REFERENDUM DOIT EGALEMENT CONCERNER LES SAHRAOUIS RGUIBATES D'ALGERIE (COMME LEURS PARENTS DU MAROC) ,CE QUI SUPPOSE QUE L'ALGERIE RISQUE D' ETRE AMPUTEE D'UNE PARTIE DE SON TERRITOIRE.
                              IDEM POUR LA MAURITANIE.

                              L'application du principe de l'autodétermination s'est avérée être un véritable casse tête pour l'ONU qui a conclu à son inapplicabilité et propose une solution politique .
                              Celle ci pouvait être la solution si l'Algerie ne s'accrochait pas à son désir de créer "une république" a sa botte.
                              Le fait de l'avoir crée sans attendre le verdict du référendum est révélateur des vrais intentions des gouvernants algériens.

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