29 Juillet 2014
Discours historique du président syrien à l’occasion de sa réélection parfaitement démocratique, dans lequel il ne s’adresse pas uniquement aux Syriens mais à l’ensemble de la Nation Arabe. Un discours qui restera dans les annales, par sa lucidité, par son courage, par son patriotisme, par sa détermination d’écraser la vermine islamo-atlantiste, et par sa profondeur visionnaire. Faisant allusion au Qatar et à l’Arabie Saoudite, Bachar a dit à son peuple héroïque : « Vous êtes les mieux placés pour enseigner à ces inféodés serviles de notre région arabe les concepts de souveraineté, de détermination, de défi et de dignité qu’ils ignorent. Vous êtes les mieux placés pour leur donner des leçons de démocratie et leur enseigner comment les peuples participent aux décisions et aux destins des nations. À vous de leur faire découvrir ce qu’ils n’ont jamais connu des élections, de la liberté, des droits, de l’État, et de la civilisation, car ils ne sont familiers que de l’oppression, de l’extrémisme, de la soumission, de l’humiliation, et de l’exportation du terrorisme ». Et aux maîtres des roitelets du Golfe, il a lancé : « L’Occident colonial est toujours colonialiste. Sa nature profonde n’a pas changé, même si ses méthodes sont différentes ». Nous publions l’intégralité de ce grand discours occulté par certains médias tunisiens, avec l’espoir que les Tunisiens, le peuple comme la nouvelle « élite », puissent s’en inspirer pour retrouver leur dignité, leur honneur perdu et, surtout, leur Souveraineté.
Digne héritier de son père, unique Président arabe démocratiquement élu par son peuple, Bachar el-Assad porte dans ses entrailles la dignité arabe, et dans ses mains le flambeau de la résistance contre les mercenaires de l'islamo-atlantisme.
Honorables Syriens, honorable peuple libre et révolutionnaire, il y a maintenant trois ans et quatre mois que certains ont décrété en votre nom : « le peuple exige ! ». OUI… le peuple a exigé, le peuple a décidé, et le peuple a exécuté !
Citoyens syriens, mes frères et sœurs, voilà des années que certains crient après la liberté, mais voici que vous vous êtes révélés « libres » en une époque de suivisme et « souverains » en une époque de complaisance servile.
Ils ont surenchéri sur la démocratie, mais vous l’avez exercée de la manière la plus noble qui soit. Vous avez refusé qu’un étranger ne se mêle de diriger la patrie. Vous avez choisi votre Constitution, votre Parlement, et votre Président, de telle sorte que la décision est vôtre et que la démocratie est de votre fait.
Ils n’ont fait que dire « le peuple syrien est un », mais vous vous êtes dressés face à leur ouragan de discorde et avez empêché les vents de la partition d’atteindre vos cœurs et vos esprits, prouvant en cela que vous êtes réellement un seul peuple qui bat d’un seul cœur.
Ils ont hurlé qu’ils ne s’agenouilleraient que devant Dieu, mais vous n’avez ni plié, ni abandonné, ni abdiqué, devant « leurs maîtres ». Bien au contraire, vous êtes restés attachés à votre patrie et avez résisté en gardant votre foi en un Dieu unique qui n’a rien à voir avec les puissances étrangères, le pétrole, ou les dollars… Et lorsqu’ils ont crié « Allahou Akbar » [Dieu est le plus grand], Dieu s’est effectivement révélé plus grand qu’eux et plus grand que ceux qui les soutiennent, car Dieu est du côté du juste et la justice est du côté du peuple.
Des années ont passé où ils ont disposé de la parole alors que vous leur répondiez par des actes. Ils se sont noyés dans l’illusion, vous avez crée la réalité. Ils ont voulu faire croire à une « révolution », vous avez été les véritables révolutionnaires. Alors, félicitations à vous, à votre Révolution, et à votre victoire.
Félicitations à la Syrie à laquelle vous avez prouvé votre appartenance.
Félicitations à la Syrie en tant que peuple qui a bravé toutes les formes d’hégémonie et d’agressions par tous les moyens physique, intellectuel et patriote à sa disposition. Certains ont pu se battre l’arme à la main, d’autres ont travaillé à transmettre une parole de vérité, et d’autres ont résisté dans leur cœur et sont restés sur place malgré les pires menaces.
Félicitations à ce peuple qui a défié toutes les peurs et toutes les terreurs en participant au référendum puis aux élections, un droit que vous avez exercé sous le feu de l’ennemi et qui a déjoué l’ensemble de ses commanditaires, de ses agents et de ses instruments. Un peuple dont la fermeté a modifié toutes les données. Un peuple qui a fait qu’aujourd’hui les circonstances et les faits sont autres. Certains ont modifié leurs positions, d’autres ont reculé, des appellations ont disparu, des alliances se sont rompues, des coalitions se sont divisées, des conseils se sont dispersés… Et la boussole s’est remise à indiquer la bonne direction à ceux qui ne la voyaient plus par ignorance ou par aveuglement.
Les masques sont tombés pour montrer la terrible laideur de ceux qui prétendaient œuvrer pour la liberté et la révolution pour mieux planter leurs crocs dans le corps syrien, semant mort et destruction, dévorant cœur et foie humains, égorgeant et décapitant… Ils n’ont laissé aucun procédé dévoyé et hideux sans l’utiliser. Mais ils ont échoué !
Ils n’ont pas réussi à vous convaincre qu’ils se souciaient des intérêts du peuple et de ses droits. Ils n’ont pas réussi à vous amener à croire que vous aviez besoin de tuteurs pour gérer vos affaires et celles de votre pays. Finalement, ils ont définitivement échoué à laver vos esprits et à briser votre volonté.
Vous avez défié cet ouragan de discorde torse nu. Vous vous êtes dressés telle une lance face à la trahison. Alors, l’univers a entendu vos voix malgré toutes les tentatives de brouillage et d’étouffements. Vous avez dit, haut et fort, une vérité qu’ils se sont efforcés d’escamoter, d’assassiner et d’enterrer et vous avez obligé le monde à la voir telle qu’elle est. Une vérité qui est apparue pour démolir, en quelques heures, des empires politiques, pétroliers et médiatiques. Oui… ces quelques heures, où vous vous êtes rassemblés pour exprimer votre opinion et votre ferme volonté, ont suffi à gommer les falsifications et le terrorisme moral et psychologique qui s’acharne sur la Syrie depuis des années.
Ces dernières élections ne relevaient pas d’une simple procédure politique comme c’est le cas partout dans le monde. Il s’agissait d’une véritable bataille pour la réussite de laquelle ont été menées toutes les autres, car pour les ennemis de la patrie elle était l’argument espéré pour délégitimer l’État, prétendre que le peuple syrien est faible, divisé, incapable de s’autodéterminer, puis justifier une intervention étrangère sous divers prétextes.
Alors que pour nous, en tant que citoyens, ces élections signifiaient notre véritable appartenance à la patrie, beaucoup plus que ne le ferait une simple carte d’identité, ou un passeport. C’était notre bataille pour défendre la souveraineté, la légitimité, la volonté nationale et la dignité de notre peuple, tout comme le référendum fut en faveur de cette même souveraineté face à toutes les formes de terrorisme. Peu nous importait qui allait gagner ou perdre, mais quels seront les déchus.
L’important est que par votre vote vous ayez déchu les terroristes, les agents syriens qui leur ont servi de couverture, leurs maîtres d’œuvre et inféodés, et donc l’ensemble des États petits ou grands : ceux qui décident, dictent et ordonnent et ceux qui s’inclinent et exécutent.
Vous avez été plus loin encore en éliminant les arrivistes qui ont profité de la crise aux dépens d’autrui, ceux qui se sont distanciés en attendant de voir de quel côté pencherait la balance des forces en présence, ceux qui se sont prononcés contre la volonté du peuple en boycottant ces élections ou bien en appelant à les boycotter, voire à les reporter, se rangeant ainsi du côté des ennemis du peuple.
Discours historique du président syrien à l’occasion de sa réélection parfaitement démocratique, dans lequel il ne s’adresse pas uniquement aux Syriens mais à l’ensemble de la Nation Arabe. Un discours qui restera dans les annales, par sa lucidité, par son courage, par son patriotisme, par sa détermination d’écraser la vermine islamo-atlantiste, et par sa profondeur visionnaire. Faisant allusion au Qatar et à l’Arabie Saoudite, Bachar a dit à son peuple héroïque : « Vous êtes les mieux placés pour enseigner à ces inféodés serviles de notre région arabe les concepts de souveraineté, de détermination, de défi et de dignité qu’ils ignorent. Vous êtes les mieux placés pour leur donner des leçons de démocratie et leur enseigner comment les peuples participent aux décisions et aux destins des nations. À vous de leur faire découvrir ce qu’ils n’ont jamais connu des élections, de la liberté, des droits, de l’État, et de la civilisation, car ils ne sont familiers que de l’oppression, de l’extrémisme, de la soumission, de l’humiliation, et de l’exportation du terrorisme ». Et aux maîtres des roitelets du Golfe, il a lancé : « L’Occident colonial est toujours colonialiste. Sa nature profonde n’a pas changé, même si ses méthodes sont différentes ». Nous publions l’intégralité de ce grand discours occulté par certains médias tunisiens, avec l’espoir que les Tunisiens, le peuple comme la nouvelle « élite », puissent s’en inspirer pour retrouver leur dignité, leur honneur perdu et, surtout, leur Souveraineté.
Digne héritier de son père, unique Président arabe démocratiquement élu par son peuple, Bachar el-Assad porte dans ses entrailles la dignité arabe, et dans ses mains le flambeau de la résistance contre les mercenaires de l'islamo-atlantisme.
Honorables Syriens, honorable peuple libre et révolutionnaire, il y a maintenant trois ans et quatre mois que certains ont décrété en votre nom : « le peuple exige ! ». OUI… le peuple a exigé, le peuple a décidé, et le peuple a exécuté !
Citoyens syriens, mes frères et sœurs, voilà des années que certains crient après la liberté, mais voici que vous vous êtes révélés « libres » en une époque de suivisme et « souverains » en une époque de complaisance servile.
Ils ont surenchéri sur la démocratie, mais vous l’avez exercée de la manière la plus noble qui soit. Vous avez refusé qu’un étranger ne se mêle de diriger la patrie. Vous avez choisi votre Constitution, votre Parlement, et votre Président, de telle sorte que la décision est vôtre et que la démocratie est de votre fait.
Ils n’ont fait que dire « le peuple syrien est un », mais vous vous êtes dressés face à leur ouragan de discorde et avez empêché les vents de la partition d’atteindre vos cœurs et vos esprits, prouvant en cela que vous êtes réellement un seul peuple qui bat d’un seul cœur.
Ils ont hurlé qu’ils ne s’agenouilleraient que devant Dieu, mais vous n’avez ni plié, ni abandonné, ni abdiqué, devant « leurs maîtres ». Bien au contraire, vous êtes restés attachés à votre patrie et avez résisté en gardant votre foi en un Dieu unique qui n’a rien à voir avec les puissances étrangères, le pétrole, ou les dollars… Et lorsqu’ils ont crié « Allahou Akbar » [Dieu est le plus grand], Dieu s’est effectivement révélé plus grand qu’eux et plus grand que ceux qui les soutiennent, car Dieu est du côté du juste et la justice est du côté du peuple.
Des années ont passé où ils ont disposé de la parole alors que vous leur répondiez par des actes. Ils se sont noyés dans l’illusion, vous avez crée la réalité. Ils ont voulu faire croire à une « révolution », vous avez été les véritables révolutionnaires. Alors, félicitations à vous, à votre Révolution, et à votre victoire.
Félicitations à la Syrie à laquelle vous avez prouvé votre appartenance.
Félicitations à la Syrie en tant que peuple qui a bravé toutes les formes d’hégémonie et d’agressions par tous les moyens physique, intellectuel et patriote à sa disposition. Certains ont pu se battre l’arme à la main, d’autres ont travaillé à transmettre une parole de vérité, et d’autres ont résisté dans leur cœur et sont restés sur place malgré les pires menaces.
Félicitations à ce peuple qui a défié toutes les peurs et toutes les terreurs en participant au référendum puis aux élections, un droit que vous avez exercé sous le feu de l’ennemi et qui a déjoué l’ensemble de ses commanditaires, de ses agents et de ses instruments. Un peuple dont la fermeté a modifié toutes les données. Un peuple qui a fait qu’aujourd’hui les circonstances et les faits sont autres. Certains ont modifié leurs positions, d’autres ont reculé, des appellations ont disparu, des alliances se sont rompues, des coalitions se sont divisées, des conseils se sont dispersés… Et la boussole s’est remise à indiquer la bonne direction à ceux qui ne la voyaient plus par ignorance ou par aveuglement.
Les masques sont tombés pour montrer la terrible laideur de ceux qui prétendaient œuvrer pour la liberté et la révolution pour mieux planter leurs crocs dans le corps syrien, semant mort et destruction, dévorant cœur et foie humains, égorgeant et décapitant… Ils n’ont laissé aucun procédé dévoyé et hideux sans l’utiliser. Mais ils ont échoué !
Ils n’ont pas réussi à vous convaincre qu’ils se souciaient des intérêts du peuple et de ses droits. Ils n’ont pas réussi à vous amener à croire que vous aviez besoin de tuteurs pour gérer vos affaires et celles de votre pays. Finalement, ils ont définitivement échoué à laver vos esprits et à briser votre volonté.
Vous avez défié cet ouragan de discorde torse nu. Vous vous êtes dressés telle une lance face à la trahison. Alors, l’univers a entendu vos voix malgré toutes les tentatives de brouillage et d’étouffements. Vous avez dit, haut et fort, une vérité qu’ils se sont efforcés d’escamoter, d’assassiner et d’enterrer et vous avez obligé le monde à la voir telle qu’elle est. Une vérité qui est apparue pour démolir, en quelques heures, des empires politiques, pétroliers et médiatiques. Oui… ces quelques heures, où vous vous êtes rassemblés pour exprimer votre opinion et votre ferme volonté, ont suffi à gommer les falsifications et le terrorisme moral et psychologique qui s’acharne sur la Syrie depuis des années.
Ces dernières élections ne relevaient pas d’une simple procédure politique comme c’est le cas partout dans le monde. Il s’agissait d’une véritable bataille pour la réussite de laquelle ont été menées toutes les autres, car pour les ennemis de la patrie elle était l’argument espéré pour délégitimer l’État, prétendre que le peuple syrien est faible, divisé, incapable de s’autodéterminer, puis justifier une intervention étrangère sous divers prétextes.
Alors que pour nous, en tant que citoyens, ces élections signifiaient notre véritable appartenance à la patrie, beaucoup plus que ne le ferait une simple carte d’identité, ou un passeport. C’était notre bataille pour défendre la souveraineté, la légitimité, la volonté nationale et la dignité de notre peuple, tout comme le référendum fut en faveur de cette même souveraineté face à toutes les formes de terrorisme. Peu nous importait qui allait gagner ou perdre, mais quels seront les déchus.
L’important est que par votre vote vous ayez déchu les terroristes, les agents syriens qui leur ont servi de couverture, leurs maîtres d’œuvre et inféodés, et donc l’ensemble des États petits ou grands : ceux qui décident, dictent et ordonnent et ceux qui s’inclinent et exécutent.
Vous avez été plus loin encore en éliminant les arrivistes qui ont profité de la crise aux dépens d’autrui, ceux qui se sont distanciés en attendant de voir de quel côté pencherait la balance des forces en présence, ceux qui se sont prononcés contre la volonté du peuple en boycottant ces élections ou bien en appelant à les boycotter, voire à les reporter, se rangeant ainsi du côté des ennemis du peuple.
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